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mercredi 6 février 2008

Pourquoi existe-t-il tant de positions différentes à propos des dangers de l’uranium ?

La réponse à cette question précise, nécessite de donner une explication correcte sur les différentes irradiations, faisant ou ne faisant pas des victimes. Car il existe des rayonnements naturels (RN) qui ne font pas de victimes évidemment, et des rayonnements artificiels (RA) qui font des victimes. Ces victimes ne sont pas toujours conscientes que l’ADN de leurs cellules a été frappé par un grave préjudice qui NE se réveillera que plus tard, parfois 20 années plus tard sous forme d’un cancer ou d’une leucémie. En effet, quand on est irradié, notre organisme prend note de l’irradiation subie et la stocke dans «un passif radiologique» qui n’apparaît nulle part : ni sur le visage, ni ailleurs. Seul un dosimètre portable pourrait avoir enregistré une fraction de trace d’irradiation et constater qu’on a dorénavant «un passif radiologique». Quand on utilisa la première fois les rayonnements ionisants aucun scientifique n’avait encore entendu parler de l’ADN de nos cellules. Il en fut de même quand les USA utilisèrent les premières bombes atomiques (Hiroshima et Nagasaki). Le domaine des réflexions à propos des irradiations exploré par les «experts officiels» est mandé par les politiques dans des buts bien précis. Alors les experts désignés font tous appel aux «données dites classiques» qui furent enseignées en relation avec les explosions de Hiroshima et de Nagasaki, période où l’on ne connaissait pas encore l’existence de l’ADN au cœur de nos cellules. Et c’est là une lacune ayant des conséquences gravissimes. On sait en effet que les personnes qui reçurent 500 rem IN TOTO et plus, ne survécurent pas longtemps à l’irradiation initiale des bombes. Les irradiations reçues dépendaient de la distance séparant les victimes de la boule de feu des bombes. Plus la boule de feu était proche, plus l’irradiation était forte. La loi qui régit ce phénomène s’appelle «l’inverse square law» ou «loi de l’inverse du carré de la distance» et concerne les rayons gamma. Pour l’expliquer simplement il suffit de dire que SI à une distance «d» de la boule de feu vous receviez N rem, à une distance d/2 vous receviez 2 x 2 x N = 4 N rem. «Les experts» examinant les dommages causés aux irradiés internes par des pousières d’uranium de la Guerre du Golfe se sont basés de manières répétées et ERRONEES à chaque fois sur les «résultats» des doses reçues lors des explosions atomiques de Hiroshima et de Nagasaki, pour se faire une idée des doses reçues par les contaminés de la guerre du Golfe, qui eux n’ont jamais subi les effets directs d’une explosion atomique ! … mais bien les effets de rayonnements d’une toute autre catégorie: les rayonnements alpha internes que subissent les contaminés à l’uranium ! Et les «experts» ne sont PAS parvenus (évidemment !) à calculer en rem, les dommages causés aux personnes ainsi contaminées par l’UA.

Ayant découvert en 1976 les effets de proximité, et ayant publié cette découverte dans plusieurs revues scientifiques, j’ai calculé en 1999 que les contaminés de la Guerre du Golfe (dont des populations) subissaient des irradiations internes ponctuelles, à raison de 6 rem/an par poussière d’UA d’un micromètre de diamètre (un millième de mm de diamètre) fixée IN SITU, souvent dans un poumon, au moins. On sait que les poussières radioactives bloquées dans les poumons se regroupent en amas dans ces poumons, et y provoquent des «hot zones» ou «zones chaudes» ; de là on calcule aisément qu’un amas radioactif de 5 micromètres de diamètre va délivrer annuellement et ponctuellement 5 x 5 x 5 x 6 rem = 750 rem / an (car quand une masse radioactive augmente X fois son diamètre, le volume V initial devient V initial fois X au cube, puisque le volume d’une sphère, et par suite sa masse, est fonction du cube du rayon de la sphère considérée.) Les experts mandatés officiellement, -choisis par des politiciens-, répétons-le, ne sont PAS des personnes ayant reçu une formation spéciale universitaire en protection NBCR (nucléaire, biologique, chimique, radiologique) NI une formation en évaluation des doses reçues. Ils se sont donc tous lourdement trompés dans l’évaluation des doses encaissées par les contaminés de la Guerre du Golfe. Et leurs erreurs furent colportées par la presse internationale aux détriments des victimes. Ils ont tous systématiquement omis l’essentiel des différences entre les irradiations subies à Hiroshima et Nagasaki, et les irradiations subies par les personnes souffrant aujourd’hui d’une contamination radioactive interne par l’UA. Notamment les personnes qui ont respiré des poussières d’uranium brûlé en provenance d’explosions des projectiles radioactifs américains contenant de l’uranium: (obus avec UA, bombes avec UA, etc.). Ces projectiles dit à «UA» ou avec «uranium appauvri» sont en réalité des projectiles contenant de l’U 238 métallique duquel on a extrait le maximum d’U 235. Le mot «appauvri» dans l’abréviation «UA» signifie en réalité «uranium 238 appauvri en uranium 235». En effet il existe 2 uraniums qui ont des masses critiques (qui explosent spontanément au-dessus de cette masse dite «critique» et qui sont de ce fait utilisés pour faire les bombes atomiques). Ce sont les uraniums 233 et 235. De là le côté ‘précieux’ des atomes d’U 235 que l’on trouve parmi ceux d’uranium 238 … Dans le jargon du lobby nucléaire, on appauvrit donc l’U 238 quand on lui retire l’U 235 qu’il contient ... de là vient cette expression «UA».


1) Pour étudier convenablement les questions d’irradiations, sachons que dans les villes japonaises bombardées de Hiroshima et de Nagasaki les irradiés firent face à des irradiations mortelles très puissantes, quasi instantanées (d’une nature très proche de celles des radiographies), exclusivement composées de rayons GAMMA et aussi de neutrons, le tout provenant pendant quelques secondes seulement du lieu (aérien) de l’explosion atomique. C’étaient de puissants rayons ionisants venant vers eux et émanant exclusivement de l’extérieur de leurs propres corps.
2) Il n’en est absolument pas ainsi chez les contaminés actuels qui souffrent eux d’irradiations internes de longues durées provenant de matières radioactives qui sont parvenues à s’introduire à l’intérieur de leur propres corps, ceci parce qu’ils ont avalé ou respiré des matières radioactives sous formes de poussières radioactives. Notons bien que des rayons ionisants ne sont pas des poussières radioactives ! … comme les confondent «certains experts». Les rayonnements sont pratiquement ‘immatériels’ et se propagent à très grande vitesse tandis que les poussières d’où partent ces rayonnements se meuvent elles avec le vent à la vitesse du vent. Les matières radioactives véhiculées dans les poussières radioactives, sont absorbées IN SITU où elles déposent les matériaux radioactifs qui sont en elles et qui ELLES délivreront alors des irradiations INTERNES chroniques pendant des années tant que ces poussières microscopiques radioactives resteront prisonnières dans l’organisme. http://www.mindfully.org/Nucs/Hot-Particle-Lung-Tissue1997.htm Ceci ne s’opère donc PAS en quelques secondes comme opérèrent les rayons atomiques à Hiroshima et à Nagasaki. Les irradiés par contaminations internes actuelles, seront irradiés pendant des années à des endroits bien précis de l’organisme, appelés ‘hot zones’ ou «irradiations ponctuelles internes très élevées par EFFET DE PROXIMITE» (atomes radioactifs parvenus en position très proche des cellules vivantes). Les matières radioactives s’introduisent facilement à l’intérieur d’un corps vivant par la respiration car les poussières radioactives sont invisibles et flottent dans l’air en provenance des zones d’explosions des projectiles ayant contenu de l’uranium «dit» appauvri, métal qui est comme déjà dit, de l’Uranium 238 en provenance de centrales nucléaires, et qui est maintenant stocké dans les projectiles militaires (bombes, torpilles, balles d’avions, etc.).


3) Les irradiés de Hiroshima et de Nagasaki, reçurent à partir de l’extérieur du corps, des rayons gamma puissants et mortels (soit + de 500 rem) exclusivement de nature électromagnétique, et des rayons neutroniques qui n’ont pas de charges électriques. Les effets de neutrons projetés vers nous, sont des chocs de ces neutrons sur les particules lourdes composant notre corps: nos propres neutrons et protons constituant nos atomes. Ce sont des irradiations dites «IN TOTO» car concernant la totalité de nos cellules.


4) Aucun des irradiés de Hiroshima et de Nagasaki, il faut le savoir, ne furent contaminés à l’intérieur de leur corps par des produits radioactifs de fission ou atomes radioactifs artificiels, mais ils furent traversés par de puissants rayonnements. Ce qui n’est justement PAS le cas des personnes qui nous préoccupent aujourd’hui. Ces personnes contaminées aujourd’hui le sont de manière interne, par des poussières formées d’atomes radioactifs notamment de l’uranium métallique brûlé dans les explosions des projectiles à UA. Les poussières inhalées ou avalées, sont porteuses d’atomes radioactifs qu’elles véhiculent jusqu’à l’intérieur de notre corps. (Donc IN SITU). Ces poussières microscopiques radioactives entrent dans les organismes comme précisé, par la respiration, la nourriture, les boissons, les plaies. C’est également ce qui arriva aux contaminés des poussières retombées des nuages radioactifs en provenance de Tchernobyl qui transportaient de nombreuses poussières porteuses d’atomes radioactifs artificiels tels le strontium 90, des césium 134, 135, 137, du plutonium 239, et de bien d’autres dangereux atomes artificiels radioactifs (appelés RADIONUCLIDES). Car je ne le dirai jamais assez, une des différences essentielles entre la radioactivité naturelle inoffensive RN, et la radioactivité artificielle RA, dangereuse, est que cette dernière crée des produits de fission, et d’activation, qui sont des atomes radioactifs que ne connaissait pas la Nature; et ces atomes radioactifs très dangereux arrivent à pénétrer à l’intérieur des organismes vivants. La radioactivité naturelle RA ne crée jamais des atomes radioactifs que ne connaissait pas la Nature, comme ces dangereux produits de fission, qui tuent en provoquant des cancers.

A Hiroshima et Nagasaki, les boules de feu des bombes atomiques, (qui contiennent tous les produits de fission des bombes), ne touchèrent PAS le sol et ne le contaminèrent pas. Ceci du fait de l’altitude des explosions. Elles ne déposèrent donc pas des produits de fission (ou atomes radioactifs artificiels) sur le sol ou près des humains aux lieux des explosions. Les produits de fissions des bombes furent violemment aspirés vers le haut par des courants aériens montant en altitude par le fait de courants ascensionnels rapides générés par la température élevée des explosions atomiques. Ces courants ascensionnels forts, allèrent à la vitesse d’un avion à réaction moderne montant verticalement après une ressource, donc à grande vitesse vers le haut après l’explosion. Les atomes radioactifs créés par les explosions atomiques sont les produits de fission qui sont des atomes artificiels TRES dangereux. Ils furent donc aspirés avec violence vers de hautes altitudes et retombèrent ensuite dans les couches basses de l’atmosphère bien loin du lieu des explosions, pour ensuite être respirées par des millions d’humains à des milliers de kilomètres des lieux des explosions, humains qui reçurent «chacun leur petite dose de contamination interne»: c’est ce qui est appelé pudiquement «retombées nucléaires mondiales différées» (où chaque humain reçevra sagement «sa petite dose d’atomes radioactifs artificiels nocifs à ingérer».

Les experts officiels choisis aujourd’hui par les politiciens ignorants des effets nucléaires, (ils n’ont pas le temps de réfléchir ni de comprendre). Cependant ils se donnent le droit de «tout faire au nom du Peuple», sans tenir compte des données que je vous livre ici. Les journalistes n’ayant pas reçu une formation universitaire de protection NBCR, suivent «les experts désignés» les yeux fermés, en croyant ce qu’ils affirment comme si c’était de l’eau bénite. Et les politiciens lisant attentivement la presse, croient la presse: et le cercle de la conviction est ainsi bouclé. C’est ce qu’on peut appeler «l’effet boomerang» ou «l’arroseur arrosé.» Voyez le cas du politicien BUSH, actuellement président des Etats-Unis. Il est conseillé par des personnes qui lui cachent la vérité, à savoir que les Etats-Unis possèdent des armes qui vont génocider une partie de leurs propres troupes, et personne n’ose en informer le président BUSH: c’est une chose tellement énorme, une «erreur» tellement immense, que la peur saisi ceux qui savent: et ils se taisent. Bush n’est donc pas seul coupable.

Revenons à nos irradiés d’aujourd’hui et aux problèmes qu’ils posent.

5) Constatons donc et écrivons qu’ils ne sont pas du tout dans la situation d’un irradié de Hiroshima ou de Nagasaki, et que c’est à tort que les «experts» se sont basés sur ces explosions au-dessus du Japon, pour évaluer les problèmes d’aujourd’hui.6) Consignons ici qu’invoquer les cas de Hiroshima et Nagasaki, c’est tromper le monde, ou montrer publiquement son ignorance totale des problèmes de la radioprotection, qu’on soit médecin, physicien ou chimiste, ou pharmacien, ou un autre scientifique.

Les temps pendant lesquels les irradiations furent reçues et les distances auxquelles se produisent les irradiations.

7) En matière de calculs des doses reçues, le temps pendant lequel les irradiations sont reçues est une donnée essentielle. Cette donnée est absente (!) … des évaluations de «Experts» !

8) Cependant il faut absolument en tenir compte, sous peine de nullité de l’appréciation, ou des calculs faits pour trouver les doses reçues. De plus, non seulement le temps de l’irradiation reçue, est ABSENT de l’évaluation des experts, mais est absente AUSSI, la distance qui existe entre les sources émettrices de rayonnements (les poussières d’UA fixées en amas pulmonaires) et les cellules humaines vivantes qu’elles irradient ! Or cette distance est capitale (voir l’inverse square law) et n’apparaît PAS dans les évaluations des experts : ces évaluations sont donc «totalement caduques». Elles ne mentionnent même pas «les effets de proximité ALPHA internes» qui eux tiennent compte de la distance entre les atomes radioactifs et les cellules irradiées. Car le temps pendant lequel l’irradiation est reçue, multiplié par l’intensité moyenne de l’irradiation reçue, donne toujours la dose totale reçue par les irradiés. Et encore, la distance d’irradiation qui donne l’intensité de l’irradiation reçue, est absente des textes des expertises ! C’est inoui que de telles expertises furent acceptées! Quelques fractions de seconde d’irradiations qui furent mortelles (cas de Hiroshima) n’est pas du tout un temps en relation avec le temps d’irradiation que subissent les contaminés internes d’aujourd’hui. Ils souffrent eux, d’irradiations INTERNES TRES LONGUES, (ce qui ne fut pas le cas des victimes à Hiroshima) irradiations locales internes qui durent plusieurs années (les irradiations à Hiroshima furent de nature très brève (quelques secondes) et forte et irradièrent les victimes IN TOTO: c'est-à-dire que toutes leurs cellules du corps furent irradiées instantanément, non seulement de l’extérieur, mais de manières semblables. NOS IRRADIES INTERNES, eux, ne sont pas du tout dans ce cas: ils souffrent surtout d’irradiations INTERNES DE TYPE ALPHA et pendant des années, et en des endroits ponctuels bien déterminés, notamment dans les poumons.

9) Et encore : ils souffrent de plus de l’introduction dans leur corps de matières radioactives émettrices ALPHA (ce qui ne fut PAS le cas à Hiroshima), matières émettrices ALPHA très invalidantes du fait des EFFETS DE PROXIMMITE INTERNES. Ces matières sont des poisons non seulement radiologiques, mais aussi chimiques. Quand de telles matières arrivent à pénétrer à l’intérieur du corps humain, même en quantités minuscules, elles produisent des dégâts importants : voir l’ouvrage intitulé «Effects of Nuclear Weapons» http://www.princeton.edu/~globsec/publications/effects/effects.shtml - irradiations internes – qui le précise.

10) Et encore : les victimes actuelles sont irradiées directement à partir de l’intérieur de leur propre corps, pratiquement aux mêmes endroits en permanence.Les victimes subissent des tirs ALPHA INTERNES de manière récurrente, et même permanente, ce qui augmente fortement les dégâts à l’ADN des cellules. Enfin il est temps que le public sache que l’existence même de l’ADN, n’était pas connue, quand furent lancées les premières bombes atomiques ! Et il s’avéra près de 15 années après les premières explosions atomiques, que les cellules de notre corps contenaient de l’ADN. Et maintenant on sait enfin que les rayonnements ionisants déstabilisent l’ADN de nos cellules. http://www.fas.org/nuke/guide/usa/doctrine/dod/fm8-9/1ch5.htm.
Quelques notions sur nos cellules et l’ADN.
http://www.cea.fr/fr/Publications/clefs2.asp?id=43

Quand les hommes commencèrent à jouer avec les rayonnements ionisants ils ignoraient l’existence de l’ADN. Quand ils lancèrent les premières bombes atomiques qui firent tant de morts, ils ignoraient encore et toujours l’existence de l’ADN au coeur de chacune de nos cellules.Voyons un peu de quoi notre corps est formé. Il est constitué d’atomes. L’atome est vraiment très petit. On connaît le nombre immense d’atomes que regroupe un gramme de matière. Ce nombre varie d’ailleurs d’une matière à l’autre. Pour expliquer simplement la chose et la retenir, sachons qu’un gramme d’hydrogène (H1) contient le même nombre d’atomes que 12 grammes de carbone (C12), que 238 grammes d’uranium 238 (U 238), ou que 239 grammes de plutonium 239 (Pu 239), etc.

Ce nombre d’atomes dont il est question ici, est immense et s’appelle le nombre d’AVOGADRO. (Nombre N). Il est vraiment énorme. Aucun esprit humain ne peut véritablement se le représenter, mais bien l’écrire (ce qui n’est pas la même chose). Ce nombre qui est appelé nombre N, vaut environ 6 suivi de 23 zéros ! Plus exactement sous la forme typographique suivante: 6, 02252 x 10 exposant 23.

Voici ce nombre N que je vous invite à essayer d’imaginer:
N = 602 252 000 000 000 000 000 000 ou 602 millions 252 mille milliards de milliards.

Voilà le nombre énorme d’atomes dans un seul gramme d’hydrogène ou dans 239 grammes de plutonium 239. Précisons que ce nombre est exact à 1% près.

Comme nous le savons depuis notre école en humanités, il existe des molécules, et chaque molécule est formée d’un minium de 2 atomes, et parfois d’un nombre important d’atomes. Venons-en maintenant à une cellule humaine qui est formée d’un nombre donné de molécules.De combien de cellules est formé un homme ? Un homme de 70 Kg est formé d’environ cent mille milliards de cellules. Soit 100 000 000 000 000 de cellules. Nos cent mille milliards de cellules contiennent toutes un ‘cerveau minuscule’, et ce ‘cerveau minuscule’ commande le devenir de chaque cellule et en fait de l’organisme tout entier.Et en ‘jouant’ à irradier les humains, les savants ignoraient qu’ils irradiaient le système vivant qui gère le devenir de chacune de nos cellules. Et ils ignoraient que le système vivant qui gère le devenir de chacune de nos cellules, c’est l’ADN de nos cellules, ADN dont ils ignoraient l’existence… Et quand nos cellules sont irradiées avec des rayonnements ionisants, l’ADN de chaque cellule touchée enregistre cette irradiation, le temps que dure cette irradiation, et le niveau de son intensité moyenne. La réaction de chaque cellule est alors fonction de données qui nous échappent encore. Ce que l’on sait actuellement c’est qu’une cellule touchée par un rayonnement ionisant enregistre «un passé radiologique complet», et selon que la cellule admettra ou n’admettra pas ce qui lui est ainsi infligé alors, elle décidera de son apoptose immédiate (suicide) ou reportera cette apoptose jusqu’à un délai qui peut se présenter 20 années après l’irradiation, et se traduire par une forme de cancer ou leucémie. Pourquoi tant d’avis différents sur la question du danger de l’uranium ? La réponse est : «Ceci provient de l’incapacité qu’ont montré les «experts» à calculer correctement les doses reçues par les victimes de l’UA.»

MEA Le 18.02.2003
Editeur responsable : Maurice Eugène ANDRE, spécialiste en protection NBCR, Président de l’AIPRI -- Association Internationale pour la Protection contre les Rayonnements Ionisants. Publié en Belgique dans TEXTES d’ANTIPAS – TAHAT KÖL news, de mars 2003. (Diffusé sur le NET le 18.02.03)

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