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mardi 23 avril 2024

Venons-nous d’échapper ce vendredi 19 avril 2024 à une guerre atomique ?

Venons-nous d’échapper ce vendredi 19 avril 2024 à une guerre atomique ou sommes-nous au-devant d’une fuite orchestrée pour en déjouer l’avènement planifié ? Un chasseur bombardier furtif F-35 de Tel Aviv munit d’une bombe atomique a-t-il été abattu dans le ciel de Jordanie par Moscou avant que l’irréparable ne soit commis ?  Etait-elle vraiment vouée depuis la stratosphère à provoquer un blackout électrique et électronique en Iran ou s’agissait-il en réalité bien plus tragiquement d’une bombe «Nagasaki» destinée à exploser bas voire directement au sol afin d’y laisser une zone interdite définitive ?

Quoi qu’il en soit, c’est avec inquiétude en regard de la dispersion radiotoxique de plutonium qui a pu s’en suivre qu’il nous faut nous pencher sur les graves révélations dont Pepe Escobar, journaliste d’investigation s’est fait le messager et que nous reportons ici traduites.

Aux représailles de Téhéran en réaction au bombardement de son consulat de Beyrouth… « Israël a d'abord choisi de répondre par une force extrême. Un F-35 chargé d'une bombe nucléaire a été envoyé à l'est au-dessus du Jourdain. La mission : produire une détonation à haute altitude au-dessus de l'Iran qui provoquerait une montée en puissance des lignes électriques à haute capacité, paralysant le réseau électrique iranien et désactivant tous les appareils électroniques. Une attaque EMP. Cependant... Alors que le F-35 israélien quittait l'espace aérien jordanien, il a été abattu par l'armée de l'air russe. La version rendue publique de la contre-attaque israélienne était donc une véritable parodie.  En fin de compte, toutes les parties ont décidé de ne pas rendre publiques les véritables nouvelles, afin d'éviter l'escalade de la violence de ce qui aurait pu devenir une troisième guerre mondiale. »

Tout en souhaitant avoir affaire à une alerte à visée dissuasive sinon carrément à une fausse information, il nous presse ici d’interroger les autorités compétentes. Notre espoir est qu’elles puissent prouver sans délai au moins l’inexistence de retombées de plutonium. Car si nous avons vraiment par bonheur échappé à une escalade atomique, nous risquons néanmoins de subir la radiotoxicité de la matière éparpillée lors de la destruction en vol du chasseur bombardier.  L’éventuelle pulvérisation en altitude de plusieurs kg de matière alpha des plus redoutable ne serait pas sans conséquences sur notre santé où qu’on se trouve.  En définitive il y a-t-il eu ou non dispersion de très dangereuses particules fines alpha en mesure de polluer à jamais les territoires, 1,63 g de Pu239/km2, 0,1 Curie, et c’est une zone interdite mais capables aussi de contaminer encore plus qu’ils ne le sont déjà les poumons de tout un chacun. Y compris les poumons des commanditaires insatisfaits de l’uranium appauvri qu’ils respirent en surnombre en provenance de leurs bombardements sur le territoire de Gaza.

Certes pour l’heure la radiodétection d’Europe ne fait état public d’aucune anomalie radiologique notamment en Turquie et le CTBTO, organisme public qui ne partage pas en ligne ses radio-analyses, ne pipe mot sur rien et en tout cas ne relate pas ces jours-ci au public de pics de tritium au moyen orient. Cela pourrait paraitre rassurant mais ce n’est hélas pas suffisant. Le manque de transparence et la manipulation des données radiologiques, peu importe si au détriment de la vie, est de norme dans ces situations « délicates » de tension stratégique. 

Version en italien

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