7,8E-4
Bq/ml -> 0,780 Bq/l -> 780 Bq/m3.
Que les choses soient dites clairement. Après tout c’est l’AIEA qui le souligne.
Il faut une contamination d’au moins 780 Becquerel par mètre cube d’eau de mer pour
que le plutonium 239 soit détecté. Au-dessous de cette limite de détection de 780
Bq/m3 personne ne trouve quoi que ce soit. Fukushima peut ainsi tranquillement
contaminer le Pacifique et provoquer l’extinction au plutonium des espèces :
cela ne se détectera pas. Mortel à dose homéopathique mais indétectable, tel
est l’avantage toxique du plutonium, explosif prisé. L’AIPRI, n’ignorant point
qu’en moyenne un poisson de 1 kg absorbe la charge radioactive en plutonium qui
se trouve dans 1 m3 d’eau de mer, souhaite un excellent appétit à
tous les pauvres négationnistes en sursis qui depuis des années se goinfrent de
plutonium comme s’il s’agissait de chocolat. Nous leur rappelons que 2 tonnes
de plutonium ont fui Fukushima selon la Nuclear Regulatory
Commission américaine.
Radioactive particles in the Environment: Sources,
Particle Characterization and Analytical Techniques. IEAE-TECDOC-1663
Page 32.
Aucun commentaire:
Enregistrer un commentaire