Exposé de la méthode des faux calculs nucléaires produits par certains pour arriver à trouver des doses qui satisferont l’industrie nucléaire, mais produiront en finale une vraie hécatombe planétaire.
L’énergie ionisante est une énergie mortifère. Elle est particulièrement létale lorsqu’elle est introduite dans le corps par des particules radioactives infinitésimales qui approchent de très près les cellules vivantes de notre organisme. (Effet de proximité.) Il suffira en effet qu’une seule et unique particule microscopique bombarde de manière chronique les tissus qui l’entourent pour provoquer, des années voire des décennies plus tard, le surgissement d’un cancer. Toutefois pour comprendre et prouver l’extrême danger constitué ces insolubles nanoparticules métalliques radioactives artificielles, en particulier de celles qui émettent des rayonnements Alpha comme le plutonium 239 ou l’uranium 238, encore faut-il correctement calculer la dose d’irradiation délivrée aux tissus environnants. Se tromper ici dans ce calcul en sous-estimant la dose pathogène délivrée c’est fourvoyer toute la recherche scientifique médicale et physique, c’est baisser artificiellement les seuils officiels de radio-protection des personnes et des populations, c’est autoriser la contamination atomique de l’air, de la terre et des eaux et c’est au bout du compte ni plus ni moins précipiter l’humanité entière dans le gouffre et dans la mort.
1 Qu’est-ce qu’un calcul de dose ?
Calculer une dose d’irradiation ionisante ce n'est rien de plus que répartir correctement l’énergie radioactive délivrée dans la masse de chair qui l’a absorbée. C’est telle quantité d’énergie dissipée divisée par tel volume de chair qui l’a absorbée.
L’intensité de l’irradiation dépend étroitement du volume irradié. Plus le volume irradié grossit plus l’irradiation est faible, plus le volume diminue plus l’irradiation est intense. Pour estimer avec objectivité la dose reçue il est capital de préciser que ce volume irradié de chair est fonction du rayon de pénétration des rayons ionisants; rayon de pénétration parfaitement connu et forcément borné qui ne saurait irradier la chair qu’il n’atteint pas. Le volume de chair irradié ne saurait être pour autant beaucoup plus grand que le volume dessiné par la trajectoire du rayon. Tout comme un clou fait un trou dans le mur à la mesure de la longueur et de l’épaisseur du clou, une particule alpha irradie une masse de chair à la mesure du volume occupé par sa trajectoire dans la chair.
En bref, dans tout calcul de dose la détermination objective du volume «absorbant» est cruciale. Fausser ce diviseur serait en effet immédiatement fausser l’évaluation correcte de la dose. Le grossir de manière artificielle, pour ne pas dire frauduleuse, serait minorer la dose pathogène réellement reçue.
2 Quel volume utilise la physique nucléaire officielle ? Utilise-t-elle le volume réellement irradié ?
Non et l’exemple qui suivra cet exposé montrera une fraude gigantesque qui atteindra le milliard de fois l’augmentation de la zone réelle irradiée afin de diviser d’autant la dose réellement reçue.
Ce grossissement incommensurable des volumes irradiés avec la sous-estimation monstrueuse des doses pathogènes absorbées qui en découle, cette falsification systématique du réel physique est cependant la norme officielle et la pratique courante qui se joue depuis l’aube nucléaire sous les yeux ignorants, indifférents et arrogants des physiciens diplômés. Car le volume officiel considéré irradié est grossi un milliard de fois respectivement au volume réellement irradié. C’est pourtant ce monstre boursouflé qui régente notre radioprotection, qui réglemente les législations et les décisions de justices, qui, consentant la pollution radioactive de la biosphère et de la terre, porte à la mort collective les populations et les soldats.
Cette infernale inflation des volumes, cette criminelle minoration des doses reçues, correspond en tout et pour tout avec ce que Maurice Eugène André avait déjà souligné et dénoncé depuis longtemps avec ses travaux mathématiques sur «l’effet de proximité»[1].
Mais jugez par vous même. Bien que l'on sache le rayonnement alpha physiquement borné à 50 micron dans les tissus[2] et en mesure d'irradier à terme uniquement une sphère maximale de 100 micron de diamètre pesant 5,24E-7 gramme, (E-7 signifiant exposant-7) l’énergie d’une particule de plutonium 239 logée dans un poumon est absorbée, « selon nos savants officiels », par ce poumon entier de 570 grammes! Bref ne lui fait rien du tout puisque l’énergie radiative se trouve répartie dans un volume énorme[3] et totalement falsifié ! Passez sur le tour inutilement compliqué pris là pour calculer le nombre de désintégrations en 2 ans émises par cette particule de plutonium, concentrez-vous sur la valeur du diviseur. C'est là que les faussaires interviennent et que les ignorants trébuchent. Car 570 grammes au lieu de 5,235983E-7 gramme c’est une différence abyssale. L'énergie y est là artificiellement distribuée dans un volume de chair qui est 1 milliard de fois plus grand qu'il ne peut physiquement l'être (570/5,235983E-7 = 1.088.620.730)…
Notre destin planétaire se joue pourtant là dans ce diviseur qui minore artificiellement de plusieurs centaines de millions de fois la dose réelle absorbée. C'est grâce à cette tromperie qu'on a répandu autant d'uranium 238 dans l'air sans réagir, c’est grâce à elle qu’on dénie la justice aux populations malades et aux soldats contaminés, c’est grâce à elle que l’on habite ici et là des zones interdites.
3 Conclusion
Ces calculs enflent ainsi à démesure les volumes afin de baisser d’autant les doses «effectivement» absorbées, afin de leur donner la rassurante innocuité apparente du millisievert et du millirad. On ne peut plus faussement, ces «calculs officiels» considèrent ionisés des vastes portions de chair pourtant intactes. Une si monumentale bévue (voulue) en « radio-protection » est d’une gravité extrême. Elle entraîne une perverse sous-estimation systématique des doses absorbées, elle atténue d’office les dangers et falsifie le seuil d’alarme. Elle n’est pour cela rien de moins qu’un crime passible de cour martiale. Car ce n’est pas là seulement se tromper dans les calculs mais aussi tromper ceux dont la vie dépend de ces calculs: les agents du nucléaire, les malades, les soldats, l’humanité entière. On ne badine pas impunément avec les calculs nucléaires.
Ces calculs officiels de « radio-protection » ne sont ainsi rien d’autre que les masques ignobles d’une «radio-agression» généralisée des personnes et des populations. Mais qu’importe aux «scientifiques» préposés si l’artifice de calcul est l’article de la mort de l’humanité. Qu’importe s’ils le taisent, voire le méconnaissent, pendant que «l’atome de la paix» contamine et tue. Un prix Nobel de la Paix des cimetières le couronne.
Maurice E. ANDRE
PRESIDENT DE L’AIPRI
Paolo SCAMPA
Vice-président de l’AIPRI
CI -DESSOUS TEXTE REFUTE PAR NOUS.
L’énergie ionisante est une énergie mortifère. Elle est particulièrement létale lorsqu’elle est introduite dans le corps par des particules radioactives infinitésimales qui approchent de très près les cellules vivantes de notre organisme. (Effet de proximité.) Il suffira en effet qu’une seule et unique particule microscopique bombarde de manière chronique les tissus qui l’entourent pour provoquer, des années voire des décennies plus tard, le surgissement d’un cancer. Toutefois pour comprendre et prouver l’extrême danger constitué ces insolubles nanoparticules métalliques radioactives artificielles, en particulier de celles qui émettent des rayonnements Alpha comme le plutonium 239 ou l’uranium 238, encore faut-il correctement calculer la dose d’irradiation délivrée aux tissus environnants. Se tromper ici dans ce calcul en sous-estimant la dose pathogène délivrée c’est fourvoyer toute la recherche scientifique médicale et physique, c’est baisser artificiellement les seuils officiels de radio-protection des personnes et des populations, c’est autoriser la contamination atomique de l’air, de la terre et des eaux et c’est au bout du compte ni plus ni moins précipiter l’humanité entière dans le gouffre et dans la mort.
1 Qu’est-ce qu’un calcul de dose ?
Calculer une dose d’irradiation ionisante ce n'est rien de plus que répartir correctement l’énergie radioactive délivrée dans la masse de chair qui l’a absorbée. C’est telle quantité d’énergie dissipée divisée par tel volume de chair qui l’a absorbée.
L’intensité de l’irradiation dépend étroitement du volume irradié. Plus le volume irradié grossit plus l’irradiation est faible, plus le volume diminue plus l’irradiation est intense. Pour estimer avec objectivité la dose reçue il est capital de préciser que ce volume irradié de chair est fonction du rayon de pénétration des rayons ionisants; rayon de pénétration parfaitement connu et forcément borné qui ne saurait irradier la chair qu’il n’atteint pas. Le volume de chair irradié ne saurait être pour autant beaucoup plus grand que le volume dessiné par la trajectoire du rayon. Tout comme un clou fait un trou dans le mur à la mesure de la longueur et de l’épaisseur du clou, une particule alpha irradie une masse de chair à la mesure du volume occupé par sa trajectoire dans la chair.
En bref, dans tout calcul de dose la détermination objective du volume «absorbant» est cruciale. Fausser ce diviseur serait en effet immédiatement fausser l’évaluation correcte de la dose. Le grossir de manière artificielle, pour ne pas dire frauduleuse, serait minorer la dose pathogène réellement reçue.
2 Quel volume utilise la physique nucléaire officielle ? Utilise-t-elle le volume réellement irradié ?
Non et l’exemple qui suivra cet exposé montrera une fraude gigantesque qui atteindra le milliard de fois l’augmentation de la zone réelle irradiée afin de diviser d’autant la dose réellement reçue.
Ce grossissement incommensurable des volumes irradiés avec la sous-estimation monstrueuse des doses pathogènes absorbées qui en découle, cette falsification systématique du réel physique est cependant la norme officielle et la pratique courante qui se joue depuis l’aube nucléaire sous les yeux ignorants, indifférents et arrogants des physiciens diplômés. Car le volume officiel considéré irradié est grossi un milliard de fois respectivement au volume réellement irradié. C’est pourtant ce monstre boursouflé qui régente notre radioprotection, qui réglemente les législations et les décisions de justices, qui, consentant la pollution radioactive de la biosphère et de la terre, porte à la mort collective les populations et les soldats.
Cette infernale inflation des volumes, cette criminelle minoration des doses reçues, correspond en tout et pour tout avec ce que Maurice Eugène André avait déjà souligné et dénoncé depuis longtemps avec ses travaux mathématiques sur «l’effet de proximité»[1].
Mais jugez par vous même. Bien que l'on sache le rayonnement alpha physiquement borné à 50 micron dans les tissus[2] et en mesure d'irradier à terme uniquement une sphère maximale de 100 micron de diamètre pesant 5,24E-7 gramme, (E-7 signifiant exposant-7) l’énergie d’une particule de plutonium 239 logée dans un poumon est absorbée, « selon nos savants officiels », par ce poumon entier de 570 grammes! Bref ne lui fait rien du tout puisque l’énergie radiative se trouve répartie dans un volume énorme[3] et totalement falsifié ! Passez sur le tour inutilement compliqué pris là pour calculer le nombre de désintégrations en 2 ans émises par cette particule de plutonium, concentrez-vous sur la valeur du diviseur. C'est là que les faussaires interviennent et que les ignorants trébuchent. Car 570 grammes au lieu de 5,235983E-7 gramme c’est une différence abyssale. L'énergie y est là artificiellement distribuée dans un volume de chair qui est 1 milliard de fois plus grand qu'il ne peut physiquement l'être (570/5,235983E-7 = 1.088.620.730)…
Notre destin planétaire se joue pourtant là dans ce diviseur qui minore artificiellement de plusieurs centaines de millions de fois la dose réelle absorbée. C'est grâce à cette tromperie qu'on a répandu autant d'uranium 238 dans l'air sans réagir, c’est grâce à elle qu’on dénie la justice aux populations malades et aux soldats contaminés, c’est grâce à elle que l’on habite ici et là des zones interdites.
3 Conclusion
Ces calculs enflent ainsi à démesure les volumes afin de baisser d’autant les doses «effectivement» absorbées, afin de leur donner la rassurante innocuité apparente du millisievert et du millirad. On ne peut plus faussement, ces «calculs officiels» considèrent ionisés des vastes portions de chair pourtant intactes. Une si monumentale bévue (voulue) en « radio-protection » est d’une gravité extrême. Elle entraîne une perverse sous-estimation systématique des doses absorbées, elle atténue d’office les dangers et falsifie le seuil d’alarme. Elle n’est pour cela rien de moins qu’un crime passible de cour martiale. Car ce n’est pas là seulement se tromper dans les calculs mais aussi tromper ceux dont la vie dépend de ces calculs: les agents du nucléaire, les malades, les soldats, l’humanité entière. On ne badine pas impunément avec les calculs nucléaires.
Ces calculs officiels de « radio-protection » ne sont ainsi rien d’autre que les masques ignobles d’une «radio-agression» généralisée des personnes et des populations. Mais qu’importe aux «scientifiques» préposés si l’artifice de calcul est l’article de la mort de l’humanité. Qu’importe s’ils le taisent, voire le méconnaissent, pendant que «l’atome de la paix» contamine et tue. Un prix Nobel de la Paix des cimetières le couronne.
Maurice E. ANDRE
PRESIDENT DE L’AIPRI
Paolo SCAMPA
Vice-président de l’AIPRI
CI -DESSOUS TEXTE REFUTE PAR NOUS.
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The nuclear energy option, Plenum Presse, 1990, Bernard L. Cohen.
http://www.phyast.pitt.edu/~blc/book/chapter13.htmlRadiation Dose to Lung from Plutonium and the Lung Cancer RiskThis calculation requires knowing (or accepting) somescientific definitions and may therefore not be understandable to many readers.
We calculate the dose to the lung from a trillionth of apound of plutonium residing there for 2 years. The numberof plutonium atoms is 10-12 lb x 450 g/lb x (6 x 1023 atoms/239 gm)= 1.1 x 1012 where 6 x 1023 is Avogadro's number and 239 is the atomic weight. Since half of the plutonium atoms will decay in 24,000 years (the half life), the fraction undergoing decay during the 2 years it spends in the lung is a little more than one in 24,000;actually it is 1/17,000. The number that decay is then(1.1 x 1012/17,000 =) 7 x 107. Each decayreleases an energy of about (5 MeV x 1.6 x 10-13 joules/MeV =) 8 x 10-13 joules, so the total radiation energy deposited is(7 x 107 x 8 x 10-13 =) 5.6 x 10-5 joules. The weight of the average person's lung is 0.57 kg46;thus the energy deposited is (5.6 x 10-5 / 0.57 =) 1 x 10-4joules/kg. The definition of a millirad is 1 x 10-5 joules of energydeposit per kg of tissue. The dose is therefore (1 x 10-4 / 1 x 10-5 =) 10 millirad. Since only 15% on what is inhaled spends this 2 years in the lung, 23 the exposure per trillionth of a pound inhaled is (10 x 0.15 =) 1.5 millirad. For alpha particles - the radiation emitted by plutonium - 1 millirad equals 20 millirem, so the dose to the lung is (1.5 x 20 =) 30 millirem per trillionth of a pound inhaled.
Estimates by BEIR, UNSCEAR, and ICRP give a risk of about 5 x 10–7 lung cancers per millirad of alpha particle exposure. The number of lung cancers per pound inhaled is therefore (1.5 x 1012 x 5 x 10-7 =) 8 x 105. Mays estimates 4 x 105 liver and bone cancers per pound inhaled, bringing the total effect to 1.2 million cancers of all types per pound inhaled.
The nuclear energy option, Plenum Presse, 1990, Bernard L. Cohen.
http://www.phyast.pitt.edu/~blc/book/chapter13.htmlRadiation Dose to Lung from Plutonium and the Lung Cancer RiskThis calculation requires knowing (or accepting) somescientific definitions and may therefore not be understandable to many readers.
We calculate the dose to the lung from a trillionth of apound of plutonium residing there for 2 years. The numberof plutonium atoms is 10-12 lb x 450 g/lb x (6 x 1023 atoms/239 gm)= 1.1 x 1012 where 6 x 1023 is Avogadro's number and 239 is the atomic weight. Since half of the plutonium atoms will decay in 24,000 years (the half life), the fraction undergoing decay during the 2 years it spends in the lung is a little more than one in 24,000;actually it is 1/17,000. The number that decay is then(1.1 x 1012/17,000 =) 7 x 107. Each decayreleases an energy of about (5 MeV x 1.6 x 10-13 joules/MeV =) 8 x 10-13 joules, so the total radiation energy deposited is(7 x 107 x 8 x 10-13 =) 5.6 x 10-5 joules. The weight of the average person's lung is 0.57 kg46;thus the energy deposited is (5.6 x 10-5 / 0.57 =) 1 x 10-4joules/kg. The definition of a millirad is 1 x 10-5 joules of energydeposit per kg of tissue. The dose is therefore (1 x 10-4 / 1 x 10-5 =) 10 millirad. Since only 15% on what is inhaled spends this 2 years in the lung, 23 the exposure per trillionth of a pound inhaled is (10 x 0.15 =) 1.5 millirad. For alpha particles - the radiation emitted by plutonium - 1 millirad equals 20 millirem, so the dose to the lung is (1.5 x 20 =) 30 millirem per trillionth of a pound inhaled.
Estimates by BEIR, UNSCEAR, and ICRP give a risk of about 5 x 10–7 lung cancers per millirad of alpha particle exposure. The number of lung cancers per pound inhaled is therefore (1.5 x 1012 x 5 x 10-7 =) 8 x 105. Mays estimates 4 x 105 liver and bone cancers per pound inhaled, bringing the total effect to 1.2 million cancers of all types per pound inhaled.
[2] “Hot” or radioactive particle in lung tissue”, photo by Del Tredici, Burdens of Proof by Tim Connor, Energy Research Foundation, 1997.
http://www.mindfully.org/Nucs/Hot-Particle-Lung-Tissue1997.htm
http://www.ccnr.org/alpha_in_lung_f.html
http://lowdose.tricity.wsu.edu/resources_pics/pages/003%20image_gif.htm
[3] C’est comme soutenir qu’une grenade lancée dans une pièce remplie de monde ne produit aucun dégât puisque le quartier où l’explosion est advenue est toujours debout, intact.
http://www.ccnr.org/alpha_in_lung_f.html
http://lowdose.tricity.wsu.edu/resources_pics/pages/003%20image_gif.htm
[3] C’est comme soutenir qu’une grenade lancée dans une pièce remplie de monde ne produit aucun dégât puisque le quartier où l’explosion est advenue est toujours debout, intact.
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