lundi 31 janvier 2011

Exposé de la méthode des faux calculs nucléaires produits par certains pour arriver à trouver des doses qui satisferont l’industrie nucléaire, mais produiront en finale une vraie hécatombe planétaire.


Par le président et le Vice-président de l’AIPRI, Maurice Eugène ANDRE et Paolo SCAMPA. (Texte rédigé en 2007 du vivant de MEA.)

L’énergie ionisante est une énergie mortifère. Elle est particulièrement létale lorsqu’elle est introduite dans le corps par des particules radioactives infinitésimales qui approchent de très près les cellules vivantes de notre organisme. (Effet de proximité.) Il suffira en effet qu’une seule et unique particule microscopique bombarde de manière chronique les tissus qui l’entourent pour provoquer, des années voire des décennies plus tard, le surgissement d’un cancer. Toutefois pour comprendre et prouver l’extrême danger constitué ces insolubles nanoparticules métalliques radioactives artificielles, en particulier de celles qui émettent des rayonnements Alpha comme le plutonium 239 ou l’uranium 238, encore faut-il correctement calculer la dose d’irradiation délivrée aux tissus environnants. Se tromper ici dans ce calcul en sous-estimant la dose pathogène délivrée c’est fourvoyer toute la recherche scientifique médicale et physique, c’est baisser artificiellement les seuils officiels de radio-protection des personnes et des populations, c’est autoriser la contamination atomique de l’air, de la terre et des eaux et c’est au bout du compte ni plus ni moins précipiter l’humanité entière dans le gouffre et dans la mort.


1 Qu’est-ce qu’un calcul de dose?

Calculer une dose d’irradiation ionisante ce n'est rien de plus que répartir correctement l’énergie radioactive délivrée dans la masse de chair qui l’a absorbée. C’est telle quantité d’énergie dissipée divisée par tel volume de chair qui l’a absorbée.

L’intensité de l’irradiation dépend étroitement du volume irradié. Plus le volume irradié grossit plus l’irradiation est faible, plus le volume diminue plus l’irradiation est intense. Pour estimer avec objectivité la dose reçue il est capital de préciser que ce volume irradié de chair est fonction du rayon de pénétration des rayons ionisants; rayon de pénétration parfaitement connu et forcément borné qui ne saurait irradier la chair qu’il n’atteint pas. Le volume de chair irradié ne saurait être pour autant beaucoup plus grand que le volume dessiné par la trajectoire du rayon. Tout comme un clou fait un trou dans le mur à la mesure de la longueur et de l’épaisseur du clou, une particule alpha irradie une masse de chair à la mesure du volume occupé par sa trajectoire dans la chair.

En bref, dans tout calcul de dose la détermination objective du volume «absorbant» est cruciale. Fausser ce diviseur serait en effet immédiatement fausser l’évaluation correcte de la dose. Le grossir de manière artificielle, pour ne pas dire frauduleuse, serait minorer la dose pathogène réellement reçue.



2 Quel volume utilise la physique nucléaire officielle? Utilise-t-elle le volume réellement irradié?

Non et l’exemple qui suivra cet exposé montrera une fraude gigantesque qui atteindra le milliard de fois l’augmentation de la zone réelle irradiée afin de diviser d’autant la dose réellement reçue.

Ce grossissement incommensurable des volumes irradiés avec la sous-estimation monstrueuse des doses pathogènes absorbées qui en découle, cette falsification systématique du réel physique est cependant la norme officielle et la pratique courante qui se joue depuis l’aube nucléaire sous les yeux ignorants, indifférents et arrogants des physiciens diplômés. Car le volume officiel considéré irradié est grossi un milliard de fois respectivement au volume réellement irradié. C’est pourtant ce monstre boursouflé qui régente notre radioprotection, qui réglemente les législations et les décisions de justices, qui, consentant la pollution radioactive de la biosphère et de la terre, porte à la mort collective les populations et les soldats.

Cette infernale inflation des volumes, cette criminelle minoration des doses reçues, correspond en tout et pour tout avec ce que Maurice Eugène André avait déjà souligné et dénoncé depuis longtemps avec ses travaux mathématiques sur «l’effet de proximité»1.

Mais jugez par vous même. Bien que l'on sache le rayonnement alpha physiquement borné à 50 micron dans les tissus2 et en mesure d'irradier à terme uniquement une sphère maximale de 100 micron de diamètre pesant 5,24E-7 gramme, (E-7 signifiant exposant-7) l’énergie d’une particule de plutonium 239 logée dans un poumon est absorbée, «selon nos savants officiels», par ce poumon entier de 570 grammes! Bref ne lui fait rien du tout puisque l’énergie radiative se trouve répartie dans un volume énorme3 et totalement falsifié ! Passez sur le tour inutilement compliqué pris là pour calculer le nombre de désintégrations en 2 ans émises par cette particule de plutonium, concentrez-vous sur la valeur du diviseur. C'est là que les faussaires interviennent et que les ignorants trébuchent. Car 570 grammes au lieu de 5,235983E-7 gramme c’est une différence abyssale. L'énergie y est là artificiellement distribuée dans un volume de chair qui est 1 milliard de fois plus grand qu'il ne peut physiquement l'être (570/5,235983E-7 = 1.088.620.730)…

Notre destin planétaire se joue pourtant là dans ce diviseur qui minore artificiellement de plusieurs centaines de millions de fois la dose réelle absorbée. C'est grâce à cette tromperie qu'on a répandu autant d'uranium 238 dans l'air sans réagir, c’est grâce à elle qu’on dénie la justice aux populations malades et aux soldats contaminés, c’est grâce à elle que l’on habite ici et là des zones interdites.


3 Conclusion


Ces calculs enflent ainsi à démesure les volumes4 afin de baisser d’autant les doses «effectivement» absorbées, afin de leur donner la rassurante innocuité apparente du millisievert et du millirad. On ne peut plus faussement, ces «calculs officiels» considèrent ionisés des vastes portions de chair pourtant intactes. Une si monumentale bévue (voulue) en «radio-protection» est d’une gravité extrême. Elle entraîne une perverse sous-estimation systématique des doses absorbées, elle atténue d’office les dangers et falsifie le seuil d’alarme. Elle n’est pour cela rien de moins qu’un crime passible de cour martiale. Car ce n’est pas là seulement se tromper dans les calculs mais aussi tromper ceux dont la vie dépend de ces calculs: les agents du nucléaire, les malades, les soldats, l’humanité entière. On ne badine pas impunément avec les calculs nucléaires.

Ces calculs officiels de «radio-protection» ne sont ainsi rien d’autre que les masques ignobles d’une «radio-agression» généralisée des personnes et des populations. Mais qu’importe aux «scientifiques» préposés si l’artifice de calcul est l’article de la mort de l’humanité. Qu’importe s’ils le taisent, voire le méconnaissent, pendant que «l’atome de la paix» contamine et tue. Un prix Nobel de la Paix des cimetières le couronne.


Mars 2007. Revu en Juillet 2008 (Adjonction de la note 4).



CI-DESSOUS TEXTE REFUTE PAR NOUS. ____________________________
The nuclear energy option, Plenum Presse, 1990, Bernard L. Cohen.

http://www.phyast.pitt.edu/~blc/book/chapter13.html

Radiation Dose to Lung from Plutonium and the Lung Cancer Risk

This calculation requires knowing (or accepting) some scientific definitions and may therefore not be understandable to many readers.

We calculate the dose to the lung from a trillionth of a pound of plutonium residing there for 2 years. The number of plutonium atoms is 10-12 lb x 450 g/lb x (6 x 1023 atoms/239 gm)= 1.1 x 1012 where 6 x 1023 is Avogadro's number and 239 is the atomic weight. Since half of the plutonium atoms will decay in 24,000 years (the half life), the fraction undergoing decay during the 2 years it spends in the lung is a little more than one in 24,000; actually it is 1/17,000. The number that decay is then (1.1 x 1012/17,000 =) 7 x 107. Each decay releases an energy of about (5 MeV x 1.6 x 10-13 joules/MeV =) 8 x 10-13 joules, so the total radiation energy deposited is (7 x 107 x 8 x 10-13 =) 5.6 x 10-5 joules. The weight of the average person's lung is 0.57 kg46; thus the energy deposited is (5.6 x 10-5 / 0.57 =) 1 x 10-4 joules/kg. The definition of a millirad is 1 x 10-5 joules of energy deposit per kg of tissue. The dose is therefore (1 x 10-4 / 1 x 10-5 =) 10 millirad. Since only 15% on what is inhaled spends this 2 years in the lung, 23 the exposure per trillionth of a pound inhaled is (10 x 0.15 =) 1.5 millirad. For alpha particles - the radiation emitted by plutonium - 1 millirad equals 20 millirem, so the dose to the lung is (1.5 x 20 =) 30 millirem per trillionth of a pound inhaled.

Estimates by BEIR, UNSCEAR, and ICRP give a risk of about 5 x 10–7 lung cancers per millirad of alpha particle exposure. The number of lung cancers per pound inhaled is therefore (1.5 x 1012 x 5 x 10-7 =) 8 x 105. Mays estimates 4 x 105 liver and bone cancers per pound inhaled, bringing the total effect to 1.2 million cancers of all types per pound inhaled.



46. International Commission on Radiological Protection (ICRP), Report of the Task Group on Reference Man, ICRP Publication 23 (Pergamon Press, New York, 1975).


1 Plutonium, poumons et effets de proximité, M.E. André, in ETUDES & EXPANSION, n° 276, 1978. Sur toile in http://users.skynet.be/mauriceandre/ sous le titre URANIUM et PLUTONIUM c’est pas du chocolat.

2Hot” or radioactive particle in lung tissue”, photo by Del Tredici, Burdens of Proof byTim Connor, Energy Research Foundation, 1997. http://www.mindfully.org/Nucs/Hot-Particle-Lung-Tissue1997.htm

3 C’est comme soutenir qu’une grenade lancée dans une pièce remplie de monde ne produit aucun dégât puisque le quartier où l’explosion est advenue est toujours debout, intact.

4 On peut aussi citer une autre éminente référence bibliographique mais cette fois française, deux “experts” du CEA, où l'on lit stupéfaits par tant d'irrationalité et d'ignorance physique que “Étant donné le faible parcours des particules alpha dans les tissus, toute l’énergie qu’elles transportent est absorbée dans une sphère de 0,5 cm de rayon. Ces éminents spécialistes font aller les particules alpha 100 fois plus loin qu'elles ne peuvent physiquement aller ! 0,5 cm au lieu des certifiés 0,005 cm ! On notera également que cette pataphysique sphère de chair irradiée de 1 cm de diamètre pèse 0,5235983 grammes: elle est un million de fois trop lourde à savoir que la dose d'irradiation est sous-évaluée d'autant. 0,5235983/5,235983E-7 = 1000000. Cf. J. Piechowski & Y. Chaptinel, Évaluation de la dose locale pour une blessure contaminée, Radioprotection, 2004, Vol. 39, n° 3, pages 355 à 366.



lundi 24 janvier 2011

Comunicato sulla situazione atmosferica mondiale. (2008)


Le quantità d’acqua e d’aria sul pianeta terra sono quantità finite che ci accompagnano nella nostra corsa cosmica. Il volume totale d’acqua sulla terra è stimato a 1 385 984 chilometri cubi e la massa totale dell’atmosfera terrestre è valutata a 5,13 x 1018 chilogrammi.

Gli strati terrestri contengono «minerali uraniferi» dai quali le industrie nucleari hanno artificialmente tratto dei metalli radioattivi di uranio 238 e 235Se il metallo «ORO» esiste in natura naturale sotto forma di pepite, bisogna tuttavia notare che gli urani 238 e 235 non esistono, loro, SOTTO FORMA METALLICA in natura perché sarebbero molto nocivi per la vita e in particolare per il DNA degli esseri viventi.

L'uranio metallico è così un prodotto del tutto artificiale fabbricato in grandi quantitativi dalle industrie nucleari. Questo metallo uranio 238 e 235 è venduto alle industrie di armamento che lo impiegano nei proiettili come «massa perforante». Ma i militari non possono impedire a l’uranio di bruciare al momento dell’impatto ! Bruciando, l’uranio si trasforma in polveri metalliche ultra fini (nanometriche) invisibili che invadono l'aria e contaminano soldati e popolazioni, passando dai polmoni al sangue e dal sangue alle cellule di ogni essere che respira.

Attualmente l’atmosfera terrestre è contaminata radiologicamente dalle polveri del metallo uranio di maniera invisibile e i tumori prolifereranno dappertutto sul pianeta in maniera irreversibile. In effetti l’uranio 238, ora mescolato all’atmosfera, ha una emi-vita radioattiva di 4,5 miliardi di anni...

Maurice-Eugène ANDRE, presidente dell’Associazione Internazionale per la Protezione dai Raggi Ionizzanti (AIPRI)
Paolo SCAMPA, vice-presidente dell’AIPRI.

NB. Questo comunicato d'eterna attualità data del 2008.

vendredi 7 janvier 2011

La combustione dei dardi di uranio.

Quando un dardo a l’uranio depleto (o non) colpisce un bersaglio, ogni suo grammo si frammenta dai 4 miliardi di miliardi (4E18) ai 10 miliardi di miliardi (1E19) di finissime particelle radioattive di diametro biologicamente critico inferiore ai 2,5 micron. Visto il loro rapporto superficie/volume (3/Raggio) che ne governa l’aerodimanica, questi fumi di insolubili particelle metalliche prendono immediatamente il cammino dell’aria. Di questo grammo “aerosolizzato” non più del 40% si deposita nelle vicinanze del punto d’impatto. Il 60%, per lo meno,  prende invece il cammino dell’atmosfera prima locale, poi regionale, nazionale, continentale e infine mondiale contaminando ogni metro cubo d’aria che raggiunge e penetrando in ogni polmone che incontraI dardi all'uranio sono ordigni ad ultra-frammentazione che generano una quantità colossale di "volatili" sotto-munizioni radioattive alfa che colonizzano gli organismi viventi. 



Un commento a "Environmental Pollution and Population Health Effects in the Quirra Area, Sardinia Island (Italy) and the Depleted Uranium Case", in Journal of Environmental Protection and Ecology. (2005). 
- L’autore, secondo cui (e forse al di là delle sue lodevoli intenzioni) servono più di 17 tonnellate di aerosol per generare un tumore mortale a qualche chilometro dal punto dell’esplosione (tabella 1), mostra grossolana incompetenza NBCR in quanto ignora del tutto cos’è una disintegrazione alfa, quale area biologica viene ionizzata da una fonte emettitrice alfa immobilizzata nei tessuti e quali danni ne conseguono, tra l’altro, per il DNA. L’autore non sa calcolare punto per punto un deposito interno di energia ionizzante alfa. Incapace di calcolare, l’autore non sa misurare l’obiettiva infondatezza fisica dei fattori di dose interna che, come un papagallo,  impiega per trarre le sue lenitive conclusioni(CF. André M-E., Plutonium, poumons et effets de proximité, in  Etudes & Expansion,  N° 276, Liège, Belgique, 1978.) L’autore misconosce il Nato handbook on the medical aspects of NBC defensive operations AmedP 6(B) che al capitolo 506 «Alpha Radiation»,  scrive: The energy of these relatively heavy, positively charged particles is fully absorbed within the first 20 micrometers of an exposed tissue mass. … If alpha emitting material is internally deposited, all the radiation energy will be absorbed in a very small volume of tissue immediately surrounding each particle. Alpha radiation has such limited penetrating ability that the maximum range for the highest energy alpha particle in tissue is less than 100 micrometers. Thus, while extremely high radiation doses may be deposited in the few cells immediately surrounding a source of alpha radiation, regions outside this small irradiated spherical volume are not affected.
L’autore misconosce The effects of nuclear weapons, Glasstone S., Dolan J., United States department of defense  & Energy research and development administration, Washington DC, 3e Edition, USA, 1977 che rileva nel capitolo “Internal hazard” (12.163): The general biological effects of nuclear radiations from internally deposited sources are the same as those from the external sources. However, it should be noted that even a small quantity of radioactive material present in the body can produce considerable injury.-  Lo ripete al capitolo 1 (1.66): - The uranium (or plutonium) present in the weapons residues does not constitute a hazard if the later are outside the body. However, if plutonium enters the body by ingestion, through skin abrasions, or particularly through inhalation, the effects may be serious.- Lo menziona ancora al capitolo 9 (9.42): -Although there is negligible danger from uranium and plutonium outside the body, it is possible for dangerous amount of these elements to enter the body trough the lungs, the digestive system, or breaks the skin. Plutonium, for example, tend to concentrate in bone and lungs, where the prolonged action of alpha particles can cause serious harm.-
L’autore ignora in conclusione che ogni particella alfa di 4,184 MeV (di media) emessa da una insolubile massa di U238 immobilizzata dentro i tessuti deposita 1,2 REM nella sfera circostante di cellule viventi di 50 micron di raggio e non sa che in un anno una particella di U238 di un micron di diametro (9,92E-12 gr; 5,236E-13 cm3;  3,9 Bq in un anno) deposita nella zona istologica interessata qualche 5 REM ossai 0,05 Sievert (senza qui conteggiare il complementare REM gamma). L’autore sostiene forse sapendolo dimostrare matematicamente (la fisica non è un opinione) che questi valori di deposito sono inesatti e che una particella alfa va, non si sa per quale universale miracolo della fisica,  molto oltre i 50 micron nei tessuti e provocherebbe pertanto meno danni visto che dissiperebbe la sua energia in una zona istologica ben più vasta ? L’autore, in chiaro, persisterà tutt’ora nel chiamare doccia una camera a gas radioattiva  ?  
http://users.skynet.be/mauriceandre/enchocolate4.htm

Per quanto riguarda il verde editore del suo libro ("edit0 dai verdi europei, cari signori", sic.)  di cui va tanto fiero sappia questo.  Fu il comandante André, noto allora in Belgio come "Monsieur nucléaire",  che avvisò al telefono e Geiger in mano sul subito anche i verdi del parlamento europeo nel 86 delle ricadute di plutonio “Chernobyl” in Belgio. (Il nome e cognome della persona in vista con cui parlò può essere richiesto alla moglie di André.)  Ebbene hanno taciuto  non hanno avvisato le popolazioni neppure loro. Non hanno messo in alerta neanche le loro associazioni ed i loro affiliati, non hanno fatto scattare il passa parola per almeno tenere al riparo i bambini dentro le case. Tutti fuori a respirare plutonio nanopolverizzato è un tonificante targato verde ! Come lo vede non c’era  miglior editore ne miglior referee per la sua opera. E hanno fatto anche di peggio non ritrasmettendo un’attesa missiva a André di un eminente scienziato russo con cui era entrato in complicato contatto indiretto a seguito del incidente al reattore ucraino per cui MEA rimase sconvolto.  Di passaggio a Bruxelles non molto dopo l’incidente lo scienziato russo aspirava ad incontrarlo al fine di ottenere consigli di radioprotezione di varia indole conoscendone la magna autorevolezza.  Seppur in stato di alerta e  interamente dedicato a preparare indirizzi di contromosse concrete André, all’oscuro, mancò l’incontro alla sede della commissione Europea di Bruxelles.  La lettera la ricevette quando era già  troppo tardi per intervenire sull'emergenza più di sei mesi dopo, forse anni, e dopo insistite richieste di MEA che ne era venuto a conoscenza  per vie traverse. Ad André fu impossibile rimediare visto le sue passate mansioni strategiche che gli impedivano di varcare la cortina di ferro o spedire missive seppur a unico scopo umanitario di radioprotezione. Commiserò l’errore fatale di fidarsi dei verdi come ambasciatori e postini dell’umanità. E questo, a parer nostro, fu la causa diretta di un numero imprecisato di morti caro autore. Morti di verde negligenza o verde complicità a seconda del punto di vista o dell’umore. Alcuni tentarono di fargliela anche pagare in seguito, per un'altra facenda locale, facendolo passare per nazista con volantinaggio. Andò puittosto male per loro al processo. La madre di André fu decapitata alla ascia dai nazisti in un commissariato belga e suo padre morì a Buchenwaldt poco prima della liberazione. Erano resistenti cattolici della prima ora.

Le buone intenzioni non bastano caro autore. Non si scherza coi calcoli nucleari di radioprotezione interna. I falsi calcoli sono un vero crimine. Ed in questo ambito i falsari, consapevoli od inconsapevoli che siano, sono criminali contro l’umanità. 


http://users.skynet.be/mauriceandre/bulletinjuin03.htm



Se ci consente inoltre a modo di tardio post-scriptum una valutazione comparativa tra il suo libro ed il dossier “impoverito”  che André preparò nel 2003 per la sua denuncia di crimine di guerra contro il presidente degli Stati-Uniti d’allora, quello di Maurice Eugène André è di gran lunga inferiore al suo. Il dossier del comandante Maurice Eugène André esperto NBCR a funzione esclusiva  era così scientificamente povero e malandato col suo effetto di prossimità  che per falsificarlo il governo Belga, in imbarazzo quanto la probabile commissione di fisici “falsificatrice” assoldata per l’occasione, non ne possiamo essere sicuri ma di norma i giudici chiamano esperti per vagliare l’attendibilità scientifica di una denuncia fondata sui calcoli, -è vero che non l’avevano invitata lei che sa magistralmente e aritmeticamente ricostruire e legittimare ogni fattore di dose interna alfa bellamente presentato nelle tavole nate molto prima di Montecarlo, ha cancellato la legge di competenza giuridica universale vigente. Si è salvato sia il presidente americano (e un suo generale) che l’effetto di prossimità ! Gli alfa (RBE 10)  non vanno al di là dei 50 micron. Un dato fisico basilare e una vera lagna impossibile da controbattere. L’energia si dissipa pertanto in situ nel microcosmo istologico che avviluppa la polverina radioattiva immobilizzata a distanza zero o quasi dei tessuti che assorbono golosamente la totalità dei MeV emessi. Nessuna distanza scherma qui il raggio. E delle milioni di polverine incorporate (saprà supponiamo derivare il diametro delle particelle dai Bq) provi lei che non ce sono diciamo negazionisticamente lo 0,1% immobilizzate ?  La dose d’irraggiamento ai punti caldi ne risulta estrema, enorme. A prossimità massima l’irradiazione è massima, lo sapete benissimo l'inverso del quadrato della distanza, solo che non lo applicate ! E fisica non fandonie. I calcoli seguono inconfutabili. Basta saperli fare ed avere degni amanti della verità come maestri per indirizzarvi sulla giusta via dell’obiettività. 
             E una piccola lezioncina di calcolo anche da parte di Tamplin e Cochran. 
                                    Radiation Standards for Hot Particles

http://docs.nrdc.org/nuclear/files/nuc_74021401a_0.pdf


Un altra da Parte di Len A. Dietz. 
Estimate of radiation dose from a depleted uranium oxide particle 


http://www.xs4all.nl/~stgvisie/VISIE/Dietz-L/Dietz-du-3.html



Considérations scientifiques sur les particules en fonction de leurs tailles


         La taille des objets a une influence sur leur comportement face à l’attraction terrestre. Quand des objets deviennent très petits (les poussières) on peut les considérer comme de forme circulaire (des billes très petites) et expliquer pourquoi certaines poussières ou limailles tombent très lentement, ou même flottent quasi indéfiniment dans l’atmosphère. Ce comportement est dû à une variation du volume de l’objet par rapport à sa surface. En effet quand un objet devient vraiment très petit, sa surface devient immense par rapport à son volume, et les forces électrostatiques s’appliquant à sa surface prennent le dessus par rapport aux forces gravitationnelles s’appliquant à sa masse. Démontrons-le mathématiquement. Dans ce  but, prenons une sphère et imaginons qu’elle devienne de plus en plus petite. Dans un tel cas on peut écrire ce qui suit :

Une sphère à un volume de 4/3 fois pi fois R cube et une surface de 4 fois pi fois R carré.

Ce qui fait que si R varie, (la poussière devenant de plus en plus petite) la comparaison entre sa surface et son volume, est une variable qui vaut 3 divisé par R ou  la fonction 3/R.

Si R devient infiniment petit, inversement la fonction 3/R devient infiniment grande, c'est-à-dire que la surface de la sphère devient beaucoup plus importante que son volume ou sa masse.

Ceci démontre pourquoi plus les poussières sont petites plus elles flottent aisément dans l’air.   MEA 











Più del 60% della massa di uranio del dardo viene frammentata in particelle respirabili di dimensione inferiore a 2,5 micron. 


PROTOTYPE FIRING RANGE AIR CLEANING SYSTEM
J. A. Glissmeyer, J. Mishima, and J. A. Bamberger
Pacific Northwest Laboratory
Richland, Washington

Table 6. Approximate Aerodynamic Equivalent Particle Size Distribution

Size Range micron       Mass percent
< 0.18                                31 %
0.18 - 0.56                           14 %
0.56 - 1.8                             15 %
1.8 - 5.6                               13 %
5.6 - 18.0                             11 %
18 - 56                                 7 %
> - 56                                   9 %


Sul medesimo argomento "impoverito" e non.

http://aipri.blogspot.com/2008/01/calcul-de-dose.html
http://aipri.blogspot.com/2008/01/calcolo-di-dose.html
http://aipri.blogspot.com/2008/02/cari-governanti-no-future.html



http://aipri.blogspot.com/2009/11/facciamo-un-bel-respiro.html
http://aipri.blogspot.com/2010/11/combien-de-particules-fines-ceramisees.html






dimanche 2 janvier 2011

L’AIEA déménage à Tchernobyl.



L’AIEA quitte Vienne pour la région de Tchernobyl. Devant le refus obstiné de l’Autriche d’épouser l’électronucléaire et lasse des perfides accusations à peine voilées de double langage et de lâcheté parce que siégeant loin des aires densément contaminées pourtant réputées peu dangereuses, l’AIEA unanime défend avec force sa crédibilité scientifique et, à mode de preuve, décide de transférer son assemblée, ses bureaux, ses laboratoires et son personnel dans cette région objectivement contaminée sans conséquences.
Tous les instituts nucléaires d’Europe ont été solennellement conviés à la suivre avec armes et bagages. L’initiative a d’ores et déjà emporté l’adhésion enthousiaste de l’IRSN, du CEA, de l’ARPA, de NUCLEONICA et de bien d’autres innombrables organisations encore. Une technopole atomique transnationale se lève en somme à l’est de Tchernobyl sur une aire qui, cédée pour 1 Euro symbolique par l’Ukraine durant une émouvante cérémonie ô combien historique, passe sous souveraineté territoriale de l’Union Européenne qui, de source accréditée, envisage d’y transférer à terme, dans environ 50 milliards d’années, ses parlements.
En délocalisant leurs rayonnantes activités là où bientôt seront organisées des visites touristiques à l’occasion de l’Euro 2012, les plénipotentiaires de l’AIEA ont pris la sage et scientifique décision de mettre en jeu leur propre vie personnelle afin de falsifier sans appel l’effet de proximité et de démontrer l’innocuité certaine des faibles doses.  « Avec notre présence la zone deviendra l’emblème irréfutable de la salubrité et ceci mettra fin définitive aux sarcasmes sur le péril sans seuil entre autre de la contamination radioactive interne par les émetteurs alpha », souligne sibyllin le directeur scientifique « bien que nous ayons peu de mérite à nous y déplacer puisque nous savons parfaitement qu’il n’y a aucun risque  radiologique sérieux même si sur place nous nous gaverons tous fatalement de radionucléides » ajoute t-il à la cantonade avec humour et modestie.
Ces mêmes représentants et ces mêmes savants qui aujourd’hui discutent et rédigent les rapports objectifs sur la quantité de Bq artificiels par mètre cube d’air, par kilo sec ou humide de terre, de salade, de truite, de bœuf et d’homme ou par tonne de forêt de Tchernobyl, ces représentants et ces mêmes savants demain  se nourriront, boiront et se chaufferont ainsi aux mêmes inoffensifs nucléides artificiels et à la même radiotoxicité redoublée (Am241, U234, U236, etc. sont des descendants beaucoup plus radiotoxiques que leurs géniteurs… La radioactivité baisse mais la radiotoxicité augmente !)  que les populations locales qui jouissent depuis 1986 d’un significatif regain de santé. Celles-ci profitent dorénavant d’une longévité si exceptionnelle que, faute de patients, d’entiers services oncologiques ont dû se reconvertir à la pêche au crabe, que les maladies thyroïdiennes, cardiaques, hématiques, pulmonaires, cérébrales, mentales, gastriques, reproductives, gynécologiques, urologiques, dermatologiques, osseuses, les avortements thérapeutiques et les malformations génétiques ont drastiquement chuté semant le chômage dans les respectives spécialités. 
Les pompes funèbres de l’entière région ont également été frappées de plein fouet par ce sursaut de jouvence et n’inhument désormais, à vil prix, plus que des vieillards pour lesquels les familles déboursent peu.  Contraintes par la baisse des recettes à diversifier leurs activités, beaucoup ont, l’âme en berne et l’ADN en forme, dû faire défluer leur jeune personnel mâle vers les banques internationales du sperme. (« Crise des croque-morts mais boom de l’exportation de sperme plutonigène », titrait récemment non sans malice «L’Absinthe», quotidien transfrontalier d’Ukraine et de Biélorussie.)  La faune s’est en outre là ragaillardie si vigoureuse qu’aux frais des généreux  « écologistes pour le nucléaire »  un régiment  de chasseurs assermentés a été recruté à la hâte et pour mettre fin à cette intempestive surpopulation de gibier « qui mine gravement l’équilibre de l’écosystème régional ».
Sous la tutelle de la communauté nucléaire internationale un campus concentrationnaire d’excellence formera là également tous les prochains ingénieurs, professeurs et docteurs atomiques occidentaux. Un espace high-tech de presse et de congrès unifié accueillera en outre journalistes, conférenciers et agents atomistes de tous pays. En vue de l’arrivée de l’assemblée, des fonctionnaires et des familles, un novateur plan d’urbanisation avec requalification des milliers de tonnes de matériaux à l’abandon tel que le ciment, le fer, le plomb, le cuivre, etc. qui ont encore échappé à la revalorisation sauvage des ferrailleurs clandestins est en phase de réalisation. Crèches, écoles, installations sportives et récréatives (Tcherno-Disney), centres commerciaux, logements de rang, laboratoire pluridisciplinaire pour un suivi épidémiologique longitudinal au long cours qui apaisera objectivement les craintes, garantiront le confort et le sain développement de leurs enfants, de leur famille et d’eux-mêmes déjà contaminés par ce fallout permanent de nanoparticules radioactives qui, invisible mais bien là en suspension, enveloppe la planète depuis 1945 et vient chaque jour enrichi par les effluents des quelques 480 réacteurs atomiques civils en fonctionnement. (La progéniture des savants, leurs épouses en sont-elles informées ?,  a absorbé autant de plutonium que les enfants suisses nés en 1995 qui en ont, entre autre, dans leurs dents de lait. La radioactivité artificielle disséminée en poussières fines vient immanquablement et démocratiquement à quiconque.)  
Quelques millions de particules de plus incorporées par jour du côté de Tchernobyl ne sauraient donc à l’évidence faire de mal.  Vous le savez mieux que nous puisque, avec diligence, vous avez choisi dorénavant d’y séjourner. Face à un engagement expérimental si noble et si courageux nous nous inclinons au plus bas et saisissons l’occasion pour souhaiter une bonne année 2011 et un bon voyage à tombeaux ouverts à vous et à toutes ces institutions atomiques qui font tant pour la sauvegarde de l’inhumanité.
Votre atome de la paix des cimetières vous attend. Disséminé par votre grâce dans l’entière biosphère, d’une pathogénie inouïe et d’une patience infinie, il vous attend là-bas, il vous attend ici, il vous attend partout.


Le nuage de Tchernobyl dans une simulation de l'IRSN

L'AIEA trasloca a Chernobyl


Chernobyl Consequences of the Catastrophe for People and the Environment



Atlas on the caesium deposition across Europe after the    Chernobyl accident.