Autour
de 8167 t d'aérosols de métaux lourds radioactifs hérités des essais atomiques
(120 t d'U235, 47 t de Pu239) et des guerres récentes à «l’uranium
appauvri métallisé, insoluble et plus concentré que nature» (8000 t d'U238)
flottent encore dans l'atmosphère de notre planète. Dans ce scénario insalubre
chaque m3 d'air que nous respirons où que nous soyons et qui que
nous soyons comporterait dans une couche d'atmosphère hypothétique de 25 km de
haut environ 637,96 pgr de métaux lourds artificiels fragmentés en environ 829
millions de particules fines insolubles par m3 d'U235, U238
et de Pu239.
[4/3*3,14159*((6371000+25000)3-63710003)
= 1,28E19 m3.]
Aucun
garde du corps ne protège les poumons. Toute falsification fondée sur les données
objectives est la bienvenue.
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