Les excel téléchargeables de l'Aipri

Documents

Pages

lundi 14 avril 2008

Quel est le rôle des centrales nucléaires dans la fréquence des cyclones ?


Communiqué de l’AIPRI Association Internationale pour la Protection contre les dangers des Rayons Ionisants.


Explication de l’origine et du fonctionnement des CYCLONES qui tuent tant de personnes dans le monde.

Il faut savoir qu’un électron négatif qui se déplace en montant sur une trajectoire verticale engendre un champ électromagnétique tournant dans un sens anticlockwise (anti-horlogique), selon la règle appelée « règle du tire-bouchon ».



Si l’air contient des milliards d’électrons qui se mettent à monter par suite de forts courants d‘air de convection vers le haut suite à des gradients de différentes températures, tous ces électrons montants ajoutent leurs actions entre eux et constituent ensemble la force électromotrice d’un redoutable rotor aérien de grande puissance. Comme ce rotor aérien n’a pas d’axe il se déplace à faible vitesse. Mais à l’extérieur du rotor aérien, les vents rotatifs périphériques peuvent atteindre plus de deux cents kilomètres – heure et tout raser dans leur environnement. Au centre du cyclone le vent est pratiquement nul à cause de « l’axe de rotation », qui s’appelle « l’œil du cyclone ».


D’où viennent notamment tous ces électrons EN SURPLUS dans l’atmosphère composant la force électromotrice des rotors aériens des cyclones ? Car l’air se met à tourner entraîné par le champ électromagnétique engendré par les électrons montants.


Pour répondre à cette question il faut savoir que la fission de l’atome, dans de nombreuses centrales nucléaires dans le monde, multiplie par un facteur gigantesque et en permanence, le nombre de curies déposés à l’origine dans une centrale nucléaire.


Au début de son cycle de « production d’électricité » la centrale contiendra quelques centaines de curies, mais à la fin de son cycle elle en contiendra plusieurs milliards de curies. De plus une centrale nucléaire ne produit pas que de l’électricité ! Une centrale nucléaire commence avec quelques centaines de curies de produits radioactifs qui sont fissionnés en permanence, en permanence pendant son fonctionnement… et… cette fission permanente va produire de manière logarithmique non seulement des produits de fission en masse mais des produits de fission qui éjecteront une armée gigantesque d’électrons négatifs libres et aériens en permanence : les fameux rayons bêta. Pratiquement tous les produits de fission sont émetteurs bêta négatifs, (ce que beaucoup de gens ignorent) c’est-à-dire émetteurs d’électrons négatifs qu’une centrale nucléaire produit en masses gigantesques, en permanence, oui des électrons négatifs, qui se diffusent par milliards de milliards tels des gaz répandus dans l’atmosphère de toute la planète, et arrivent en surplus dans cette atmosphère en voyageant des milliers de kilomètres dans toutes les directions. Seuls certains produits d’activation (produits qui absorbent les neutrons dans un centrale) ne produisent pas d’électrons libres.


Donc notre « civilisation » avec « le nucléaire à fission » augmente sensiblement le nombre d’électrons libres dans l’atmosphère. Et quand ces électrons supplémentaires arrivent dans des gradients de courants ascendants rapides, ils forment la force électromotrice des rotors destructeurs des cyclones qui massacrent toute une région, comme ces derniers cyclones « américains » que nous avons vus. En réalité, toute production d’électrons négatifs atmosphériques libres, renforce la puissance destructrice des cyclones dans le monde.


Maurice-Eugène ANDRE, auteur spécialisé en protection nucléaire, biologique, chimique et radiologique. 4 novembre 2005.
Poussières d’UA et cyclones. La formation des cyclones peut également être influencée par la présence de particules nanométriques (milliardième de mètre) d’UA, puisque l’UA (ou uranium 238) émet des alphas qui sont 2 neutrons et 2 protons. Les deux neutrons libres ont une demi-vie de 12 minutes et ensuite se désintègrent en protons et électrons négatifs libres.
MEA auteur NBCR. 7 novembre 2005.

Which is the role of the nuclear thermal power stations in the frequency of the cyclones?

Which is the role of the nuclear power stations in the frequency of the cyclones? Explanation of the origin and operation CYCLONES which kill so many people in the world. It is necessary to know that a negative electron which moves while going up on a vertical trajectory generates an electromagnetic field turning in a direction anticlockwise (anti-horlogique), according to the rule called "rule of the corkscrew".

If the air contains billion electrons which start to go up in consequence of strong currents to upwards air convection following variations in temperatures, all these rising electrons add their actions between them and constitute together the electromotive force of a frightening air rotor of great power : a cyclone. Like this rotor does not have axis fixed at ground, it moves with weak speed. But the rotary winds outside can exceed the two hundred kilometers per hour. And to destroy or shave their environment.

In the center the wind is practically null because of "the axis of rotation" which is called "the eye of the cyclone". The question arises: "from which (where) all these component electrons come to make the driving force from the rotors of the cyclone"? To answer this question it should be known that the atomic fission, in many nuclear thermal power stations in the world, multiplies by a gigantic factor and permanently, the number of curies deposited at the origin in a nuclear thermal power station.

At the beginning of its cycle of "production of electricity" the power station will contain a few hundreds of curies, but at the end of its cycle it will contain several billion of curies. Moreover one nuclear thermal power station does not produce only electricity but also billions of free electrons. A nuclear thermal power station starts with a few hundreds of curies of radioactive products which are fissioned permanently, permanently during its operation this permanent fission will produce in manner logarithmic curve not only fission products in mass but also billions of bêta rays which are free négative electrons.

Practically all the fission products are transmitting negative beta rays, (what many people are unaware of) i.e. transmitting negative electrons that a bulk nuclear thermal power station gigantic product, permanently, yes of the negative electrons, which diffuses per billion of billion such gases spread in the atmosphere all the planet, and arrive of surpluses in this atmosphere while travelling of the thousands of kilometers in all the directions. Only certain products of activation (produced which absorb the neutrons) do not produce free electrons.

Thus our "civilization" with "the nuclear power with fission" appreciably increases the number of free electrons in the atmosphere. And when these additional electrons arrive in gradients of ascending currents fast, they form the electromotive force of a frightening air rotor of great power. As this air rotor does not have an axis it moves at low speed. But outside the air rotor, the peripheral rotary winds can reach more than two hundred kilometers - hour and all to have in their environment as the "American" latter cyclones which we saw. Actuelle, any production of free atmospheric negative electrons, reinforces the destroying power of the cyclones in the world.
Maurice-Eugene ANDRE, Former Belgian Officer specialised in NBCR Protection (nuclear, biological, chemical and radiological protection). November 4, 2005.

Dust of DU and cyclones. The formation of the cyclones can also be influenced by the presence of nanometric particles (billionth of meter) of DU since the DU (or uranium 238) emits alphas particles which are 2 neutrons and 2 protons. The two free neutrons (neutron outside from an atome) have a half-life of 12 minutes. After that time the free neutron becomes a free proton and a free electron. This processus increases the probability of formation of the cyclones.
Maurice-Eugène ANDRE. Author NBCR. November 7, 2005.

Aucun commentaire:

Enregistrer un commentaire