L’actuelle épidémie d’Ebola a un potentiel exponentiel
inouï de redoublement
des cas en moins d’un mois capable d’emporter la moitié de l’humanité par
contagion en bien moins de 2 ans maintenant[1], et l’autre moitié, que certains clament
immunisée par nature, emportée par les effets secondaires sur les industries
atomiques de la décimation de leur personnel. Les centrales atomiques ont,
souvenons-nous en, besoin d’être refroidies en permanence et de personnes en
bonne santé capables d’assurer cette tâche sous peine d’exploser.
Il est inutile de se boucher les yeux en tombant dans le
piège d’une contre-information décervelée qui se
fait complice objective de la propagation de l’épidémie, qui
endort les esprits les convainquant que la cure secrète est disponible, que cet
amas croissant de cadavres infectieux n’est qu’une longue campagne publicitaire
pour une vaccination de masse au grand profit des big-pharma, qu’il ne s’agit
que d’une dépopulation bactériologique
ciblée au tiers monde afin d’alléger au bénéfice de tous la pression
démographique ou qu’une propagation
incontrôlée est impossible sous nos latitudes industrialisées.
Mettons à terme à la pensée magique et revenons sur terre.
Nous, animaux, sommes sur le bord d’un précipice
inimaginable qui pourrait nous happer tous d’ici quelques mois. La forte croissance
exponentielle de la propagation
virale n’est hélas pas une vue alarmiste de l’esprit mais une donnée
empirique objective et personne ne sait si ce virus a un seuil naturel
d’arrêt ni ne sait du reste pourquoi diable il devrait en avoir un. Personne ne sait si cet affable virus
tranquille qui va bien moins vite que la grippe saisonnière épargnera, par
grâce du dieu Isis, le refroidissement des centrales atomiques en épargnant les
si indispensables agents de maintenance.
Ebola contre l’atome de la paix fait en effet l’effet d’une guerre
totale. Nous préfèrerions, si ce n’est trop prétendre, avoir à l’éviter.
Restons dès lors vigilants face à sa débordante expansion, saluons haut et fort le courage, l'humanisme et l'abnégation
de tous ceux qui combattent ce fléau et entre temps réclamons des comptes, entre autre, à une OMS grassement
rétribuée pour son incompétence. Qui sont ces crétins diplômés
d’Hippocrate qui ont ignoré la nature exponentielle de la propagation d’Ebola
pourtant manifeste en avril déjà et ont moqué l’alerte mathématique et médicale
? Qui sont ceux qui ont objectivement retardé l’intervention, mettant en péril
l’humanité entière ? Qu’ils soient sans délai promus sous les tropiques à tâter
de suite du virus de près. Atchoum !
[1] Si l’on
place 1 euro dans une banque qui double notre capital chaque mois au bout de 33
mois nous aurons plus de 8,5 milliards d’euro sur notre compte (2 à la
puissance 33). Il en va exactement de même avec cette épidémie à ceci près qu’elle double plus vite, pour
l’heure.
5 commentaires:
Bonjour,
Est-il admissible d'entendre cela aujourd'hui :
http://www.lemonde.fr/sciences/video/2014/10/28/de-tchernobyl-a-fukushima_4513867_1650684.html ?
Merci pour votre article d'aujourd'hui.
Cordialement
Andromaque
Andromaque. Je ne parviens pas à ouvrir le lien signalé mais peu importe. Il est facile d'en imaginer la teneur. Mais les faits sont, hélas, là pour contredire.
http://enenews.com/frightening-doctors-being-threatened-telling-patients-illnesses-related-fukushima-radiation-strange-tumors-kids-dying-pets-dying-higher-incidences-range-health-problems-being-reported-experts
Il s'agit d'une vidéo visible sur le site du journal Le Monde, rubrique Sciences... et qui s'appelle "De Tchernobyl à Fukushima". Je l'ai visionnée aujourd'hui, et je me demandais ce qui pouvait justifier un tel discours...
Ils sont payés pour faire de la propagande et en font. Ils se moquent éperdument de la vérité, de l’honnêteté et savent pertinemment qu’ils se feraient virer s’ils osaient objecter. Ce sont des esclaves adeptes de l’abus de confiance. On cesse même de perdre son temps à réfuter ces faussaires qui du temps des nazis vous auraient inventé l’équivalent de l’actuel programme ETHOS (comment mourir heureux dans une zone interdite) pour les chambres à gaz (comment mourir joyeux pendant l’asphyxie.) Une fois qu’on l’a compris tout devient plus simple et plus intelligible. Mais je peux vous assurer qu’ils ne vont en vacance ni en Ukraine, ni au Japon, ni en Polynésie. De plus en privé ils font très attention jusqu’à la provenance du bois de chauffage de leur cheminée à soirées romantiques. Ils détestent respirer du césium, aussi faible dose officielle soit-il. (Plus un bois n’est propre sur cette planète mais certains sont plus chargés en radioactivité artificielle que d’autres.)
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