samedi 23 février 2008

Retombées radioactives mondiales probables suite à la destruction du satellite “USA 193”.



L’appel, entre autre de l’agence spatiale européenne, a éviter la destruction en vol du satellite “Usa-193”, n’a pas été entendu.
Les retombées radioactives de plutonium 238 vaporisé en particules fines respirables au cours de l’explosion sont donc désormais très certainement à l’ordre du jour sur l’entière planète. Il faut en effet savoir que la plupart des satellites utilisent des générateurs thermo-électriques atomiques contenant au moins 6 kg de plutonium 238, l’un des plus redoutables poisons radiologiques qui soit.
Le plutonium 238 a une demi-vie radioactive de 87,3 ans, une activité spécifique de 17,22 Curie par gramme (chaque gramme de plutonium 238 émet donc à chaque seconde 6,37E11 Bq -637 milliards de Becquerel- et 6 kilogrammes signifient ainsi plus de 100000 Curie.) Selon l'ICRP, très officielle commission internationale de radioprotection http://www.icrp.org/, le coefficient de dose par inhalation du plutonium 238 est de 4,3E-5 Sv/Bq. (Selon les tables officielles chaque Becquerel inhalé de Pu 238 provoque un dommage dans l'organisme équivalent à 4,3E-5 Sievert. NB La dose létale équivaut à 5 Sievert.) Ceci signifie qu’une dose fatale de 5 Sievert correspond à l'incorporation de 1,16E5 Bq (3,14E-6 Ci) de plutonium 238. (Question: Combien faudra-t-il de Bq pour atteindre la dose létale sachant que 1 Bq vaut 4,3E-5 Sv ?: Réponse: 5/4,3E-5 = 1,16E5 Bq -116000 Bq-). Cette dose fatale de plutonium 238 pèse seulement 1,83E-7 gramme, à savoir 0,183 microgramme. (1,16E5 /6,37E11 = 1,83E-7. NB Il suffit d’un peu moins de 3400 particules fines de 2,5 microns de diamètre, chacune pesant 1,8E-10 gramme, pour atteindre le poids létal.)

Ceci implique que 1 gramme de plutonium 238, équitablement réparti, est en mesure de causer la mort de plus de 5 millions 470 mille personnes. (Question: Combien de doses létales de 116000 Bq il y a-t-il dans 1 gramme de Pu 238 ? Réponse 6,37E11/1,16E5 = 5.478.637). On en conclue par conséquent que les 6 kilogrammes de plutonium 238 maintenant probablement disséminés dans l’atmosphère sous forme de poussières fines et ultra-fines ont un potentiel létal de 32 milliards de victimes. (5.478.637* 6000= 3,29E10; à savoir 32 milliards 900 millions.)

32 milliards de victimes. Tel est le potentiel létal officiel du 94 Pu 238 qui sait dispersé au cours de la brillante interception du satellite Usa-193. Inspirez, expirez.


Paolo Scampa
Vice-président de l’Aipri

dimanche 17 février 2008

Le potentiel létal des 26 Kg de cesium 137 relachés à Tchernobyl.

Selon l'ICRP, très officielle commission internationale de radioprotection http://www.icrp.org/, le coefficient de dose par inhalation du Cesium 137 est de 6,7E-9 Sv/Bq. (Selon les tables officielles chaque Becquerel inhalé de Cs 137 dépose 6,7E-9 Sievert dans l'organisme.)

Le Cs137 a une activité spécifique de 86,8378 Curie par gramme (3,213E12 Bq) et une demi-vie radioactive de 30,07 ans.

La dose fatale entrainant rapidement la mort est située à 5 Sievert.

Ce qui signifie que cette dose fatale de 5 Sievert correspond à l'incorporation de 7,46E8 Bq (0,0202 Ci) de cesium 137. (5/6,7E-9 = 7,46E8 Bq). Cette dose fatale de césium 137 pèse seulement 2,32E-4 gramme -0,000232 gr.-, à savoir 0,232 milligramme. (7,46E8/3,213E12 = 2,32E-4).
Ceci implique que 1 gramme de césium 137, équitablement réparti, est en mesure de causer la mort de 4305 personnes. (1/2,32E-4 = 4305). *

Sachant que l'accident de Tchernobyl a, de source officielle, relaché 26 kg de Cesium 137 dans l'atmosphère à savoir 2,26E6 Curie (86,8378 * 26000 = 2,26E6 Ci), on en conclue par conséquent que ces 26 kg ont un potentiel létal par inhalation de 111 millions de victimes. (2,26E6/0,0202 = 111 millions; ou bien 26000/0,000232 = 111 millions; ou bien plus simplement 4305 * 26000 = 111 millions.)

111 millions de victimes. Tel est le potentiel létal officiel du Cs 137 dispersé dans l'atmosphère au cours de l'accident au réacteur de Tchernobyl. Osons le souligner. Osons aussi remarquer, que le césium 137 est en grande partie aujourd'hui déposé sur les sols. (L'UNSCEAR fournit d'abondantes tables radiologiques à ce sujet.) Le césium qui n'a pas été respiré pourra ainsi être mangé ou bu. Il est bon de savoir à ce titre que le coefficient de dose par ingestion du Cesium 137 est officiellement de 1,3E-8 Sv/Bq, qu'une dose létale pèse 0,19 milligrammes et que dans un gramme on trouve 8353 doses létales. (L'ingestion du césium 137 est officiellement retenue par l'AIEA comme plus grave que son inhalation.) Soulignons ainsi que ces 26 kg déposés sur les sols ont un potentiel létal par ingestion de 217 millions de victimes. Osons également le souligner en souhaitant bon appétit aux "grands savants nucléaires".

Paolo Scampa
Vice-président de l'AIPRI.
* Par analogie au cigle Ci/Gr nous lançons publiquement la proposition de cigler désormais ce coefficient scientifique de létalité potentielle par gramme LD/Gr. Donc Cs 137: 4305 LD/Gr. Nous suggérons également aux savants nucléaires de le mentionner pour chaque radionucléide aussi systématiquement qu'ils mentionnent les autres paramètres (activité spécifique, demi-vie, énergie de décroissance, etc.).
Une autre carte officielle des retombées de Tchernobyl intitulé

Atlas on the caesium deposition across Europe after the Chernobyl accident (JSP6)

se trouve ici: 

mardi 12 février 2008

Tchernobyl: L'italia è il paese il più contaminato d'Europa occidentale.



Contaminazione dovuta al cesio 137 (emi-vita radioattiva di 30 anni) rilasciato a seguito dell'esplosione avvenuta nella centrale atomica di Cernobyl. Dati radiologici in Contaminations radioactives: Atlas France et Europe. André Paris. Edizioni Yves Michel Bp 305300 Barret-su-Méouge. Francia www.souffledor.fr.

LE MISURAZIONI RIPORTATE SONO STATE EFFETTUATE FRA L’ESTATE 1999 E L’ESTATE 2000. (Questi valori saranno dimezzati nel... 2030 ! Pazienza !)

Colle Petit St Bernard 5.300 Bq m2
La Thuile 17.900 Bq m2
Colle San Carlo 14.000 Bq m2
Cogne 16.500 Bq m2
Valtournenche 20.900 Bq m2
Cervinia 25.000 Bq m2 (accumuli locali a 493.900 !)
Bolengo (Biela) 23.100 Bq m2
Ronco Biela 26.500 Bq m2
Somma Lombardo (Sud Lago maggiore) 42.600 Bq m2
Brembilla (Bg) 53.000 Bq m2
Madonna del nevi 62.700 Bq m2
Colle San Marco 65.000 Bq m2
Morbegno 49.200 Bq m2

Casso 40.100 Bq m2
Sui versanti della diga di Casso 44.400 Bq m2
Val Cellina 59.300 Bq m2
Forcella di Pala Barzana 78.700 Bq m2
Sotto Andreis punte circostanziate a 284.100 Bq m2 !
Ampezzo Forcola di M. Rest 31.300 Bq m2
Medeis 31.300 Bq m2
Villa Santina 39.100 Bq m2
Pontebba 30.300 Bq m2
Colle di Pramollo 33.700 Bq m2

ecc...

Per maggiori dettagli vedere

http://www.progettohumus.it/chernobyl.php?name=mappe4

Tchernobyl. Les autorités françaises ont dissimulé la vérité.



Voici mon témoignage. « Après l’accident de Tchernobyl, une firme bruxelloise vendant des produits biologiques m’a contacté pour une mission de reconnaissance et de relevés radiologiques en France sachant que j’avais les brevets militaires pour pratiquer correctement ces lectures et relevés.

La firme me véhiculait à travers toute la France là où elle le décidait, mais en contre partie elle assurait les frais de l’expédition : je faisais les relevés et lectures radiologiques gratuitement en contre partie de l’intendance et du logement. J’avais comme équipement 2 appareils de détection Berthold 1200 capables de lire en alpha bêta gamma globalement mais aussi séparément en alpha, en bêta, en gamma uniquement, quand c’était nécessaire. Aussitôt dit aussitôt fait et nous étions partis. La seule surprise que j’ai eue pendant ces 15 jours de voyages ininterrompus c’est de ne pas avoir rencontré en France un seul mètre carré qui ne fut pas contaminé. Toute la France ressemblait à un champ de bataille radioactif. Mes appareils crépitaient affreusement à chaque prise de mesure, à chaque échantillon examiné. Particulièrement radioactif était le thym : au-delà de 10 fois la lecture normale …

Bref je constatai une contamination généralisée des sols et des productions. Pendant ce temps les Français étaient bien nourris et bien contaminés avec la bénédiction abominable des autorités officielles dans lesquelles ils croyaient. J’ai vécu mentalement un véritable calvaire. Je regardais enfants et populations manger et respirer en sachant qu’ils payeraient une lourde facture de santé en retour, mais pas immédiatement. Et je ne pouvais rien faire. Même pas les avertir ou crier : j’aurais été séance tenante arrêté, mes appareils saisis, et moi déclaré déséquilibré. Car tels sont les effets de la radioactivité ingérée : les maladies dues aux radiations se montrent souvent des années plus tard et personne dans la population n’a la possibilité de se protéger contre de telles situations. C’est atroce de constater et supporter cela de visu. C’est pourquoi je pense souvent au gens de Tchernobyl qui chez eux sont obligés aujourd’hui encore de subir la volonté des puissants qui exploitent et ‘dirigent’ le monde. »

Maurice Eugène André
Officier, retraité, NBCR (nucléaire, biologique, chimique, radiologique) à fonction exclusive.
Président de l'AIPRI.

vendredi 8 février 2008

Les essais atomiques atmosphériques mondiaux.

Les essais atomiques atmosphériques mondiaux ont délivré 479191 kt d'équivalent de TNT. Pour y parvenir environ 130 tonnes de matière fissile ont été utilisées et éparpillées dans l'air sous forme de poussières fines radioactives suite aux explosions.* Environ 100 tonnes de ces "nanopoussières" sont formées par les résidus non consommés de plutonium 239, d'uranium 235 et des divers produits d'activation valant environ 10 millions de Curie. (Nous les conserverons et les respirerons tels quels pour des millénaires.) Environ 20 tonnes sont formées par les produits de fission de demie-vie inférieure à une année (qui ont quasiment disparu) et environ 7 tonnes par des produits de fission de demi-vie supérieure à une année (dont certains sont en voie d'extinction et d'autres encore frais pimpants de radioactivité.) Ces 7 tonnes de produits de fission "longs" (Tritum et Carbone 14 non compris) ont développé une activité radiologique de 1 milliard de Curie dont il reste à ce jour environ 40 millions en "activité" à laquelle il convient d'ajouter les 10 millions de Curie des résidus non consommés des engins (uranium 235, plutonium 239, uranium 236 etc.). 20% environ des 130 tonnes de matière radioactive employée lors des essais atmosphériques se sont déposées sur l'entière surface du globe (les fameuses retombées), où l'on sait, AIEA, des territoires plus fortement contaminés que d'autres (Etats-Unis, Ex-URSS, Australie, Polynésie). Environ 80% de ces 130 tonnes, avec leur radioactivité "résiduelle", flottent encore dans les airs et flotteront quasiment à jamais (les moins fameuses mais non moins périlleuses "non retombées").
* Sans oublier les environ 1000 tonnes d'uranium "appauvri" utilisé comme enveloppe des explosifs atomiques.


Annexe.



Pour ce qui est des produits de fission de demi-vie supérieure à un an, ceux-ci ont à l'heure zéro de l'explosion (H0) ont une activité de:

Curie dans 1 gr fisionné --> 38,05 (1400 milliards de désintégrations par seconde: 1,4E12 Bq)


Curie dans 1 kt (57 gr) --> 2168,85 (8E13 Bq)

Curie total dispersés -> 1,04E9 (3,8E19 Bq)


N.B. 1 gramme entièrement fissionné = 30 milliards de Curie au temps zéro (H0) de l'explosion. (Dans ces 30 milliards de Curie engendrés par la fission de tous les atomes contenus dans un gramme d'uranium 235 ou de plutonium 239 il y a donc 38 curie de produits de fissions de demi-vie de plus de un an. Cela peut sembler peu par rapport à l'activité totale initiale. Il suffit toutefois de multiplier ce chiffre par le nombre de grammes "explosés" pour ce rendre compte que ce n'est pas le cas et que la pollution atmosphérique atomique est épouvantablement élevée aujourd'hui encore.) Ce calcul comprend les 584 produits de fission de masse comprise dans "courbe des deux épis" et le taux de production de chacun au cours de la fission. La demi-vie de ces 584 produits de fission va de la nanoseconde aux milliards d'années.


Pour 1 Kt (57 grammes fissionnés) --> 1,74E12 Curie à H0.


Liste des principaux produits de fission de demi-vie supérieure à une année et kg produits à H0 par l'ensemble des explosions atmosphériques.

Les radioéléments de demi-vie supérieure à une année se répartissent en trois grandes catégories de décroissance et chacune contribue diversement à cette activité totale du temps H0. Les produits de fission de demi-vie de 1 à 20 ans (Ex: Krypton 95 –gaz, 195 kg- Cesium 134 -313 kg-, Ruthenium 106 -55 kg- Promethium 146 -170 kg- etc.) valent pour plus de 910 millions de Curie. Les produits de fission de demi-vie de 21 à 100 ans valent pour plus de 120 millions de Curie (Strontium 90 -263 kg- Cesium 137,- 960 kg- Samarium 151 -158 kg-, etc.). Les produits de fission de demi-vie supérieure à 100 ans valent eux pour plus de 4 millions de Curie (Ex: Niobium 94 -329 kg-, Technetium 99 -694 kg-, Iode 129 –gaz, 150 kg-, Samarium 146 -170 kg-, Samarium 147 -171 kg-, Zirconium 93 -652 kg-, etc.)



Demi-vie de 1 à 20 ans. (Hormis le Krypton qui a une demi-vie de 10 ans, la plupart des autres ne se retrouvent, 60 ans après la fin des essais, que sous forme de trace.)

44 Ru 106 (55 kg)
55 Cs 134 (313 kg)
61 Pm 147 (171 kg)
51 Sb 125 (14 kg)
61 Pm 146 (170 kg)
36 Kr 85 (198 kg)


Demi-vie de 28 à 100 ans. (Encore très radioactifs 60 ans après la fin des essais.)

38 Sr 90 (263 kg)
55 Cs 137 (374 kg)
62 Sm 151 (158 kg)

Demi-vie de plus de 100 ans (Resteront radioactifs pour des millénaires).

41 Nb 94 (329 kg)
50 Sn 126 (14 kg)
43 Tc 99 (694kg)
40 Zr 93 (652 kg)
55 Cs 135 (789 kg)
43 Tc 98 (343 kg)
46 Pd 107 (75 kg)
53 I 129 (150 kg)
62 Sm 146 (170 kg)
37 Rb 87 (305 kg)
62 Sm 147 (171 kg)
62 Sm 149 (348 kg)
60 Nd 144 (673 kg)
62 Sm 148 (173 kg)


Paolo Scampa
Vice-président de l'AIPRI

mercredi 6 février 2008

Pourquoi existe-t-il tant de positions différentes à propos des dangers de l’uranium ?

La réponse à cette question précise, nécessite de donner une explication correcte sur les différentes irradiations, faisant ou ne faisant pas des victimes. Car il existe des rayonnements naturels (RN) qui ne font pas de victimes évidemment, et des rayonnements artificiels (RA) qui font des victimes. Ces victimes ne sont pas toujours conscientes que l’ADN de leurs cellules a été frappé par un grave préjudice qui NE se réveillera que plus tard, parfois 20 années plus tard sous forme d’un cancer ou d’une leucémie. En effet, quand on est irradié, notre organisme prend note de l’irradiation subie et la stocke dans «un passif radiologique» qui n’apparaît nulle part : ni sur le visage, ni ailleurs. Seul un dosimètre portable pourrait avoir enregistré une fraction de trace d’irradiation et constater qu’on a dorénavant «un passif radiologique». Quand on utilisa la première fois les rayonnements ionisants aucun scientifique n’avait encore entendu parler de l’ADN de nos cellules. Il en fut de même quand les USA utilisèrent les premières bombes atomiques (Hiroshima et Nagasaki). Le domaine des réflexions à propos des irradiations exploré par les «experts officiels» est mandé par les politiques dans des buts bien précis. Alors les experts désignés font tous appel aux «données dites classiques» qui furent enseignées en relation avec les explosions de Hiroshima et de Nagasaki, période où l’on ne connaissait pas encore l’existence de l’ADN au cœur de nos cellules. Et c’est là une lacune ayant des conséquences gravissimes. On sait en effet que les personnes qui reçurent 500 rem IN TOTO et plus, ne survécurent pas longtemps à l’irradiation initiale des bombes. Les irradiations reçues dépendaient de la distance séparant les victimes de la boule de feu des bombes. Plus la boule de feu était proche, plus l’irradiation était forte. La loi qui régit ce phénomène s’appelle «l’inverse square law» ou «loi de l’inverse du carré de la distance» et concerne les rayons gamma. Pour l’expliquer simplement il suffit de dire que SI à une distance «d» de la boule de feu vous receviez N rem, à une distance d/2 vous receviez 2 x 2 x N = 4 N rem. «Les experts» examinant les dommages causés aux irradiés internes par des pousières d’uranium de la Guerre du Golfe se sont basés de manières répétées et ERRONEES à chaque fois sur les «résultats» des doses reçues lors des explosions atomiques de Hiroshima et de Nagasaki, pour se faire une idée des doses reçues par les contaminés de la guerre du Golfe, qui eux n’ont jamais subi les effets directs d’une explosion atomique ! … mais bien les effets de rayonnements d’une toute autre catégorie: les rayonnements alpha internes que subissent les contaminés à l’uranium ! Et les «experts» ne sont PAS parvenus (évidemment !) à calculer en rem, les dommages causés aux personnes ainsi contaminées par l’UA.

Ayant découvert en 1976 les effets de proximité, et ayant publié cette découverte dans plusieurs revues scientifiques, j’ai calculé en 1999 que les contaminés de la Guerre du Golfe (dont des populations) subissaient des irradiations internes ponctuelles, à raison de 6 rem/an par poussière d’UA d’un micromètre de diamètre (un millième de mm de diamètre) fixée IN SITU, souvent dans un poumon, au moins. On sait que les poussières radioactives bloquées dans les poumons se regroupent en amas dans ces poumons, et y provoquent des «hot zones» ou «zones chaudes» ; de là on calcule aisément qu’un amas radioactif de 5 micromètres de diamètre va délivrer annuellement et ponctuellement 5 x 5 x 5 x 6 rem = 750 rem / an (car quand une masse radioactive augmente X fois son diamètre, le volume V initial devient V initial fois X au cube, puisque le volume d’une sphère, et par suite sa masse, est fonction du cube du rayon de la sphère considérée.) Les experts mandatés officiellement, -choisis par des politiciens-, répétons-le, ne sont PAS des personnes ayant reçu une formation spéciale universitaire en protection NBCR (nucléaire, biologique, chimique, radiologique) NI une formation en évaluation des doses reçues. Ils se sont donc tous lourdement trompés dans l’évaluation des doses encaissées par les contaminés de la Guerre du Golfe. Et leurs erreurs furent colportées par la presse internationale aux détriments des victimes. Ils ont tous systématiquement omis l’essentiel des différences entre les irradiations subies à Hiroshima et Nagasaki, et les irradiations subies par les personnes souffrant aujourd’hui d’une contamination radioactive interne par l’UA. Notamment les personnes qui ont respiré des poussières d’uranium brûlé en provenance d’explosions des projectiles radioactifs américains contenant de l’uranium: (obus avec UA, bombes avec UA, etc.). Ces projectiles dit à «UA» ou avec «uranium appauvri» sont en réalité des projectiles contenant de l’U 238 métallique duquel on a extrait le maximum d’U 235. Le mot «appauvri» dans l’abréviation «UA» signifie en réalité «uranium 238 appauvri en uranium 235». En effet il existe 2 uraniums qui ont des masses critiques (qui explosent spontanément au-dessus de cette masse dite «critique» et qui sont de ce fait utilisés pour faire les bombes atomiques). Ce sont les uraniums 233 et 235. De là le côté ‘précieux’ des atomes d’U 235 que l’on trouve parmi ceux d’uranium 238 … Dans le jargon du lobby nucléaire, on appauvrit donc l’U 238 quand on lui retire l’U 235 qu’il contient ... de là vient cette expression «UA».


1) Pour étudier convenablement les questions d’irradiations, sachons que dans les villes japonaises bombardées de Hiroshima et de Nagasaki les irradiés firent face à des irradiations mortelles très puissantes, quasi instantanées (d’une nature très proche de celles des radiographies), exclusivement composées de rayons GAMMA et aussi de neutrons, le tout provenant pendant quelques secondes seulement du lieu (aérien) de l’explosion atomique. C’étaient de puissants rayons ionisants venant vers eux et émanant exclusivement de l’extérieur de leurs propres corps.
2) Il n’en est absolument pas ainsi chez les contaminés actuels qui souffrent eux d’irradiations internes de longues durées provenant de matières radioactives qui sont parvenues à s’introduire à l’intérieur de leur propres corps, ceci parce qu’ils ont avalé ou respiré des matières radioactives sous formes de poussières radioactives. Notons bien que des rayons ionisants ne sont pas des poussières radioactives ! … comme les confondent «certains experts». Les rayonnements sont pratiquement ‘immatériels’ et se propagent à très grande vitesse tandis que les poussières d’où partent ces rayonnements se meuvent elles avec le vent à la vitesse du vent. Les matières radioactives véhiculées dans les poussières radioactives, sont absorbées IN SITU où elles déposent les matériaux radioactifs qui sont en elles et qui ELLES délivreront alors des irradiations INTERNES chroniques pendant des années tant que ces poussières microscopiques radioactives resteront prisonnières dans l’organisme. http://www.mindfully.org/Nucs/Hot-Particle-Lung-Tissue1997.htm Ceci ne s’opère donc PAS en quelques secondes comme opérèrent les rayons atomiques à Hiroshima et à Nagasaki. Les irradiés par contaminations internes actuelles, seront irradiés pendant des années à des endroits bien précis de l’organisme, appelés ‘hot zones’ ou «irradiations ponctuelles internes très élevées par EFFET DE PROXIMITE» (atomes radioactifs parvenus en position très proche des cellules vivantes). Les matières radioactives s’introduisent facilement à l’intérieur d’un corps vivant par la respiration car les poussières radioactives sont invisibles et flottent dans l’air en provenance des zones d’explosions des projectiles ayant contenu de l’uranium «dit» appauvri, métal qui est comme déjà dit, de l’Uranium 238 en provenance de centrales nucléaires, et qui est maintenant stocké dans les projectiles militaires (bombes, torpilles, balles d’avions, etc.).


3) Les irradiés de Hiroshima et de Nagasaki, reçurent à partir de l’extérieur du corps, des rayons gamma puissants et mortels (soit + de 500 rem) exclusivement de nature électromagnétique, et des rayons neutroniques qui n’ont pas de charges électriques. Les effets de neutrons projetés vers nous, sont des chocs de ces neutrons sur les particules lourdes composant notre corps: nos propres neutrons et protons constituant nos atomes. Ce sont des irradiations dites «IN TOTO» car concernant la totalité de nos cellules.


4) Aucun des irradiés de Hiroshima et de Nagasaki, il faut le savoir, ne furent contaminés à l’intérieur de leur corps par des produits radioactifs de fission ou atomes radioactifs artificiels, mais ils furent traversés par de puissants rayonnements. Ce qui n’est justement PAS le cas des personnes qui nous préoccupent aujourd’hui. Ces personnes contaminées aujourd’hui le sont de manière interne, par des poussières formées d’atomes radioactifs notamment de l’uranium métallique brûlé dans les explosions des projectiles à UA. Les poussières inhalées ou avalées, sont porteuses d’atomes radioactifs qu’elles véhiculent jusqu’à l’intérieur de notre corps. (Donc IN SITU). Ces poussières microscopiques radioactives entrent dans les organismes comme précisé, par la respiration, la nourriture, les boissons, les plaies. C’est également ce qui arriva aux contaminés des poussières retombées des nuages radioactifs en provenance de Tchernobyl qui transportaient de nombreuses poussières porteuses d’atomes radioactifs artificiels tels le strontium 90, des césium 134, 135, 137, du plutonium 239, et de bien d’autres dangereux atomes artificiels radioactifs (appelés RADIONUCLIDES). Car je ne le dirai jamais assez, une des différences essentielles entre la radioactivité naturelle inoffensive RN, et la radioactivité artificielle RA, dangereuse, est que cette dernière crée des produits de fission, et d’activation, qui sont des atomes radioactifs que ne connaissait pas la Nature; et ces atomes radioactifs très dangereux arrivent à pénétrer à l’intérieur des organismes vivants. La radioactivité naturelle RA ne crée jamais des atomes radioactifs que ne connaissait pas la Nature, comme ces dangereux produits de fission, qui tuent en provoquant des cancers.

A Hiroshima et Nagasaki, les boules de feu des bombes atomiques, (qui contiennent tous les produits de fission des bombes), ne touchèrent PAS le sol et ne le contaminèrent pas. Ceci du fait de l’altitude des explosions. Elles ne déposèrent donc pas des produits de fission (ou atomes radioactifs artificiels) sur le sol ou près des humains aux lieux des explosions. Les produits de fissions des bombes furent violemment aspirés vers le haut par des courants aériens montant en altitude par le fait de courants ascensionnels rapides générés par la température élevée des explosions atomiques. Ces courants ascensionnels forts, allèrent à la vitesse d’un avion à réaction moderne montant verticalement après une ressource, donc à grande vitesse vers le haut après l’explosion. Les atomes radioactifs créés par les explosions atomiques sont les produits de fission qui sont des atomes artificiels TRES dangereux. Ils furent donc aspirés avec violence vers de hautes altitudes et retombèrent ensuite dans les couches basses de l’atmosphère bien loin du lieu des explosions, pour ensuite être respirées par des millions d’humains à des milliers de kilomètres des lieux des explosions, humains qui reçurent «chacun leur petite dose de contamination interne»: c’est ce qui est appelé pudiquement «retombées nucléaires mondiales différées» (où chaque humain reçevra sagement «sa petite dose d’atomes radioactifs artificiels nocifs à ingérer».

Les experts officiels choisis aujourd’hui par les politiciens ignorants des effets nucléaires, (ils n’ont pas le temps de réfléchir ni de comprendre). Cependant ils se donnent le droit de «tout faire au nom du Peuple», sans tenir compte des données que je vous livre ici. Les journalistes n’ayant pas reçu une formation universitaire de protection NBCR, suivent «les experts désignés» les yeux fermés, en croyant ce qu’ils affirment comme si c’était de l’eau bénite. Et les politiciens lisant attentivement la presse, croient la presse: et le cercle de la conviction est ainsi bouclé. C’est ce qu’on peut appeler «l’effet boomerang» ou «l’arroseur arrosé.» Voyez le cas du politicien BUSH, actuellement président des Etats-Unis. Il est conseillé par des personnes qui lui cachent la vérité, à savoir que les Etats-Unis possèdent des armes qui vont génocider une partie de leurs propres troupes, et personne n’ose en informer le président BUSH: c’est une chose tellement énorme, une «erreur» tellement immense, que la peur saisi ceux qui savent: et ils se taisent. Bush n’est donc pas seul coupable.

Revenons à nos irradiés d’aujourd’hui et aux problèmes qu’ils posent.

5) Constatons donc et écrivons qu’ils ne sont pas du tout dans la situation d’un irradié de Hiroshima ou de Nagasaki, et que c’est à tort que les «experts» se sont basés sur ces explosions au-dessus du Japon, pour évaluer les problèmes d’aujourd’hui.6) Consignons ici qu’invoquer les cas de Hiroshima et Nagasaki, c’est tromper le monde, ou montrer publiquement son ignorance totale des problèmes de la radioprotection, qu’on soit médecin, physicien ou chimiste, ou pharmacien, ou un autre scientifique.

Les temps pendant lesquels les irradiations furent reçues et les distances auxquelles se produisent les irradiations.

7) En matière de calculs des doses reçues, le temps pendant lequel les irradiations sont reçues est une donnée essentielle. Cette donnée est absente (!) … des évaluations de «Experts» !

8) Cependant il faut absolument en tenir compte, sous peine de nullité de l’appréciation, ou des calculs faits pour trouver les doses reçues. De plus, non seulement le temps de l’irradiation reçue, est ABSENT de l’évaluation des experts, mais est absente AUSSI, la distance qui existe entre les sources émettrices de rayonnements (les poussières d’UA fixées en amas pulmonaires) et les cellules humaines vivantes qu’elles irradient ! Or cette distance est capitale (voir l’inverse square law) et n’apparaît PAS dans les évaluations des experts : ces évaluations sont donc «totalement caduques». Elles ne mentionnent même pas «les effets de proximité ALPHA internes» qui eux tiennent compte de la distance entre les atomes radioactifs et les cellules irradiées. Car le temps pendant lequel l’irradiation est reçue, multiplié par l’intensité moyenne de l’irradiation reçue, donne toujours la dose totale reçue par les irradiés. Et encore, la distance d’irradiation qui donne l’intensité de l’irradiation reçue, est absente des textes des expertises ! C’est inoui que de telles expertises furent acceptées! Quelques fractions de seconde d’irradiations qui furent mortelles (cas de Hiroshima) n’est pas du tout un temps en relation avec le temps d’irradiation que subissent les contaminés internes d’aujourd’hui. Ils souffrent eux, d’irradiations INTERNES TRES LONGUES, (ce qui ne fut pas le cas des victimes à Hiroshima) irradiations locales internes qui durent plusieurs années (les irradiations à Hiroshima furent de nature très brève (quelques secondes) et forte et irradièrent les victimes IN TOTO: c'est-à-dire que toutes leurs cellules du corps furent irradiées instantanément, non seulement de l’extérieur, mais de manières semblables. NOS IRRADIES INTERNES, eux, ne sont pas du tout dans ce cas: ils souffrent surtout d’irradiations INTERNES DE TYPE ALPHA et pendant des années, et en des endroits ponctuels bien déterminés, notamment dans les poumons.

9) Et encore : ils souffrent de plus de l’introduction dans leur corps de matières radioactives émettrices ALPHA (ce qui ne fut PAS le cas à Hiroshima), matières émettrices ALPHA très invalidantes du fait des EFFETS DE PROXIMMITE INTERNES. Ces matières sont des poisons non seulement radiologiques, mais aussi chimiques. Quand de telles matières arrivent à pénétrer à l’intérieur du corps humain, même en quantités minuscules, elles produisent des dégâts importants : voir l’ouvrage intitulé «Effects of Nuclear Weapons» http://www.princeton.edu/~globsec/publications/effects/effects.shtml - irradiations internes – qui le précise.

10) Et encore : les victimes actuelles sont irradiées directement à partir de l’intérieur de leur propre corps, pratiquement aux mêmes endroits en permanence.Les victimes subissent des tirs ALPHA INTERNES de manière récurrente, et même permanente, ce qui augmente fortement les dégâts à l’ADN des cellules. Enfin il est temps que le public sache que l’existence même de l’ADN, n’était pas connue, quand furent lancées les premières bombes atomiques ! Et il s’avéra près de 15 années après les premières explosions atomiques, que les cellules de notre corps contenaient de l’ADN. Et maintenant on sait enfin que les rayonnements ionisants déstabilisent l’ADN de nos cellules. http://www.fas.org/nuke/guide/usa/doctrine/dod/fm8-9/1ch5.htm.
Quelques notions sur nos cellules et l’ADN.
http://www.cea.fr/fr/Publications/clefs2.asp?id=43

Quand les hommes commencèrent à jouer avec les rayonnements ionisants ils ignoraient l’existence de l’ADN. Quand ils lancèrent les premières bombes atomiques qui firent tant de morts, ils ignoraient encore et toujours l’existence de l’ADN au coeur de chacune de nos cellules.Voyons un peu de quoi notre corps est formé. Il est constitué d’atomes. L’atome est vraiment très petit. On connaît le nombre immense d’atomes que regroupe un gramme de matière. Ce nombre varie d’ailleurs d’une matière à l’autre. Pour expliquer simplement la chose et la retenir, sachons qu’un gramme d’hydrogène (H1) contient le même nombre d’atomes que 12 grammes de carbone (C12), que 238 grammes d’uranium 238 (U 238), ou que 239 grammes de plutonium 239 (Pu 239), etc.

Ce nombre d’atomes dont il est question ici, est immense et s’appelle le nombre d’AVOGADRO. (Nombre N). Il est vraiment énorme. Aucun esprit humain ne peut véritablement se le représenter, mais bien l’écrire (ce qui n’est pas la même chose). Ce nombre qui est appelé nombre N, vaut environ 6 suivi de 23 zéros ! Plus exactement sous la forme typographique suivante: 6, 02252 x 10 exposant 23.

Voici ce nombre N que je vous invite à essayer d’imaginer:
N = 602 252 000 000 000 000 000 000 ou 602 millions 252 mille milliards de milliards.

Voilà le nombre énorme d’atomes dans un seul gramme d’hydrogène ou dans 239 grammes de plutonium 239. Précisons que ce nombre est exact à 1% près.

Comme nous le savons depuis notre école en humanités, il existe des molécules, et chaque molécule est formée d’un minium de 2 atomes, et parfois d’un nombre important d’atomes. Venons-en maintenant à une cellule humaine qui est formée d’un nombre donné de molécules.De combien de cellules est formé un homme ? Un homme de 70 Kg est formé d’environ cent mille milliards de cellules. Soit 100 000 000 000 000 de cellules. Nos cent mille milliards de cellules contiennent toutes un ‘cerveau minuscule’, et ce ‘cerveau minuscule’ commande le devenir de chaque cellule et en fait de l’organisme tout entier.Et en ‘jouant’ à irradier les humains, les savants ignoraient qu’ils irradiaient le système vivant qui gère le devenir de chacune de nos cellules. Et ils ignoraient que le système vivant qui gère le devenir de chacune de nos cellules, c’est l’ADN de nos cellules, ADN dont ils ignoraient l’existence… Et quand nos cellules sont irradiées avec des rayonnements ionisants, l’ADN de chaque cellule touchée enregistre cette irradiation, le temps que dure cette irradiation, et le niveau de son intensité moyenne. La réaction de chaque cellule est alors fonction de données qui nous échappent encore. Ce que l’on sait actuellement c’est qu’une cellule touchée par un rayonnement ionisant enregistre «un passé radiologique complet», et selon que la cellule admettra ou n’admettra pas ce qui lui est ainsi infligé alors, elle décidera de son apoptose immédiate (suicide) ou reportera cette apoptose jusqu’à un délai qui peut se présenter 20 années après l’irradiation, et se traduire par une forme de cancer ou leucémie. Pourquoi tant d’avis différents sur la question du danger de l’uranium ? La réponse est : «Ceci provient de l’incapacité qu’ont montré les «experts» à calculer correctement les doses reçues par les victimes de l’UA.»

MEA Le 18.02.2003
Editeur responsable : Maurice Eugène ANDRE, spécialiste en protection NBCR, Président de l’AIPRI -- Association Internationale pour la Protection contre les Rayonnements Ionisants. Publié en Belgique dans TEXTES d’ANTIPAS – TAHAT KÖL news, de mars 2003. (Diffusé sur le NET le 18.02.03)

dimanche 3 février 2008

Pubbliche domande scientifiche tutt’ora senza risposta.

Una teoria si valuta anche dalle sue implicazioni logiche: cio che è falso in pratica è falso in teoria. (Hegel)

Una “teoria” in voga anche presso la commissione senatoriale sugli effetti dell’uranio "impoverito" insegna che 2 specie di particelle sono prodotte durante l'impatto di un ordigno contenente un dardo a l'uranio 238. Delle particelle radioattive e delle particelle di leghe di metalli non radioattivi forgiate durante la brutale combustione del punto di perforazione (quando codesto è in metallo e non lo è sempre). Questa “teoria” viene accompagnata da inopugnabili, e propriamente grandiose, prove fotografiche della presenza di queste nanoparticelle “belliche” nei tessuti dei soldati malati ma nessuna delle quali viene tuttavia segnalata come radioattiva dai ricercatori. L'evento propriamente sbalorditivo che, a suo malgrado, questa “teoria dell'uranio come mandante della contaminazione interna ma non come killer" svela inavvertitamente ma implacabilmente è pertanto che soltanto le nanoparticelle NON radioattive, qui largamente minoritarie rispetto a quelle radioattive,
[1]entrano nel corpo dei soldati.[2] Ne consegue molto empiricamente che quando un soldato si trova nel mezzo di una nube composta da nanometalli radioattivi e da nanometalli stabili, ebbene si, risolutamente si, inala esclusivamente questi ultimi nanometalli NON radioattivi.[3] E lì una magna rivelazione scientifica degna del più nobile dei Nobel! Bisogna che l'IRCP e l'AIEA nonché gli svariati istituti nazionali di radioprotezione cessino immediatamente ogni vana ricerca sulla contaminazione interna da particelle metalliche radioattive. Bruciare immediatemente la biblioteca nucleare di Los Alamos, da più di 50 anni zeppa di prove, “nanofotografiche” comprese[4], del contrario. Basta stupidi studi sulle dinamiche migratorie dei radionuclidi metallizzati all'interno del organismo. Basta stupide norme sui quantitativi massimi di nanoparticelle metalliche radioattive per metro cubo d'aria. Che le leggi vigenti di radioprotezione interna vengano di punto in bianco abolite. Che cessi il folle timore per le ricadute atomiche e che gli stati maggiori la smettano di dimenarsi nel prevedere al meglio queste. La notizia non è da poco. Le particelle metalliche radioattive non vengono incorporate dai soldati sui campi di battaglia. Stanno fuori. Vedono un naso militare e ricevono un input inibitorio, un ordine: “vade retro”.[5]E scientifico. L'eminente “teoria”, a suo malgrado, insegna al mondo che le particelle radioattive evitano con cura di colonizzare gli organismi viventi: una grandiosa scoperta per grandiosi parterre. Questo si che è onorare i caduti.

Paolo Scampa
Vice-presidente dell'AIPRI


[1] Falsifichiamo subito la leggenda, di ripiego, secondo la quale durante l’impatto sono prodotti infinitamente più nanoparticelle stabili che instabili. Trovare i nanoelementi radioattivi nel corpo è in queste condizioni come cercare un ago in un pagliaio in quanto si formano tonnellate di nanoparticelle stabili con qualche chilogramma di uranio impoverito, sentiamo dire senza sentire profumo di prova, neanche matematica. Saggiamo le implicazioni che scaturiscono da questa asserzione: tutto cio che viene colpito, o quasi, va in fumo!!! Un colpo perforante al UI ed ecco il carro armato, o l’edificio, vaporizzato! Le guerre "impoverite" non fanno residui bellici ! Tutto questo è ridicolo. I dati empirici sono chiari e le prove fotografiche sotto gli occhi di tutti: un dardo a l’uranio 238 fa un buco appena superiore al suo diametro e basta. E questo buco pesa circa un terzo del peso del dardo. Eccone una dimostrazione: Un dardo, standard, di UI di 1,3 cm di raggio * 34,5 cm di alto * 18,95 gr al cm3 = 3,2 kg di UI. (NB i dardi hanno la forma di un cilindro --> 3,14 * 1,3 al quadrato * 34,5 * 18,95 = 3,2 kg) La corrazza di un carro armato è spessa circa 20 cm e densa circa 9 gr. al cm3. Il foro provocato dall’UI misura circa 1,5 cm di raggio (3 cm di diametro) su 20 cm di spessore e pertanto pesa 1,27 kg. (3,14 * 1,5 al quadrato * 20 * 9 = 1,27 kg) In sintesi 3,2 kg di UI Vs 1,27 kg di “ferro”. Vi sono più particelle radioattive che particelle stabili. Ora anche supponendo, falsamente, che soltanto la metà del dardo si “aerosolizza” mentre la totalità della massa del foro, è inesatto, si “aerosolizza” si ha parità di peso e di particelle. Quale spiegazione razionale dare alla dichiarata assenza di particelle radioattive nei tessuti? Quale validità scientifica hanno le generalizzazioni proposte del “uranio mandante ma non killer”? Come sostenere raggionevolmente che i soldati inalano le particelle stabili ma non quelle instabili? Noi non ci riusciamo. Siamo probabilmente troppo legati al principio di non contradizione. Un gravissimo diffetto, ne conveniamo.

[2] Questa è l'unica logica conclusione scientifica che possiamo in effetti trarre dal fatto che i ricercatori dichiarino NON trovare MAI “nanometalli” instabili dentro i tessuti dei soldati ma soltanto “nanometalli” stabili (la cuì pericolosità anche se inferiore a quelle radioattive è, a noi stessi, indubbia). Altre conclusione sono impossibili. Forse sarebbe il caso realizzare analisi ulteriori sugli stessi campioni? Dopotutto la scienza si basa sulla riproducibilità dei fatti e delle osservazioni e sarebbe opportuno chiedere ad altri laboratori se le particelle magistralmente osservate nei tessuti dei soldati martoriati siano davvero tutte stabili. È forse tradire i soldati e la memoria di quelli che non ci sono più chiedere una convalida indipendente di incomprensibili dati radiologici?

[3] Non sono di certo queste asserzioni esplicite dei tutori della “teoria del mandante”, ma sono implicite e logiche conseguenze della loro fondamentalista teoria “unifattoriale” alle quali non possono fuggire.

[4] “Hot” or radioactive particle in lung tissue”, photo by Del Tredici, Burdens of Proof by Tim Connor, Energy Research Foundation, 1997. http://www.mindfully.org/Nucs/Hot-Particle-Lung-Tissue1997.htm

[5] Non disdegniamo una spiegazione alternativa: le polveri sottili radioattive si dematerializzano puramente e semplicemente quando vanno in combustione ! Per questo non entrano negli organismi viventi. Non ce ne sono più ! Gli atomi di uranio spariscono definitivamente ! Il problema delle scorie è risolto ! Un gran falò ! La scienza nucleare va subito rifatta di punto in bianco !

Quanto qui asserito in modo teorico nel 2008 è stato confermato con dati radiologici incontrovertibili nel 2010 da un laboratorio francese. Cf.
http://aipri.blogspot.com/2011/02/luranio-impoverito-ce.html

samedi 2 février 2008

Cari governanti: no future.



Nessuna guardia del corpo sarà mai in grado di proteggere i vostri polmoni della lenta e implacabile morte da contaminazione atomica portata dalle vostre guerre all'uranio “impoverito”. Cari governanti ignorate forse che l’uranio metallico (industriale) è piroforo? Ignorate forse che si polverizza in un numero gigantesco di particelle al momento dell’incandescente impatto (più di 3000°c)? Ignorate forse che ogni grammo di uranio[1] che brucia produce almeno un centinaio di miliardi[2] di volatili polveri di uranio mostruosamente ed artificialmente “sottili” (da 10 Angstrœm a 100 micron per una dimensione media di 0,5 micron[3]). Ignorate forse che le particelle inferiori a 2,5 micron entrano senza ostacoli nei polmoni prima di passare nel sangue che le depositerà qua e là nei tessuti? Ignorate forse che codeste polveri contaminate galleggeranno per almeno due anni nella bassa atmosfera prima che una parte ricada inquinando suoli, alimenti, acque? Lo ignoravate? Allora adesso calcolate! Calcolate, cari mortali, le tonnellate di invisibili necroparticelle atomiche sospese nell'aria dalla vostre ultime ed incompiute guerre umanitarie. Sappiate venerabili rappresentanti dei popoli sovrani che tra il 60 e il 70% delle 8000 tonnellate di DU bruciate in Iraq, in Afghanistan, nei Balcani, nei vari poligoni militari del mondo ed altrove si è “aerosolizzato” in almeno 4,8.E27 particelle; sappiate che queste 8000 tonnellate corrispondono a 2666 Curie di cui almeno 1600 si sono “volatilizzati” alle merce delle correnti meteorologiche. Calcolate allora quante polveri radioattive ultra-sottili sono state, in media, disseminate per metro cubo d'aria; i vostri illuminati consiglieri “strategici” sapranno certamente che la bassa atmosfera terrestre (10 km di alto contenente circa il 75% della materia “aerea”) occupa un volume di 5,11E18 m3 e di conseguenza che, in media, a falsamente ed ottimisticamente supporre che il 99% di esse siano già ricadute (nei nostri piatti), ci sono ora almeno 6 milioni di particelle d’insolubile uranio metallico per metro cubo d’aria che noi tutti respiriamo. Ossia, in peso leggero, leggero ma dalle conseguenze polmonari pesanti 10,9 picogrammi di uranio 238 per m3 di buon aria per un valore radiologico complessivo di 130 nanoBq al m3 allorché il valore normale e naturale in U238 è ZERO; quantificate perciò i metri cubi d'aria che avete inalato al giorno[4] (circa 23 quotidiani m3, di più se siete sportivi); considerate il mortifero impatto delle croniche radiazioni interne ravvicinate[5] sui polmoni prima, sul DNA delle cellule invase poi, e guardate la vostra democratica morte futura in faccia. Lo spaventoso tasso di mortalità e di invalidità tra soldati e popolazioni civili direttamente colpite, l’incremento drammatico delle malattie a livello planetario, la diminuzione della speranza di vita nella stessa Europa sono sotto i suicidi occhi ciechi di tutti i parlamenti, di tutti i media, di tutte le scienze, di tutta la AIEA, di tutte le chiese[6]. Cari governanti avete trasformato la biosfera in una radiologica camera a gas lento. Il vostro luminoso disegno si è finalmente compiuto: Auschwitz per tutti, per sempre[7]. Siate fieri, i vostri propri figli quanto i nostri respirano la vostra soluzione terminale.

Cari governanti: no future.

Paolo Scampa
Vice-presidente dell’AIPRI. Associazione Internazionale per la Protezione dai Raggi Ionizzanti.

[1] 1 grammo di uranio contiene circa 2,5E21 atomi e, bruciando, può frammentarsi in più di 1E18 “pezzi”.

Characterisation of airborne uranium from test firing of XM774 ammunition Glissmeyer JA and Mishima J Pacific Northwest Laboratory, Richland, Washington 99352; US Army Document PNL-2944, 1979. http://www.mindfully.org/Nucs/Airborne-Uranium-Glissmeyer1nov79.htm

Prototype Firing Range Air Cleaning System, Proceedings of the 18th DOE Nuclear Airborne Waste Management and Air Cleaning, Glissmeyer JA, Mishima J, Bamberger JA Conference, Baltimore Maryland12-16 Aug 1984. Ed- First, Melvin CONF 840806, 1985 http://www.mindfully.org/Nucs/Firing-Range-Air-Cleaning1mar85.htm

[2] Peso in grammo di particelle di DU secondo il loro diametro e numero di atomi. 100 µm = 9,9E-6 gr (2,4E16 atomi), 10 µm 9,9E-9 gr (2,4E13 atomi), 2 µm 7,9E-11 gr (1,9E11 atomi), 1 µm 9,9E-12 gr (2,5E10 atomi), 0,5 µm 1,2E-12 gr (3E9 atomi), 10 nanometri 9,9E-18 gr (24750 atomi), 10 Angstrœm (1 nanometro) 9,9E-21 gr (24 atomi).

[3] Caracteristics of particles and particle dispersoids, C.E Lapple, Stanford Research Institute Journal, Vol 5, p.95, Third Quarter, 1961 In D.R. Lide, CRC Handbook of Chemistry and physics, Taylor & Francis, CRC Press, USA, 2006. Sul net in http://www.mindfully.org/Nucs/Particle-Dispersoids-TableSep61.htm

La pollution atmosphérique par les particules en suspension: ses effets nuisibles sur la santé, Aide-mémoire EURO/04/05 Berlin, Copenhague, Rome, 14 avril 2005.
http://www.euro.who.int/mediacentre/PR/2005/20050414_1?language=French

"Did the use of Uranium weapons in Gulf War 2 result in contamination of Europe? Evidence from the measurements of the Atomic Weapons Establishment (AWE), Aldermaston, Berkshire, UK", Chris Busby and Saoirse Morgan, 2006.
http://www.llrc.org/aldermastrept.pdf

[4] Se ne esala la metà: si inalano pertanto almeno 69 milioni di particelle di uranio al giorno, un niente. Ma restiamo calmi tra 45 miliardi di anni l'aria sarà più pulita. Basta avere pazienza alla fin fine gli atomi radioattivi decadono!

[5] Plutonium, poumons et effets de proximité , M.E. André, in ETUDES & EXPANSION, n° 276, 1978. Sur web in http://users.skynet.be/mauriceandre/

“Hot” or radioactive particle in lung tissue”, photo by Del Tredici, Burdens of Proof by Tim Connor, Energy Research Foundation (1997),
http://www.mindfully.org/Nucs/Hot-Particle-Lung-Tissue1997.htm

[6] Planet Earth As Weapon and Target, Leuren Moret, World affairs. The journal of international issues, 2005. http://www.worldaffairsjournal.com/article1.htm -Terrell E Arnold, who has been responsible for training our most senior and most promising military officers as chairman of the Department of International Studies at the US National War College in Washington, reports that Coalition dead and wounded may actually be twice what the US government admits and that, including the effects of our use of depleted uranium and other toxic weapons, “a long-term casualty rate for American forces of 40–50 per cent appears realistic.”-

Letter from Leuren Moret to Congressman McDermott with Declassified memo to Gen. L.R. Groves 1943 – a blueprint for DU, L. Moret, 2003. http://www.mindfully.org/Nucs/2003/Leuren-Moret-Gen-Groves21feb03.htm

Radiological toxicity of DU, K. Baverstock, C. Mothersill & M. Thorne (Repressed WHO Document) 5 nov. 01, http://www.mindfully.org/Nucs/DU-Radiological-Toxicity-WHO5nov01.htm

Medical Effects of Internal Contamination with Uranium, Asaf Durakoviæ, Croatian Medical Journal v.40, n.1, Mar 99. http://www.mindfully.org/Nucs/DU-Medical-Effects-Mar99.htm

Photos of Babies Deformed at Birth as a Result of Depleted Uranium (DU) 2003, Photos: Dr. Jenan Hassan. http://www.mindfully.org/Nucs/2003/DU-Baby2003.htm

A New Front in the War on Diabetes by Secretary of Veterans Affairs Jim Nicholson; Helping Veterans (and the Rest of Us) Be Fit for Life by Linda Kinsinger, M.D., Director of Patient Care Services at VA's National Center for Health Promotion and Disease Prevention; and VA and HHS Target Diabetes and Obesity Among American Veterans. http://www1.va.gov/opa/vafeature/healthierus_vets.asp Approximately one million VA patients have diabetes and a substantial number of veterans without diabetes have metabolic syndrome, which places them at high risk for diabetes

Dirty Bombs, Dirty Missiles, Dirty Bullets. A death sentence here and abroad, Leuren Moret , San Francisco Bay View 18aug 04, www.mindfully.org/Nucs/2004/DU-Dirty-Bombs18aug04.htm

[7] Il rapporto superficie/volume delle nanoparticelle (riassunto nella formula di calcolo 3/Raggio) è tale che si comportano come gas. Pertanto galleggeranno in eterno per aria. Abbiate fiducia i residui di Hiroshima, dei test atomici e delle migliaia di tonnellate di uranio delle guerre “impoverite” del “zero morti, tutti morti” non scompariranno mai del tutto dalla biosfera.

Chers gouvernants: no future.


Aucun garde du corps ne saura jamais protéger vos poumons de la lente et implacable mort par contamination atomique portée par vos guerres à l'uranium «appauvri». En effet, ignoreriez-vous, très chers gouvernants, que l’uranium métallique est pyrophore? Ignoreriez-vous qu’il se pulvérise en un nombre gigantesque de particules au moment de l’incandescent impact (3000°c)? Ignoreriez-vous que chaque gramme d’uranium[1] qui brûle produit au moins une centaine de millions de milliards[2] de poussières d'uranium monstrueusement et artificiellement «fines» (de 10 Angstrœm à 100 micron pour une taille moyenne de 0,5 micron[3])? Ignoreriez-vous que les particules qui mesurent moins de 2,5 microns entrent sans obstacle dans les poumons avant de passer dans le sang qui les déposera ça et là dans les tissus? Ignoreriez-vous que ces poussières contaminées flotteront pendant au moins deux ans dans la basse atmosphère mondiale[4] avant qu’une partie ne retombe pour venir polluer sols, aliments, eaux? Vous l'ignoriez? Et bien comptez maintenant! Comptez, proches mortels, les tonnes d’invisibles et ultra-fines particules atomiques en suspension depuis votre dernière et inachevée guerre humanitaire. Sachez vénérables représentants des peuples souverains que de 60 à 70% environ des 8000 tonnes d’UA déversées sur l’Irak, l’Afghanistan, sur les Balkans et dans les différents champs de tir sur la planète se sont «aérosolisées» en environ 4,8E27 particules; sachez aussi que ces 8000 tonnes correspondent à 2666 Curie de U238 dont au moins 1600 voguent à la merci des courants météorologiques. Calculez alors combien de particules ont été disséminées, en moyenne, par mètre cube d'air. Vos brillants conseillers «stratégiques» savent certainement que la basse atmosphère terrestre (10 km de haut contenant environ 75% de la masse de matière «aérienne») occupe un volume de 5,11E18 m3 (5,11E21 litres) et par conséquent qu’en moyenne, à faussement supposer que 99% des poussières fines d’UA soient déjà retombées (dans nos assiettes)[5], il y a au moins encore 6 millions de particules d’insoluble uranium métallique par m3 d’air que nous tous respirons. A savoir, en poids léger mais lourd de conséquences pulmonaires, environ 10,9 picogrammes d’uranium métallique par m3 de bon air pour une valeur radiologique de 130 nanoBq par m3 alors que la valeur atmosphérique normale et NATURELLE en U238 est de ZERO; quantifiez donc les mètres cubes d'air que vous avez inhalé par jour[6] (environ 23 m3 par jour, plus pour les sportifs); considérez l’impact toxicologique et radiologique mortifère de ces nanogrammes d’uranium métalliques sur vos tissus pulmonaires d’abord et ensuite directement sur l’ADN de vos cellules envahies[7] et regardez votre démocratique mort future en face. L’épouvantable taux d’invalidité et de mortalité chez les vétérans et chez les populations directement touchées, la dramatique croissance des maladies au niveau planétaire, la diminution de l'espérance de vie en Europe sont sous les yeux aveugles et suicidaires de tous les parlements, de tous les médias, de toute l’AIEA, de toutes les églises[8]. Chers gouvernants vous avez transformé la biosphère en une chambre à gaz radiologique lent. Votre lumineux dessein s’est finalement accompli: Auschwitz pour tous et pour toujours. Soyez fiers, vos propres enfants tout autant que les nôtres respirent votre solution terminale.

Chers gouvernants: no future.


Paolo Scampa
Vice-président de l’AIPRI
Association Internationale pour la Protection contre les Rayons Ionisants.

[1] 1 gramme d’uranium contient environ 2,5E21 atomes et, en brûlant, peut se fragmenter en plus de 1E18 «morceaux».

[2] Poids en gramme des particules d’UA selon leur diamètre et nombre d’atomes. 100 µm = 9,9E-6 gr (2,4E16 atomes), 10 µm 9,9E-9 gr (2,4E13 atomes), 2 µm 7,9E-11 gr (1,9E11 atomes), 1 µm 9,9E-12 gr (2,5E10 atomes), 0,5 µm 1,2E-12 gr (3E9 atomes), 10 nanomètre 9,9E-18 gr (24750 atomes), 10 Angstrœm (1 nanomètre) 9,9E-21 gr (24 atomes).

[3] Caracteristics of particles and particle dispersoids, C.E Lapple, Stanford Research Institute Journal, Vol 5, p.95, Third Quarter, 1961 In D.R. Lide, CRC Handbook of Chemistry and physics, Taylor & Francis, CRC Press, USA, 2006. Sur toile in http://www.mindfully.org/Nucs/Particle-Dispersoids-TableSep61.htm

[4] En fait surtout dans l’hémisphère Nord.

[5] Le rapport surface/volume des nanoparticules (résumé dans la formule de calcul 3/Rayon) est tel qu’elles se comportent comme des gaz. Une partie restera pour autant à jamais en suspension. Soyez confiants les résidus d’Hiroshima et de Nagasaki, des essais atomiques, de Tchernobyl et autres accident majeurs ou mineurs, des milliers de tonnes d’uranium de vos guerres du “zéro mort, tous morts” ne disparaîtront jamais complètement de la biosphère. Soyez confiants, vos petits enfants, s’ils seront, respireront et mourront de votre crime.

[6] On en exhale la moitié: on inhale ainsi environ 69 millions de particules par jour, un rien. Mais rassurons-nous dans 45 milliards d'années l'air sera à nouveau respirable ! Après tout les atomes radioactifs décroissent. Il suffit d'un peu de patience !

[7] Plutonium, poumons et effets de proximité, M.E. André, in Etudes & Expansion, n° 276, 1978. Sur web in http://users.skynet.be/mauriceandre/

“Hot” or radioactive particle in lung tissue”, photo by Del Tredici, Burdens of Proof by Tim Connor, Energy Research Foundation (1997), http://www.mindfully.org/Nucs/Hot-Particle-Lung-Tissue1997.htm

[8] Planet Earth As Weapon and Target, Leuren Moret, World affairs. The journal of international issues, 2005. http://www.worldaffairsjournal.com/article1.htm -Terrell E Arnold, who has been responsible for training our most senior and most promising military officers as chairman of the Department of International Studies at the US National War College in Washington, reports that Coalition dead and wounded may actually be twice what the US government admits and that, including the effects of our use of depleted uranium and other toxic weapons, “a long-term casualty rate for American forces of 40–50 per cent appears realistic.”-

Letter from Leuren Moret to Congressman McDermott with Declassified memo to Gen. L.R. Groves 1943 – a blueprint for DU, L. Moret, 2003. http://www.mindfully.org/Nucs/2003/Leuren-Moret-Gen-Groves21feb03.htm

Radiological toxicity of DU, K. Baverstock, C. Mothersill & M. Thorne (Repressed WHO Document) 5 nov. 01, http://www.mindfully.org/Nucs/DU-Radiological-Toxicity-WHO5nov01.htm

Medical Effects of Internal Contamination with Uranium, Asaf Durakoviæ, Croatian Medical Journal v.40, n.1, Mar 99. http://www.mindfully.org/Nucs/DU-Medical-Effects-Mar99.htm

Photos of Babies Deformed at Birth as a Result of Depleted Uranium (DU) 2003, Photos: Dr. Jenan Hassan. http://www.mindfully.org/Nucs/2003/DU-Baby2003.htm

A New Front in the War on Diabetes by Secretary of Veterans Affairs Jim Nicholson; Helping Veterans (and the Rest of Us) Be Fit for Life by Linda Kinsinger, M.D., Director of Patient Care Services at VA's National Center for Health Promotion and Disease Prevention; and VA and HHS Target Diabetes and Obesity Among American Veterans. http://www1.va.gov/opa/vafeature/healthierus_vets.asp Approximately one million VA patients have diabetes and a substantial number of veterans without diabetes have metabolic syndrome, which places them at high risk for diabetes

Dirty Bombs, Dirty Missiles, Dirty Bullets. A death sentence here and abroad, Leuren Moret , San Francisco Bay View 18aug 04, www.mindfully.org/Nucs/2004/DU-Dirty-Bombs18aug04.htm