vendredi 6 novembre 2015

La fraude des facteurs de doses internes.





Un calcul de dose n'est au fond qu'une sorte de calcul de dilution d'une « énergie empoisonnée » en mouvement dans un volume délimité par la portée du rayonnement dans les tissus vivants. Ce volume vivant qui se verra ionisé ne peut en aucun cas être plus grand que le volume que le projectile alpha ou bêta peut traverser. Quand une particule alpha éteint sa course dans moins d’une dizaine de cellules pulmonaires, ce sont ces cellules qui absorbent la dose et non pas le poumon entier. Cet irréfutable fait physique de base est cependant totalement ignoré dans les coefficients de dose officiels qui « allongent » arithmétiquement la trajectoire des rayonnements et par cette simple fraude au dénominateur de l’équation Energie/Masse avec laquelle on définit mathématiquement la dose maquillent les dommages histologiques réels subis en les diluant dans une masse surdimensionnée et font numériquement comparaitre des faibles doses là où elles sont physiquement fortes.

Si à partir des doses par Sv/Bq des tables l'on recalcule le poids nécessaire pour obtenir ces facteurs de dose interne officiels on se rend compte qu'ils sont tous, absolument tous, physiquement faux car les masses de chair censées avoir absorbé le rayonnement sont très souvent plus grosses que les plus gros des hommes et totalement incompatibles avec la trajectoire physique du rayonnement alfa ou bêta. Bref les coefficients de dose internes officiels sont les fruits venimeux d'une fraude génocidaire par allongement occulte de la trajectoire du rayonnement, par grossissement irrationnel d'un dénominateur. Personne ne veut s'en rendre compte car personne ne sait ou ne veux savoir comment ces facteurs de dose sont faits. Ce sont pourtant de ces chiffres froids dont nos vies dépendent.

Cas du facteur de dose par inhalation du Cs137

La masse vivante irradiable par une poussière fine de Cs137 bloquée dans les tissus tient dans une sphère biologique de 1782 micron de rayon, rayon égal à la capacité de pénétration du rayonnement de 0,512 MeV émis (0,11*[(1+22,4*(0,512 Mev^2))-1]*10000 = 1782 μm -équation de Flammersfield, 1946, de pénération des rayonnements bêta dans l'eau-), sphère qui pèse 23,71 mgr (2,37E-7 gr) et contient de 2,37 millions à 47,42 millions de cellules en considérant que le volume d'une cellule animale varie entre 1E-8 cm3 et 5E-10 cm3 soit de 1E-8 à 5E-10 gr.

Compte dûment tenu de la période biologique qui garantit l'évacuation d'un certain nombre d'atomes radioactifs avant qu'ils ne désintègrent dans l'organisme, absorber une masse d'atomes ayant une activité de 1 Bq c'est souffrir en 50 ans 8,67 millions de désintégrations. ((1/1,15E-7 λe) * 1-(EXP(50*365,25*24*60*60*-1,15E-7 λe))) = 8,67E6.) Or pour que 8,67 millions de rayonnements de 0,514 MeV chacun conduisent à une si faible dose de 4,800E-9 Sv il faut qu'ils se dissipent dans une masse de chair de 148,75 kg et que ces rayonnements qui ne vont pas au-delà de 1782 micromètres dans la matière biologique franchissent 328693 micromètres soit qu'ils aillent 184,44 fois plus loin que physique ne permet.  ((8,67E6 Désintégrations * 5,14E-1 MeV * 1,60217733E-6 Erg/MeV * 1 EBR)/(4,80E-9 Sv/Bq *100 Erg/gr *100 REM/Sv) =  1,49E5. (1,49E5/4/3*3,14159)(1/3) * 10000 = 328693 Rayon en μ de cette sphère.)

Ce facteur de dose interne est une tromperie, une contre-vérité physique et un crime scientifique contre l'humanité.

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