dimanche 27 juillet 2008

Sputerò sulle vostre tombe. (Boris Vian)



L’inesorabile massacro tumorale dell’esercito è l’effetto reale ed inequivocabile delle politiche di dispegamento delle truppe nei paesi i più martoriati coll’uranio detto impoverito per meglio ingannare. (Considerando gli elementi all’equilibrio, in 1 grammo di uranio “impoverito” ci sono ancora 39458 Bq dei 51313 dell’uranio detto, anche lui falsamente, naturale.) La perdita, per morte o malattia invalidante, di almeno 50% di queste truppe nell’arco dei 10-20 anni dal loro dispiegamento è inesorabile. Vedere le cifre spaventose del Veterans Affairs, organismo ufficiale statunitense. http://ngwrc.org/pdfs/GWVIS-2007-may.pdf oppure anche http://www.rense.com/general79/since.htm

Contrariamente a quanto declamato dagli stessi cretini che lo proferiscono “10, 100, 1000 Nassirya” è non è uno slogan “contro” ma bensì l’effettivo slogan del potere che ha messo in moto un deliberato programma di decimazione del proprio esercito. Non vi sono altre conclusioni possibili. La fisica nucleare non è un opinione e le giovanissime barre chi si accumulano neanche. La consapevole eliminazione fisica così dei tutori della sicurezza militare come delle popolazioni civili è una conseguenza ineludibile della nostra politica “estera”. http://gregornot.wordpress.com/2008/07/27/populations-exposed-to-environmental-uranium/

Questa decimazione avviene nella più totale indifferenza e col benestare di fisici e medici da baraccone, criminali al punto da far impallidire lo stesso Mengele, che falsano, chi consapevolmente chi per testarda imbecilità, i coefficienti di dose in modo tale da far apparire innocuo l’effetto di prossimità generato dall’immobilizzazione delle microparticelle radioattive alfa all’interno dei tessuti. (Invitiamo questi grandissimi scienziati a passare dalla parola ai fatti. Dimostrateci che l’uranio depleto è innocuo insediando, sperimentalmente, alcune particelle nei vostri amati corpi. Siete sicurissimi dell’assoluta assenza di conseguenze patologiche. Bene. Se è inoffensivo per gli altri lo sarà di certo anche per voi. Cosa aspettate ? Fatevi avanti come cavie o grandi cervelli ! Un bel protocollo sperimentale di respiro longitudinale lo saprete fare !)

L’unica nota comica in questo quadro demoniaco è che gli stessi tutori di questa politica suicida faranno la stessa fine tumorale dei soldati. Questi “civili e democratici” idioti spesso frequentano “per motivi diplomatici” i territori di concentramento atomico. Che i bookmakers siano avvisati.

lundi 21 juillet 2008

Il n’existe PAS de métal Uranium n a t u r e l…seul...


Il n’existe PAS de métal Uranium n a t u r e l…seul...

Les premiers à diffuser la fausse expression de «métal uranium naturel» sont les Etats-Unis. Or dans la Nature on ne trouve nulle part du métal uranium mais bien des minerais uranifères, dont les principaux sont l’oxyde d’Uranium (UO2 à U3O8), la Carnotite, la Monazite, la Pilbarite, l’Autunite et la Thorine.

Le métal Uranium est créé par les technocrates via les réacteurs nucléaires notamment. Et sachons tout de suite que le métal Uranium est un métal lourd radioactif d’une demi-vie radioactive de 4,5 milliards d’années, donc un poison redoutable qui ne doit être ni respiré, ni avalé. Son immobilisation au contact direct des cellules est un vecteur de cancer certain. Ce métal lourd a de plus une demi-vie biologique de 5 ans. Il faudra donc au moins 5 ans avant que l'organisme ne parvienne à excréter la moitié de la masse incorporée. La demi-vie biologique de l'uranium minéral est par contre de 3 jours et il est donc très rapidement évacué. Ne serait-ce que parce qu'il stagne plus longtemps dans l'organisme, le métal uranium est pour cela infiniment plus dangereux que le minerai d'uranium. L'amalgame qui est fait par les nucléocrates entre ces deux états de l'uranium (minéral et métallique)constitue un pur et simple mensonge physique, biologique et radiologique qui porte préjudice à la santé et à la radioprotection des populations et des individus.

(Sé) Capitaine-Commandant retraité Maurice ANDRE, spécialisé en protection NBCR à fonction exclusive (nucléaire, biologique, chimique, radiologique)
Paolo SCAMPA

Communication scientifique de l’AIPRI du 09/6/07

samedi 19 juillet 2008

Soyez félicités.

L’AIPRI félicite les autorités françaises pour l’excellence de leur campagne de désinformation mise sur pied autour des deux catastrophiques fuites récentes d’uranium insoluble dans la région de la Drôme. « Des fuites radioactives sans impact environnemental ». Une région en partie désormais entrée de fait dans la catégorie des zones interdites, sauvegardée grâce à cette superbe trouvaille. (Il y a plus d’uranium dans vos fleuves que dans ceux autour de Tchernobyl !) « Il n’y a aucun danger imminent ». Voilà également une autre magnifique contre-vérité physique que les médias relayent avec force sans coup férir. Quelle admirable tournure alors que le danger est permanent et perdurable. L’AIPRI ne peut que saluer la vaillance de vos efforts pour que la population continue d’ignorer que cette radioactivité perdurera pour des milliards d’années. Il est louable de lui faire croire qu’elle diminue en se diluant dans les eaux et dans les terres alors qu’en fait la réduction des masses radioactives compactes en particules radioactives insolubles infiniment petites constitue de fait la démultiplication exponentielle des occasions de cancer par contamination interne. Il est essentiel que la foule oublie que des dizaines de millions de personnes, à commencer par les enfants, seront en danger pendant des centaines de millénaires. Vous faites donc bien de vous employer à mentir. Que vaut le bas peuple devant les intérêts suprêmes d’une nation superpuissante au point de se contaminer toute seule ? Messieurs, Mesdames, vous qui venez en outre de consacrer l’union radioactive de Méditerranée, soyez félicités. Votre contribution nationale à la réduction de la population mondiale mérite notre entière approbation.
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Paolo Scampa
Président de l'AIPRI.
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P.S. Veillez à prédisposer une équipe de désinformation scientifique Alpha qui sache démontrer que le prochain syndrome de la Drôme n'a que faire avec le syndrome du Golfe. Il lui sera facile de soutenir au plus grand nombre que les mêmes particules n'ont pas du tout les mêmes effets.
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dimanche 13 juillet 2008

La composition atomique du corps humain

A cause de l’existence des nanoparticules métalliques dans l’atmosphère terrestre (dont les nanoparticules radioactives d’uranium de près d’un milliardième de mètre en provenance des armes américaines et des explosions nucléaires passées), et du fait que ces nanoparticules atmosphériques sont invisibles à l’œil d’une part, et que d’autre part que, via les poumons d'abord et le sang, elles ont directement accès à n’importe quel endroit de notre organisme, je répète ici la composition atomique du corps humain


Les différents atomes composant le corps humain sont :


1) l'oxygène : symbole O environ 65% du poids total du corps,
2) le carbone symbole C environ 18%
3) l'hydrogène symbole H environ 10%
4) l'azote symbole N environ 3%
5) le calcium symbole Ca environ 1,5 %
6) le phosphore symbole P environ 1%
7) le souffre symbole S environ 0,25%
8) le potassium symbole K environ 0,2%
9) le sodium symbole Na environ 0,15%
10) le chlore symbole Cl environ 0,15%
11) le magnésium symbole Mg environ 0,05 %
12) le fer symbole Fe environ 0,0057 %
13) le cuivre symbole Cu environ 1,4 x 10 exposant moins 4, pour cent ;
14) l'iode symbole I, environ 4,3 x 10 exposant moins 5, pour cent ;
15) le manganèse symbole Mn environ 3 x 10 exposant moins 5, pour cent;

Sous forme de traces dans les oligo-éléments :

16) le chrome symbole Cr,
17) le cobalt symbole Co,
18) l'étain symbole Sn,
19) le fluor symbole F,
20) le molybdène symbole Mo,
21) le sélénium symbole Se,
22) le silicium symbole Si,
23) le vanadium symbole V,
24) le zinc symbole Zn,

Soit un total de 24 sortes d’atomes différents composent les molécules du corps humain.
Sources référentielles : 1) the Report of Committee II on Permissible Dose for Internal radiation, Pergamon Press, London 1959 ; 2) Kiefer et Maushart in Uberwachung der Radioaktivität in Abwasser und Abluft (B.G. Teubner. Stuttgart 1967, 2.1 blz.11).
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Conduite à tenir lors de la découverte spectrométrique ou chimique dans le corps humain, d’atomes différents de ceux mentionnés dans la liste qui figure ci-dessus : signaler une contamination corporelle.
Communication du 7 juillet 2006 du commandant Maurice Eugène ANDRE, expert NBCR à fonction exclusive (nucléaire, biologique, chimique, radiologique).

Voir aussi http://aipri.blogspot.com/2010/10/la-composition-atomique-du-corps-humain.html

mardi 8 juillet 2008

Nuke ta mer: Désastre nucléaire prochain dans les eaux de la méditerranée.



Si les informations diffusées par la presse et les autorités françaises sont exactes 360 kilogrammes d’uranium (qui aujourd'hui 11 juillet sont ramenés à 240 kg http://www.asn.fr/sections/accueil/actualites/suite-son-inspection-sur-site-socatri), dont il n’est pas donné de connaître l’exacte teneur isotopique, contenus à 12 gr/lt dans 30 m3 d’effluents (30.000 litres) viennent d’être en partie déversés dans le canal de la Drôme suite à un accident sur le site nucléaire du Tricastin. (30 m3 = 30.000 litres * 12 gr/lt = 360.000 gr/1000 = 360 kg. Pour 20 m3 = 240 kg). Une contamination nucléaire sans précédent vient donc de se produire. Nappes phréatiques et terres sont d'ores et déjà irrémédiablement et définitivement contaminées pour des milliards d'années. Aucune décontamination complète n'est en effet humainement possible. Cette contamination atteindra de plus la mer méditerranée. L’Aipri invite instamment les autorités et les savants qui ne cessent de lancer de mensongers messages tranquillisants d’appuyer leurs dires par un long bain collectif dans les eaux du canal de Donzère-Mondragon, de la Gaffière, du Lanzon et enfin du Rhône. La saison s’y prête. Nous les enjoignons également à ne s'engager à ne s'alimenter dorénavant qu'avec les produits agricoles poussant en bordure de ces cours d'eau et à ne boire que les eaux pures des nappes phréatiques avoisinantes. Mesdames, messieurs joignez les actes à vos paroles.
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Les notes officielles.
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PS. Le 11 juillet au soir l'IRSN n'a toujours pas communiqué de valeur radiologique. Elle a bien certifié la pollution des eaux mais ne l'exprime qu'en microgramme par litre (de fleuve). Microgrammes de quoi ? Leurs spectromètres sont-ils soudainement défaillants ? Ou bien y a-t-il tellement de plutonium et/ou de produits de fissions que les autorités préfèrent l'omission au mensonge flagrant ?
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samedi 5 juillet 2008

Le potassium radioactif (19K40)



Une personne de 70 kg a environ 140 grammes de potassium dans le corps. 0,00118%, de ce potassium, à savoir 0,001652 gramme pour 2,48E19 atomes, est un potassium radioactif (19K40). Ce potassium radioactif (19K40) émet une particule Bêta négative (β-) de 1,35 MeV pouvant pénétrer la chair sur environ 2 cm et a une activité spécifique de 258540 Bq par gramme (7,004E-6 Ci/gr). Ce potassium radioactif a ainsi une activité corporelle naturelle totale de 427 Bq. (0,001652 gr * 258540 Bq par gr = 427 Bq).

Le K40 est disséminé partout dans le corps. Il ne forme aucun amas en un point donné de l’organime qui désintègre fréquemment. Ses atomes radioactifs sont équitablement répartis afin d’éviter tout dommage organique, afin d’éviter tout effet de proximité, afin d'éviter toute agression chronique d'un même groupe de cellules. Les atomes du potassium K40 ne sont ainsi pas concentrés en des points particuliers du corps mais sont dispersés. Chacune des environ 6E13 cellules vivantes d’une personne de 70 Kg contient en moyenne 2,5E-17 gr et 415.000 atomes dispersés de K40. En UN AN le K40 de chaque cellule délivre 0,000224 Bq. Il y a ainsi extrêmement peu de potassium 40 dans l’organisme et il est de plus ultra-pulvérisé au sein même des cellules1. Ceci empêche la formation de "grosses" et dangereuses masses radioactives qui, par leur haute activité, pourraient ioniser de manière chronique une même zone cellulaire. Le potassium K40 n'est dans ces conditions pas nocif.

On notera également que la particule β- de 1,35 MeV du K40 est en mesure de traverser au plus 2000 cellules. En un an pour une activité totale de 1,35E10 Bq (427 Bq * 31536000 secondes par an = 1,35E10 Bq) on déduit alors que seulement 45% de nos cellules subissent au cours d'une année une et une seule ionisation interne et que 55% des cellules n'en subissent aucune en une année. (1,35E10 Bq en un an * 2000 cellules atteintes par chaque β- = 2,7E13 cellules "ionisées" une fois dans l'année sur 6E13 cellules.) Il faudra donc attendre plus de 2 ans pour que chacune de nos cellules absorbe, en moyenne, une ionisation due au K40. Voilà donc un autre motif pour lequel la radioactivité naturelle interne n'est pas dangereuse. L’ionisation portée par le K40 logé dans les cellules est en somme un événement rare pour la cellule comme pour son entourage.

On ne saurait ainsi proclamer l’innocuité d’une irradiation artificielle par contamination interne qui ionise de manière répétitive une zone histologique délimitée en arguant de l’évidente innocuité d’une irradiation naturelle interne qui n’est ni chronique, ni localisée en une zone circonstanciée des tissus. Si tel était le cas et que le K40 formait de «gros» amas dans notre corps nous serions en effet déjà tous morts et plus exactement encore nous ne serions même jamais nés. Dans l’organisme la quantité de potassium 40 naturel est trop faible et trop disséminée pour être nocive. Elle relève d’un juste équilibre. En revanche, l’incorporation par inhalation ou ingestion d’amas radioactifs artificiels qui de plus migreront à terme aux mêmes endroits pour y former de «gros» amas très actifs est très nocive. Elle porte un déséquilibre. Elle porte la mort.

Paolo Scampa
Président de l'AIPRI.

P.S. Certains multiplient par 10 le taux de K40 présent dans le corps et le portent faussement en falsifiant les données officielles à 0,0117% du potassium et à 0,01638 gr. Qu'à cela ne tienne, chaque cellule subirait alors en son sein 0,002225 Bq en UN AN !

1 Nous n'évoquons ici que le potassium radioactif qui fait naturellement parti de notre composition organique. Il va de soi qu'une incorporation artificielle de potassium 40 peut, selon la quantité absorbée, causer de très graves dommages pouvant porter à la mort.
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