Laissée libre « l’épidémie de Covid » redouble les cas tous les 2 jours. C’est que l’on affirme de cette pathologie nouvelle depuis le début. Elle n’a cependant pas progressé plus que cela entre son surgissement situé en octobre ou novembre 2019 et le 23 janvier 2020 date du lockdown à Wuhan. Elle avait pourtant là amplement le temps de se propager en toute liberté à échelle planétaire puisque capable d’atteindre 1024 personnes en 20 jours, plus de 1 million en 40 jours et plus de 7 milliards en 66 jours. Cela ne s’est évidemment pas produit étant donné que durant la première vague plus de 99,9% de la population chinoise d’abord et mondiale ensuite a échappé à la maladie et ne s’est pas faite agent de transmission. Mais c’est justement là que le bât blesse. La narration médicale qui sème la terreur sur la « contagion pour tous, vaccins mARN pour tous » dès lors non seulement ne repose sur aucun fondement matériel mais constitue de surcroit une véritable menace pour la santé universelle en ce qu’elle provoquerait entre autre la maladie qu’elle prétend prévenir.
Un peu de logique
Partant du cas zéro et si personne sur cette planète n’est naturellement à l’abri de la contagion -chose que l’on se délecte à faire croire contre toute raison-, rejoindre 7,8 milliards de contagions demande 32,86 cycles de redoublement et 66 jours pour les accomplir si la période de redoublement est de 2 jours. De nombreux articles scientifiques rapportent en effet une période de 2 jours voire moins à Wuhan d'avant confinement. [Log(7,80E9; 2) = 32,86. Vérification: 232,86 = 7,80E9; Log(7,80E9; 2) * 2 = 65,7]. Or le « cas zéro de l’épidémie putative » précède de 69 à 100 jours (mi-novembre ou mi-octobre 2019) le 23 janvier 2020, date de la mise en place des restrictions à Wuhan.
Durant ces longs mois de gestation occulte, « l'épidémie » a eu de par sa nature expansive tout le temps de rejoindre tous les organismes qu'elle pouvait atteindre. Avec une pareille vitesse de propagation « l'épidémie » aurait dès lors théoriquement et obligatoirement dès fin janvier fait le tour du monde et pratiquement achevé sa première moisson gériatrique. Or, n'étant ni morts à tous âges par centaines de millions, ni tombés malades même sous forme bénigne par milliards, comment ne pas conclure, si de contagion virale il s’agit, que avons pour la plupart rejeté l’intrus et que nous sommes pour la plupart déjà naturellement immunisés et impropres à transmettre la contagion ? Toute épidémie atteint son pic lorsqu’il n’y a plus d’hôtes bienveillants à son égard et non pas lorsqu’il n’y a plus de vivants du tout. Une grippe abondante affecte au plus 15% de la population. A quoi bon alors « vacciner » à tout prix tout le monde si ce n’est à d’autres fins inavouables ?
Cette cadence contagieuse ne serait-elle alors qu’un colossal faux semblant propagandiste aussi insensé que ne le sont les politiques de contraste entreprises en son nom (confinement, couvre-feu, distanciation, masque, « vaccination » expérimentale à l’aveugle et de masse qui malmène les systèmes immunitaires, à propos selon certains) ? Comment sans faire appel à une immunité préconstituée venir à bout de cette contradiction entre la vertigineuse vitesse de propagation observée et le nombre contenu de cas malgré le temps disponible à leur surmultiplication ? Faut-il au contraire purement et simplement abandonner cette théorie virale qui semble n’avoir toujours pas isolé le virus et qui en tout cas renonce aux postulats de Koch pour en certifier l’isolement ? Comment concilier l’inconciliable ?
Quels mystérieux mais heureux obstacles ont-ils fait barrage à l'inéluctable contagion générale, encore plus dans les pays démunis qui « paradoxalement » sont aujourd’hui encore les moins touchés, qu’un tel rythme effréné de transmission suppose si ce n'est une immunisation naturelle effective de la plupart mais par trop gênante pour les marchands de « vaccins » ? Ou bien n’est-ce en réalité là qu’un empoisonnement chimique dû entre autre aux nanoparticules de graphène introduites dans de nombreux vaccins et médicaments depuis quelques années dans les pays à prétendue « médecine de pointe » ? Que les anciens, affaiblis par l’âge et la fatale contamination interne chimique et radiologique accumulée au fil des ans, souffrent en premier de ces nano-toxines commercialisées ne saurait alors surprendre. Pas plus du reste que ne saurait surprendre le fait que le tiers monde soit le moins touché par la Covid puisque sa pharmacopée périmée manque cruellement de ces nano-toxines modernes. (La généreuse philanthropie multimilliardaire y remédiera au plus vite pour son plus grand bien.)
Béotiens, nous souhaiterions en somme être éclairés sur le sujet car le soi-disant récit « scientifique » qui gouverne actuellement nos vies alimente plus d'un doute sur sa rationalité pendant que d’un côté des compagnies aériennes recommandent aux personnes vaccinées d’éviter les déplacements en avion alors que des compagnies pétrolières entament déjà le grand remplacement de leur personnel vacciné par du personnel non vacciné (qu’en sera-t-il pour le nucléaire ?), et d’un autre côté que les données de la pharmacovigilance, passablement incomplètes mais déjà implacables, soulèvent chaque jour plus l'inquiétude. Il y a déjà en effet eu plus de 15.000 morts et 700.000 cas graves suite aux inoculations en Europe. Inédite dans l'histoire de la vaccination, une telle hécatombe précoce, que l'on se précipite à attribuer à d’autres facteurs, jette un sinistre présage malthusien sur le proche et moyen futur immunitaire des cobayes de l'ARN messager innaturel et magnétique.
1 commentaire:
L'état de santé vaccinal du personnel qui fait tourner les centrales atomiques vous indiffère ? Bye bye Koshyl4.
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