Ln(2)/T½
= 1-(EXP(-1*(Ln(2)/T½)) si et seulement si T½ est supérieur à 0,693
(ln(2)) et différent de 1. Convertir la période en une unité de
temps supérieure c'est pervertir la loi de décroissance radioactive. Seul
les ignorants déterminent une probabilité (Ln(2)/T½) avec un dénominateur inférieur au numérateur ! Seul les ignorants
imaginent en outre que le lui licite 1-(EXP(-1*(Ln(2)/T½)) avec
T½ < 1 donne la même probabilité
que 1-(EXP(-1*(Ln(2)/T½)) avec
T½ > 1. Qu'on se le dise ! Et
faites des calculs parallèles de temps à autre.
-Professeur
Nucleonica lambda c'est quoi ?
-Une
"constante de probabilité" par unité de temps.
-Oulala. Un peu
dense pour moi professeur. Scusez la nouvelle question mais une proba c’est
quoi?
-C’est un
chiffre situé dans l’intervalle 0-1 mais ici en pratique situé dans le
"demi-intervalle" 0-0,5 et dans ce cas particulier de la loi de
décroissance radioactive il se calcule par Ln(2)/T½ avec
T½ exprimé en seconde.
-Grand merci,
très clair, vachement commode Ln(2)/T½ avec T ½ exprimé
en seconde. Et ceci sans faire chier à passer par un calcul exponentiel du
Lambda, calcul exponentiel qui soit dit en passant se tape royalement de
l'unité de temps choisie et donne ici toujours un chiffre situé entre 0-1. Mais
scusez à nouveau professeur Nucleonica, mais 0,693/0,1 seconde c’est dans
l’intervalle 0-1 ça ? Lambda * Avogadro c’est fait pour multiplier les
Avogadro comme le soutiennent vos 1200 calculs
d'activité spécifique des éléments de période inférieure à une seconde ? Aidez-moi
professeur Nucleonica je crains que ma maîtresse d’école m’ait inculqué des
conneries en n’enseignant que 0,693/0,1 = 6,93 ce qui ferait quand même une
drôle de proba.
Voici
les données nucléaires de "désintégrations multiples d'un atome" qui
comparaissent pour le Be8 sur le site de Nucleonica qui est le fleuron de la
physique nucléaire d'Europe. http://www.nucleonica.net/
Be8.
Demi-vie: 7E-17 secondes
Demi-vie: 7E-17 secondes
Activité
spécifique: 7,45E38 Bq/gr.
Procédons à une petite vérification sur l'exactitude radiologique de l'activité spécifique proposée en mettant simplement en comparaison le nombre d'atomes contenus dans 1 gramme de Be8 et l'activité spécifique avancée pour ce gramme de Be8 par Nucleonica. Cette valeur correspond-t-elle à la quantité d’émissions radioactives présentes durant sa première seconde de décroissance dans ce gramme de Be8 comme le correspond irrévocablement l’activité spécifique d’un quelconque elément de période supérieure à la seconde ? Il va de soi, sans ici besoin d’incommoder de loi de décroissance radioactive, qu'il ne peut y avoir en aucun cas plus de désintégrations que d'atomes capables de désintégrer en tous cas pour qui souhaite continuer d’exprimer à travers cette activité spécifique la quantité réelle d’émissions radioactives observables. C'est le B.A BA radiologique. De niveau CE1 (Si vous avez 10 pétards en poche combien de pétards au plus pourrez-vous faire exploser ? 900 mille milliards professeur ! Bravo 20/20 avec mention...). Il va de soi qu'un résultat qui dépasse cette valeur sort du cadre de l'expression de l'activité radiologique "réelle", "observable" et mesurable avec des instruments appropriés. Jamais en nature on n'observe plus d'activité radiologique qu'il n'y a d'atomes pour la produire. On s'attendrait donc que l'activité spécifique représente pour les éléments "infraliminaires" ce même guide pratique, entre autres dans le calcul du poids d'un élément à partir de son activité, qu'elle représente magistralement pour les éléments de période supérieure à la seconde: l'activité radiologique rencontrée dans l'espace de 1 seconde dans un gramme de cet élément. (L'activité spécifique est en pratique (pas en théorie) l'activité radiologique d'un élément donné de période supérieure à la seconde observable durant la première seconde de décroissance de la masse de 1 gramme dudit élément. Elle représente donc dans ce laps de temps de 1 seconde l'activité maximale observable dans cette masse à peau de chagrin, activité qui ira diminuant avec le temps (comme la masse radioactive ira également diminuant) à mesure que les atomes désintègreront selon un taux propre à l'élément considéré. Cette activité spécifique est ainsi non seulement une fraction de l'activité potentielle globale, physiquement limitée par le nombre total d'atomes radioactifs présents, mais n'est également qu'une fraction de l'activité effective de période qui est physiquement limitée à 50% des atomes présents.)
Premier contrôle. Que nous dit la nature ?
Combien
pèse 1 Bq de Be8 si celui-ci a une activité spécifique de 7,45E38 Bq/gr ?
1/7,45E38
=1,34E-39 grammes. La masse qui porte cet unique Bq est des milliards de fois
plus légère que le plus léger des atomes connus, l'hydrogène (1,6E-24 gr) !
1,6E-24/1,34E-39 = 1,19E15 ! Probablement même plus légère que les éphémères
bestioles du CERN ! Nous sommes surpris qu'une telle extraordinaire découverte
n'ait pas le retentissement qu'elle mérite. Il est inconcevable qu'on ne leur
attribue pas le Nobel. Nous avons heureusement avisé l'Académie suédoise.
Deuxième
contrôle.
Quantité
d'atomes dans 1 gr de Be8
6,0221415E+23/8
= 7,53E22 atomes/gr.
(Notons aussi,
en passant, qu'il faut seulement 9,9 milliards de tonnes de Be8 pour
avoir 7,45E38 atomes radioactifs de Be8.... 7,45E38/7,53E22 = 9,9E15 gr = 9,9E9
tonnes... Bref 1 gramme de Be8 pèse 9,9 milliards de tonnes... Logique n'est-ce
pas ? Ces gens savent-ils que lambda est aussi le poids spécifique de
l'activité spécifique ? Savent-ils que Lambda est à la fois activité émise et
masse démise durant la première unité de temps de décroissance d'une masse de 1
gr. ? Connaissent-ils la table de multiplication par 1 ! On se le
demande. Lambda * 1 atome = Lambda ! = activité de 1 atome par unité de
temps. Lambda * 1 gramme = Lambda ! = masse désintégrée durant la première
unité de temps de décroissance. Et donc (0,693/7E-17) * 1 gramme = 9,9
milliards de tonnes ! C'est le poids Nucleonica de l'activité spécifique de 1
gramme de Be8. Génial. Sidérant de constater qu'ils ne savent pas que Bq/gr *
masse de 1 atome donne Lambda, sidérant de constater que 1/Lambda ne soit vu
qu'au travers de la tarte à la crème de la vie moyenne alors que c'est aussi et
bien plus simplement la quantité d'atomes nécessaires à la sustentation d'une
activité de 1 Bq. Se sont-ils jamais demandé combien d'atomes étaient
nécessaires pour alimenter 1 Bq avec un Lambda de 9,9E15 ? Que non ! Dommage
car 1/9,9E15 (ou également 1 atome * 9,9E15) porte droit à la découverte de la
multidésintégration d'un atome et au Nobel !)
Troisième contrôle.
Que nous raconte un calcul exponentiel de décroissance sur 1 seconde pour cet élément ?
1-EXP(1* -(0,693/7E-17)) = 1
1*7,53E22
atomes/gr = 7,53E22 atomes désintégrés en 1 seconde et plus rien à
désintégrer...
Deux calculs "identiques" de décroissance, deux résultats contradictoires. L'activité spécifique Nucleonica est supérieure à l'activité désintégrée.
Le calcul Nucleonica désossé
Etape 1 Calcul de la probabilité Lambda. Attention les yeux !
0,693/7,00E-17 = 9,90E15 !!!!!!!
Etape 2 Le calcul de l’activité spécifique de 7,53E22
atomes (1 gr) !
9,90E15 * 7,53E22 = 7,45E38 Bq/gr
Grandiose ! Lambda *
Avogadro multiplie les Avogadro ! Quelle équipe !
Conclusion.
Plus de Bq (7,45E38) que d'atomes (7,53E22) !!! Des milliards de fois plus. Plus de désintégrations que d'atomes qui ne peuvent désintégrer. Magique ! (Jusqu’à présent la science nucléaire croyait que lorsqu’un atome désintégrait, il transmutait ipso facto en un nouvel élément chimique en raison du nouvel équilibre protons/neutrons au sein de son noyau. L’extraordinaire découverte de l’équipe de Nucleonica vient de prouver au contraire qu’un atome peut désintégrer des milliards de fois sans du tout transmuter, ni muter d'emblée son rapport protons/neutrons. C'est la raison pour laquelle les calculs montrent plus de Bq que d'atomes ! Une forme d'énergie nucléaire inconnue a été mise en évidence ! Le nouveau carburant nucléaire est arrivé ! Champagne ! Nucleonica bouleverse non seulement la loi de désintégration mais la physique nucléaire entière ! Nobel, Nobel !) Et il est ainsi pour tous les éléments de demi-vie < à la seconde, environ 1200... C'est proprement grotesque de prétendre que ceci soit une activité spécifique. Certes nous savons parfaitement produire nous même cette irréalité. Certes l’explosion exponentielle des nombres à laquelle on assiste est tout à fait effective. Nous le savons depuis toujours et l'avons conservée sous les yeux depuis 10 ans sur notre tableur des activités spécifiques de plus de 3700 éléments. Mais encore faut-il comprendre le sens de l’opérateur probabiliste Lambda qui, hors d'une expression exponentielle (NB. 1-(EXP(1* -Lambda)) donne toujours une valeur située entre 0 et 1 quelque soit la valeur de Lambda), génère cette expansion : quand un multiplicateur passe de 0,1 à plus de 1 il change de fonction sans changer d’opération. Il passe de la fonction "produire un sous-ensemble du multiplicande" à la fonction "produire un sur-ensemble du multiplicande". Il passe de la fonction "décroissance exponentielle" à la fonction "croissance exponentielle" ! Or le cybernétique Lambda a été choisi pour sa fonction "sous-ensemble" non pour son mode opératoire multiplicatif et Lambda change de fonction en cours de route, subrepticement et illégitimement. Lambda * Avogadro n'est pas fait pour multiplier les Avogadro ! Vous n'arrêtez pas de le dire. Tenez-vous y. Lambda, qui n'est qu'une pure et simple probabilité à savoir une valeur impérativement située dans l'intervalle 0-1, est là pour extraire à taux fixe et à quantité variable un sous-ensemble d’un ensemble variable donné. Or il bascule de machine à extraire autorégulée (en ce qu’elle ne dépasse jamais les nombres fixés par son univers physique de référence) qui fonctionne à la multiplication à simple machine à multiplier perdant sa fonction d’extraction donc ses limites, dérégulée. Comme ceci: Ln(2) * Avogadro/ (Masse atomique * Période en seconde) et nous savons parfaitement qu’elle tourne à merveille la formule. Mais avec un travers. On débute magistralement avec une représentative constante de désintégration "négative" (entre 0 et 1) (Ln(2)/Période en seconde) lorsque la période est supérieure à la seconde (ex virtuel : 0,693/11 s = 6,3E-2) et on aboutit lamentablement à une démentielle constante de désintégration "positive" (> à 1) lorsque cette période est inférieure à la seconde et convertie en seconde (0,693/0,011 s = 63). Car cette valeur "positive", parfaite à quantifier l’instabilité, aboutit de fait à une multiplication des Bq purement nominale, fausse dans les faits, que l’on n’observe nulle part et qu’aucun instrument n’a jamais détecté. Et à cette multiplication elle y arrive parce qu’elle ne contemple plus les limites physiques de son ensemble de référence et plie son Lambda "positif" à une fonction de multiplicateur de cet ensemble qu’il ne saurait en aucune façon avoir. Il y perdrait là son principe de réalité. Lambda sert à extraire à taux fixe et à quantité décroissante un sous-ensemble d’un ensemble décroissant donné. L’inéluctable « positivité du Lambda » porte inéluctablement à des conséquences absurdes lorsque l’on applique les formules en oubliant et les plus élémentaires règles de l'arithmétique (une proba se calcule avec un dénominateur jamais plus petit que le numérateur) et sa première leçon de radiologie : qu’il faut des atomes radioactifs pour faire de la radioactivité et que forts instables soient-ils, il n’en désintègrera pas plus qu’il y en a. (Un atome ne désintègre qu'une fois. Ils ne le savent pas...) Lambda est une machine à prélever des atomes dans un ensemble en contraction aux confins définis, dès lors qu’il devient "positif" (franchit la barre de l'unité) il ne prélève plus un sous-ensemble mais génère numériquement des atomes factices en multipliant inconsidérément son ensemble de référence duquel il dépend. En définitive et en synthèse et sans en rien bousculer la validité de la loi de désintégration: Lambda = Ln(2)/Période si et seulement la période est supérieure à Ln(2) et différente de 1. C'est simple à comprendre. Le référentiel de la seconde impose ses restrictions d'emploi. Il faut ajuster le référentiel temporel de l'équation aux temps réels de la décroissance de la nature si l'on souhaite calculer les activités spécifiques des éléments de période inférieure à la seconde. Calcul aussi simple qu'inutile (Be8: 7,45E20 Bq/gr 1 attoseconde, 1E-18 secondes) que nous avons fait il a quelques année et avons flanqué juste au coté de la colonne des activités folles, intitulée "The délire". Ces folles données coincident en tout et pour tout avec celles de Nucleonica que nous complimentons. Nous sommes en mesure de certifier que ce sont de vraies fausses données. Ce qui ne nous déplait guère dans le fond. Nous nous plaisons à imaginer un percepteur des impôts en fonction Lambda positif sur notre compte en banque. Vous l’attendez pour qu’il vous ponctionne mais au contraire il vous surmultiplie le capital. Ni les physiciens d’office, ni les alchimistes du fleuron ne sauraient contredire. Une véritable aubaine !
Plus de Bq (7,45E38) que d'atomes (7,53E22) !!! Des milliards de fois plus. Plus de désintégrations que d'atomes qui ne peuvent désintégrer. Magique ! (Jusqu’à présent la science nucléaire croyait que lorsqu’un atome désintégrait, il transmutait ipso facto en un nouvel élément chimique en raison du nouvel équilibre protons/neutrons au sein de son noyau. L’extraordinaire découverte de l’équipe de Nucleonica vient de prouver au contraire qu’un atome peut désintégrer des milliards de fois sans du tout transmuter, ni muter d'emblée son rapport protons/neutrons. C'est la raison pour laquelle les calculs montrent plus de Bq que d'atomes ! Une forme d'énergie nucléaire inconnue a été mise en évidence ! Le nouveau carburant nucléaire est arrivé ! Champagne ! Nucleonica bouleverse non seulement la loi de désintégration mais la physique nucléaire entière ! Nobel, Nobel !) Et il est ainsi pour tous les éléments de demi-vie < à la seconde, environ 1200... C'est proprement grotesque de prétendre que ceci soit une activité spécifique. Certes nous savons parfaitement produire nous même cette irréalité. Certes l’explosion exponentielle des nombres à laquelle on assiste est tout à fait effective. Nous le savons depuis toujours et l'avons conservée sous les yeux depuis 10 ans sur notre tableur des activités spécifiques de plus de 3700 éléments. Mais encore faut-il comprendre le sens de l’opérateur probabiliste Lambda qui, hors d'une expression exponentielle (NB. 1-(EXP(1* -Lambda)) donne toujours une valeur située entre 0 et 1 quelque soit la valeur de Lambda), génère cette expansion : quand un multiplicateur passe de 0,1 à plus de 1 il change de fonction sans changer d’opération. Il passe de la fonction "produire un sous-ensemble du multiplicande" à la fonction "produire un sur-ensemble du multiplicande". Il passe de la fonction "décroissance exponentielle" à la fonction "croissance exponentielle" ! Or le cybernétique Lambda a été choisi pour sa fonction "sous-ensemble" non pour son mode opératoire multiplicatif et Lambda change de fonction en cours de route, subrepticement et illégitimement. Lambda * Avogadro n'est pas fait pour multiplier les Avogadro ! Vous n'arrêtez pas de le dire. Tenez-vous y. Lambda, qui n'est qu'une pure et simple probabilité à savoir une valeur impérativement située dans l'intervalle 0-1, est là pour extraire à taux fixe et à quantité variable un sous-ensemble d’un ensemble variable donné. Or il bascule de machine à extraire autorégulée (en ce qu’elle ne dépasse jamais les nombres fixés par son univers physique de référence) qui fonctionne à la multiplication à simple machine à multiplier perdant sa fonction d’extraction donc ses limites, dérégulée. Comme ceci: Ln(2) * Avogadro/ (Masse atomique * Période en seconde) et nous savons parfaitement qu’elle tourne à merveille la formule. Mais avec un travers. On débute magistralement avec une représentative constante de désintégration "négative" (entre 0 et 1) (Ln(2)/Période en seconde) lorsque la période est supérieure à la seconde (ex virtuel : 0,693/11 s = 6,3E-2) et on aboutit lamentablement à une démentielle constante de désintégration "positive" (> à 1) lorsque cette période est inférieure à la seconde et convertie en seconde (0,693/0,011 s = 63). Car cette valeur "positive", parfaite à quantifier l’instabilité, aboutit de fait à une multiplication des Bq purement nominale, fausse dans les faits, que l’on n’observe nulle part et qu’aucun instrument n’a jamais détecté. Et à cette multiplication elle y arrive parce qu’elle ne contemple plus les limites physiques de son ensemble de référence et plie son Lambda "positif" à une fonction de multiplicateur de cet ensemble qu’il ne saurait en aucune façon avoir. Il y perdrait là son principe de réalité. Lambda sert à extraire à taux fixe et à quantité décroissante un sous-ensemble d’un ensemble décroissant donné. L’inéluctable « positivité du Lambda » porte inéluctablement à des conséquences absurdes lorsque l’on applique les formules en oubliant et les plus élémentaires règles de l'arithmétique (une proba se calcule avec un dénominateur jamais plus petit que le numérateur) et sa première leçon de radiologie : qu’il faut des atomes radioactifs pour faire de la radioactivité et que forts instables soient-ils, il n’en désintègrera pas plus qu’il y en a. (Un atome ne désintègre qu'une fois. Ils ne le savent pas...) Lambda est une machine à prélever des atomes dans un ensemble en contraction aux confins définis, dès lors qu’il devient "positif" (franchit la barre de l'unité) il ne prélève plus un sous-ensemble mais génère numériquement des atomes factices en multipliant inconsidérément son ensemble de référence duquel il dépend. En définitive et en synthèse et sans en rien bousculer la validité de la loi de désintégration: Lambda = Ln(2)/Période si et seulement la période est supérieure à Ln(2) et différente de 1. C'est simple à comprendre. Le référentiel de la seconde impose ses restrictions d'emploi. Il faut ajuster le référentiel temporel de l'équation aux temps réels de la décroissance de la nature si l'on souhaite calculer les activités spécifiques des éléments de période inférieure à la seconde. Calcul aussi simple qu'inutile (Be8: 7,45E20 Bq/gr 1 attoseconde, 1E-18 secondes) que nous avons fait il a quelques année et avons flanqué juste au coté de la colonne des activités folles, intitulée "The délire". Ces folles données coincident en tout et pour tout avec celles de Nucleonica que nous complimentons. Nous sommes en mesure de certifier que ce sont de vraies fausses données. Ce qui ne nous déplait guère dans le fond. Nous nous plaisons à imaginer un percepteur des impôts en fonction Lambda positif sur notre compte en banque. Vous l’attendez pour qu’il vous ponctionne mais au contraire il vous surmultiplie le capital. Ni les physiciens d’office, ni les alchimistes du fleuron ne sauraient contredire. Une véritable aubaine !
PS. Pensant aussi à tous ces petits enfants qui ignorent que l'algèbre se rapporte à l'arithmétique, nous pourrions plus simplement dire.
10 * 0,2 = 2
Le
produit de la multiplication, le résultat 2, est plus petit que le
multiplicande. (Le premier chiffre, le 10). C’est donc un sous-ensemble du
multiplicande.
10 * 2 = 20
Le
produit de la multiplication, le résultat 20, est plus grand que le
multiplicande. C’est donc un sur-ensemble du multiplicande.
Morale
les enfants ? "Quand on multiplie on peut obtenir deux types de produits
différents. Et puis Lambda, un simple pourcentage, qui sert de multiplicateur
des Avogadro, il doit obligatoirement travailler à produire des sous-ensembles
d'Avogadro et donc il faut qu'il commence toujours par zéro et en tous cas
qu'il ne dépasse jamais 1. Comme Bq/gr est le produit de (Avogadro/Masse
atomique) * Lambda, il faut faire attention lorsque l'on doit faire des
sous-ensembles avec la multiplication. En particulier lorsque l'on calcule
Lambda avec des périodes inférieures, ou égales, au référentiel temporel
conventionnel: la seconde. Et à tout dire pour les périodes inférieures à ln(2)
seconde. Tout élément qui a une période naturelle de décroissance inférieure au
temps conventionnel de l’équation donne donc des activités spécifiques folles
si l'on n'adapte pas le référentiel temporel du calcul à son rythme atomique
effectif. A titre de preuve complémentaire, il suffit de comparer le
traditionnel Bq/gr s-1 au Bq/gr m-1 pour s’en rendre compte, de passer donc
d’un calcul d’activité spécifique seconde à un calcul, tout à fait possible,
d’activité spécifique minute et d'observer ce qu'il survient pour les éléments
de période de moins de 1 minute.
Exemple C10. Période: 19,255 secondes.
6,02214E+22
atomes par gramme.
Calcul seconde. Lambda:
0,0359
(0,693/19,255) *
(6,02214E23/10) = 2,16E21 Bq/gr seconde
Calcul minute. Lambda: 2,1598
(0,693/(19,255/60)) *
(6,02214E23/10)= 1,3E23 Bq/gr minute
(Plus
de Bq que d'atomes... Voici les savantes conséquences du calcul Nucleonica ici
reproduit tel quel à un autre échelon temporel. Un calcul de croissance
exponentielle pris un calcul de décroissance exponentielle ! La révolution de
la désintégration. Nous sommes anxieux de connaitre les relevés radiologiques
qui démontrent qu'un gramme de C10, de période de 19,255 secondes donc
parfaitement détectable, émet 1,3E23 Bq en 1 minute, 7,8E24 Bq en 1 heure
et 1,87E26 Bq en 1 jour (etc.). Nucleonica les sortira probablement de ses
Geiger puisque ces couillons de laboratoires de la planète n'ont pas encore su
trouver des mesures aussi intenses... De qui se moque-t-on ? Qui badine avec
les calculs nucléaires ? On ne peut forcer par le calcul un atome à désintégrer
dans un temps qui n'est pas le sien.)
Par contre tout élément supérieur à la minute se maintient toujours dans les limites atomiques de son univers d'application.
Exemple: C11. Période 20,39 minutes.
5,47467E+22
atomes par gramme.
Calcul seconde. Lambda:
0,000567
(0,693/(20,39*60)) *
(6,02214E23/11) = 3,1E19 Bq/gr seconde
Calcul minute. Lambda: 0,033994
(0,693/20,39) * (6,02214E23/11)
= 1,86E21 Bq/gr minute.
Bravo
les enfants, vous avez pigé qu'un calcul de décroissance de la première seconde
de décroissance d'une masse de 1 gramme n'est un calcul d'activité spécifique
que pour les éléments de période supérieure à la seconde, pour les autres c'est
un simple calcul de décroissance sur une seconde mais qu'il vous faudra
accomplir là à travers l'équation exponentielle tout simplement parce que votre
t n'est plus de 1. Vous avez pigé, si vous tenez tant à opter pour une unité de
temps universel, qu'il vous faudra choisir celle définie par l'élément de plus
courte période autant vous dire du pas pratique du tout (pensez à l'activité
spécifique de l'U238 en attoseconde, va pas y avoir grand monde !) Vous avez
pigé que pour calculer une probabilité il faut un dénominateur plus grand
que le numérateur et au plus égal (par contre pour calculer autre chose qu'une
probabilité -Ln(2)/Lambda par exemple- le dénominateur est libre) et que dans
le cas du lambda pour un élément de période pile poil de 1 vaut mieux passer
par l'équation exponentielle qui vous évite elle de bouffer 69,3% des atomes en
une demi-vie, équation exponentielle du reste meilleure avec les dénominateurs
au dessous de 200. Bravo les enfants, vous serez physiciens
nucléaires et superpuissances. Contaminez en paix.
PS. Monsieur Jacques Foos dans son Constantes
nucléaires tout en avançant également des chiffres d'activité spécifique
pour les éléments "infraliminaires" qui, en contradiction patente
avec la loi physique, excèdent le nombre d'atomes a l'intelligence de souligner
que ceux-ci "n'ont pas de grande signification physique".
L'AIPRI, au devant de ces grossières erreurs, un dénominateur inférieur au numérateur pour calculer une probabilité vaut son pesant d'ineptie universelle, qui violent les principes de la loi de désintégration et de la physique nucléaire, se trouve contrainte de mettre en garde contre les données contaminées présentes sur le site Nucleonica. En particulier les données physiques essentielles qui regardent la radioprotection des individus et des populations, les calculs de dose interne, sont fausses et archi-fausses. Ce sont, au demeurant, de pures et simples "radioactive mass murder licence" rédigées (souvent purement et simplement recopiées d'ailleurs) par des ignorants kamikazes atomiques qui ne savent ni décomposer ni recomposer les facteurs de doses internes qu'ils avancent. Car s'ils savaient le faire ils se mettraient les mains dans les cheveux, horrifiés par le massacre qu'ils préfigurent. Au fait, savez-vous, dixit AIEA, qu'avec 0,1 Curie par km2 de déposition au sol d'un quelconque isotope du Pu c'est l'évacuation immédiate et éternelle ? Savez-vous combien pèse 0,1 Curie de Pu 238 ? Savez-vous, en outre, en combien de particules se fractionne 1 gramme de matière radioactive pyrophore ? Avez-vous la moindre idée du nombre de poussières radioactives nanométriques que vos enfants et vous mêmes respirez chaque jour ? Savez-vous qu'au moins dix-mille tonnes d'uranium "appauvri" (de 22% de son activité) ont été répandues ces 20 dernières années dans l'atmosphère sous l'égide de votre silence complice ? Non ? Cela ne nous étonne guère incapables que vous êtes également d'estimer les charges des explosions nucléaires dont nous avons hérité les poussières fines. Préparez vos cancers. L'uranium et le plutonium c'est pas du chocolat.
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Table de 673 radionucléides, ordre alphabétique, leur demi-vie radioactive, leur mode d’irradiation et le poids d’un Curie de chaque élément. Cette table est COPYRIGHT et compilée par Maurice-Eugène ANDRE spécialisé en protection NBCR (nucléaire, biologique, chimique et radiologique) et le chercheur Paolo SCAMPA. La présente table remplace en la complétant, celle qui fut publiée le 29 août 2003 dans notre édition qui comprenait 382 atomes ayant une demi-vie radioactive allant de UN jour à plus de 14 milliards d’années. La présente table contient maintenant des éléments ayant des demi-vies allant de UNE HEURE à plus de 14 milliards d’années.
Dépôt
légal à la Bibliothèque Royale de Belgique, 4 Boulevard de l’Empereur- 1000
Bruxelles
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Lambda = (1-(2^(-1/T½)) = ln(2)/T½ si et seulement si T½ >0,693 et différent de 1
La constante de désintégration s’obtient aussi bien par un calcul classique de décroissance que par un calcul "logarithmique". (Sans oublier qu'il s'agit avant tout d'un rapport entre une quantité donnée de Bq émis et une masse d'atomes radioactifs numériquement définie: diviser les Bq "observés" par les Bq "potentiels" et comme la nature le prouve ce rapport est toujours < à 1 par unité de temps inférieure au temps infini.)
Exemple T ½ = 5E6 secondes
Lambda= (1-(2^(-1/5E6)) =
1,38629E-7
Lambda= Ln(2)/5E6 = 1,38629E-7
Les deux opérations donnent, logiquement, ici la même constante de désintégration Lambda. Mais il n’en est plus de même lorsque la période est inférieure à la seconde et rapportée à la seconde. Deux résultats divers comparaissent alors.
T ½ = 500 millisecondes = 0,5 seconde
(1-(2^(-1/0,5))
= 0,75
Ln(2)/0,5
= 1,38629
Ni
l’un, ni l’autre calcul n’est dans cette circonstance habilité à la
détermination de la constante de désintégration et par là à l’activité
spécifique s-1. En effet le « temps de calcul » est dans les deux cas supérieur
au temps naturel de la période de l’élément. Dans le cas du calcul de
décroissance, en tant que tel indiscutable, on note que la valeur obtenue porte
à dépasser 50% des atomes, ce qu'une activité spécifique, fraction de
l'activité de période, ne saurait faire, et dans le cas du calcul
"logarithmique" que la valeur dépasse également 100% des atomes, ce
qui est proprement encore plus insensé. Pour restituer leur fonction « Lambda »
pour ces deux modes de calcul il faut par conséquent adopter le référentiel
temporel de la période effective de l’élément.
T ½ =
500 millisecondes
Lambda=
(1-(2^(-1/500)) = 0,00138
Lambda=
Ln(2)/500 = 0,00138 Formalisé autrement
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