lundi 14 mars 2011

Fukushima 3: Combustibile Mox = 3 tonnellate di plutonio 239

Ai sciacalli che prendono la tragedia nipponica per uno spot nucleare. Ai sciacalli che tra qualche giorno respireranno tumore radiologico indotto. Ai sciacalli che non sanno fare l'analisi comparativa delle esplosioni  e che non sanno che sul tetto, all'epoca le costruivano così, della  centrale n°3 esplosa vi era la piscina delle scorie nucleari spente -pare circa 1700 tonnellate- (Fonte NYT e AIEA... e con dettagli controllabili qui. Aggiornamento. E logicamente scoppiata la terza centrale senza sfiato sufficiente di Fukushima.  Gli architetti invece di mettere una bella finestra di emergenza sul soffitto della cucina buia (gabbia di contenimento) in grado di liberare velocemente in caso di emergenza l'idrogeno eccedente prodotto dalla imballata pentola a pressione (cuore)  hanno installato una piscina riempita di scorie nucleari anch'esse da raffreddare imperativamente pena emanazioni di idrogeno... La popolazione di Tokyio già respira radioattività particellare di uranio arricchito, di plutonio, di cesio, di stronzio di quelle scorie vaporizzate durante la seconda esplosione. Poi toccherà a noi. Il fallout è sempre un fallout mondiale. 1, 2, 3 Chernobyl. L'AIPRI lancia un appello ai sostenitori del nucleare, plenipotenziari codardi della AIEA che non vogliono centrali attorno al loro parlamento e ministri europei in testa, di recarsi immediatamente in Giappone per fare i liquidatori. Fate in modo che la fase terminale alla quale non sfuggirete communque sia utile all'umanità. :



Message pour toutes et tous.    En qualité d’ancien officier instructeur NBCR à fonction exclusive (nucléaire, biologique, chimique, radiologique)  (Belgian Air Force)  je vous informe qu’UN seul gramme de plutonium 239 qui serait mis à feu (le plutonium est pyrophore)  aurait le terrible potentiel de tuer DIX MILLIONS DE PERSONNES situées dans le vent de la fumée produite, ceci par cancers des poumons. Le  plutonium 239 a une demi-vie radioactive de 24400 ans.

La Gendarmerie française n’est pas informée de ces données scientifiques, et ne sait pas que le plutonium 239 (celui avec le quel on fait des bombes atomiques) est le poison chimique et radiologique le plus puissant qui existe actuellement sur la planète. Gendarmes ! En protégeant du PLUTONIUM 239,  vous protégez votre propre mort, celles de vos femmes et de vos enfants, et de la population dont vous avez la garde sacrée. 

Maurice Eugène ANDRE.   03 OCTOBRE 2004.



http://www.sortirdunucleaire.org/

Catastrophe de Fukushima :  les premières mesures indépendantes de radioactivité sont alarmantes
 Le Réseau "Sortir du nucléaire" révèle que six journalistes indépendants de l'association JVJA (Japan Visual Journalist Association), dont le directeur du magazine Days Japan, Ryuichi HIROKAWA, se sont rendus près de la mairie de Futaba, à 2 km de la centrale de Fukushima Daiichi, pour mesurer la radioactivité avec trois compteurs Geiger, ce dimanche 13 mars à 10h20. Il s'agit à notre connaissance de la première mesure faite de façon indépendante des autorités, par des journalistes japonais que nous saluons pour leur courage et les risques qu'ils ont pris pour faire leur métier.

À la mairie de Futaba, située à 2km de la centrale de Fukushima Daiichi, la radioactivité dépasse la capacité de mesure de certains des compteurs Geiger (BEIGER COUNTR DZX2, VICTOREEN 209-SI, et MYRate PRD-10) employés par les journalistes japonais.

 À l'aide d'un compteur VICTOREEN 209-SI, le débit de dose a été mesuré à 10 milli-Röntgen/h (soit 0,1 mSv/h, ce qui signifie qu'un citoyen japonais reçoit la dose annuelle tolérée en France en l'espace de 10 heures). Le journaliste ayant effectué la mesure, Ryuichi Hirokawa, déclare : "Quand j'ai fait un reportage fin février 2011 à Tchernobyl, le taux de radioactivité était de 4 milli-Röntgen/h (0,04 mSv/h)
 à 200 m du réacteur accidenté. Dans la ville de Pripyat, à 4 km du réacteur de Tchernobyl, le niveau était de 0,4 milli-Röntgen/h." (1)

Les mesures relevées avec les 2 autres appareils varient dans une fourchette de 20 à 1000 micro-sievert par heure (0,02 à 1 mSv/h). Explication : 1 mSv représente le niveau de la limite annuelle autorisée en France pour l'exposition de la population aux rayonnements radioactifs artificiels en France. En seulement 1 heure, un citoyen japonais reçoit la dose annuelle.

 De telles informations accréditent un niveau de radioactivité dramatiquement élevé dans un périmètre étendu autour de la centrale, dont les conséquences sanitaires ne pourront être que très graves.

 Rappelons que la radioactivité atteignait ce matin un niveau 400 fois supérieur à la normale à la préfecture de Miyagi, distante de 80 km de la centrale de Fukushima Daiishi (2).

Les autorités japonaises sont en train de perdre tout contrôle sur la situation. Le Réseau "Sortir du nucléaire" alerte les citoyens : le gouvernement japonais cherche à minimiser autant que possible la gravité de la catastrophe nucléaire en cours et du relâchement de radioactivité dans l'environnement. Avec la réunion ministérielle de ce samedi 12 mars et la tentative de désinformation du ministre de l'industrie Éric Besson, la machine à étouffer l'information s'est déjà mise en marche, en France aussi.

La catastrophe nucléaire japonaise démontre s'il en était encore besoin la gravité du danger que le nucléaire fait courir aux populations. La seule décision politique responsable, pour le Japon comme pour la France, est de sortir du nucléaire.


 Notes :

(1) 
http://mphoto.sblo.jp/article/43820834.html en japonais
 Contact au Japon de l'association JVJA ayant effectué les mesures : JVJA Mobile: 090-6101 -6113
 
 
(2) 
http://english.kyodonews.jp/news/
 
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Informations au fur et à mesure sur notre blog :
 http://groupes.sortirdunucleaire.org/blogs/alerte-nucleaire-au-japon-apres-un/

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